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1913

      Saint Jean-Marie Vianney
(Curé d'Ars )

« Quand le prêtre donne l’absolution, il ne faut penser qu’à une chose, c’est que le sang du Bon Dieu coule sur notre âme pour la laver, la purifier et la rendre aussi belle qu’elle était après le Baptême. »

1904

      Benoît XVI
     (Homélie du 8 janvier 2012)

"La Prière est la première condition pour éduquer, car en priant, nous nous mettons dans la disposition de laisser à Dieu l’initiative, de Lui confier nos enfants, à Lui qui les connaît avant nous et mieux que nous, et qui sait parfaitement quel est leur bien véritable.
Et, dans le même temps, quand nous prions, nous nous mettons à l’écoute des inspirations de Dieu pour bien accomplir notre part, qui nous revient quoi qu’il en soit et que nous devons réaliser.
Les Sacrements, en particulier l’Eucharistie et la Pénitence, nous permettent d’accomplir l’action éducative en union avec Le Christ, en communion avec Lui et en étant sans cesse renouvelés par son Pardon.
La Prière et les Sacrements nous permettent d’obtenir cette Lumière de Vérité, grâce à laquelle nous pouvons être dans le même temps tendres et forts, faire usage de douceur et de fermeté, nous taire et parler lorsqu’il le faut, faire des remontrances et corriger de la juste manière."

1903

      Benoît XVI
     (Homélie du 8 janvier 2012)

"Il est très important pour vous parents, et également pour les parrains et les marraines, de croire fortement dans la présence et dans l’action de L’Esprit Saint, de l’invoquer et de l’accueillir en vous, à travers la Prière et Sacrements.
C’est Lui, en effet, qui illumine l’esprit, qui réchauffe le cœur de l’éducateur pour qu’il sache transmettre la connaissance et l’Amour de Jésus."

1885

     Mgr Michel Aupetit - archevêque de Paris
(préface du livre-témoignage de Joseph Lebèze : "Dé-chaîné", publié en 2010)
peintre : Disha Dua @dishaduaart
« Le pardon est une folie pour beaucoup et un aveu de faiblesse dans certaines cultures, mai pour le christianisme, il est la condition de la rencontre avec Dieu. En effet, c'est Dieu qui pardonne le premier et c'est à Lui qu'il faut s'en remettre pour pouvoir pardonner.
Il n'est pas question d'oublier, de "passer l'éponge", de faire comme si rien ne s'était passé. Il s'agit de regarder le mal en face, ce mal qui nous détruit et de construire à cause de lui, à partir de lui, quelque chose de plus grand, de plus beau que s'il n'avait pas eu lieu. Tirer le bien du mal, c'est l'oeuvre de Dieu, le salut offert par le Christ. Pardonner, c'est "donner davantage" et pour y parvenir il n'existe pas d'autre chemin que d'accueillir Celui qui "est Amour". Alors tout est possible, on peut redevenir Quelqu'un.
Mais il y a tous ceux qui ne demandent rien, tous ceux qui méprisent le pardon qu'on leur offre. Il convient de les présenter à la miséricorde du Père comme l'a fait le Christ sur la croix :
" Père, pardonne leur, ils ne savent pas ce qu'ils font " »
(Lc 23, 34) 

1780

     pape François 
(Angélus du 14 décembre 2014)
La maison de la joie
Le coeur de l'homme désire la joie. Nous désirons tous la joie : chaque famille, chaque peuple aspire au bonheur. Mais quelle est cette joie que le chrétien est appelé à vivre et à témoigner ! C'est celle qui vient de la proximité de Dieu, de sa Présence dans notre vie. Depuis que Jésus est entré dans l'histoire, en naissant à Bethléem, l'humanité a reçu le germe du royaume de Dieu, comme un terrain reçoit la semence, la promesse d'une récolte à venir. Il n'est plus nécessaire de chercher toujours. Il ne s'agit pas d'une joie seulement espérée ou reportée au paradis : ici, sur terre, nous sommes tristes, mais au paradis nous serons joyeux. Non ! Ce n'est pas cette joie-là. Cette joie est bien réelle et l'on peut en faire l'expérience dès à présent, parce que Jésus Lui-même est notre joie, et avec Jésus la joie est là. Comme le dit votre écriteau : "Avec Jésus, la joie est là," Encore une fois :"Avec Jésus, la joie est là." Et sans Jésus, y-a-t'il de la joie ? Non  ! Il est Vivant, Il est le Ressuscité, et Il agit en nous et parmi nous par la Parole et les Sacrements. Nous tous, baptisés, enfants de l'Église, nous sommes appelés à accueillir une fois encore la présence de Dieu parmi nous et à aider les autres à la découvrir, ou à la redécouvrir pour ceux qui l'auraient perdue. C'est une très belle mission, semblable à celle de Jean-Baptiste : orienter tout un chacun vers le Christ -pas vers soi-même !- parce que c'est vers Lui que tend le coeur de tout homme qui recherche la joie et le bonheur."

1747

     Saint François de Sales (1567-1622)
        (Introduction à la vie dévolte)
"Le péché n'est honteux que quand nous le faisons, mais étant converti en confession et pénitence, il est honorable et salutaire. La contrition et confession sont si belles et de si bonne odeur, qu'elles effacent la laideur et dissipent la puanteur du péché. Simon le lépreux disait que Marie-Madeleine était pécheresse ; mais Notre Seigneur dit que non, et ne parle plus que des parfums qu'elle répandit et de la grandeur de sa charité. Si nous sommes bien humbles, notre péché nous déplaira infiniment parce que Dieu en est offensé, mais l'accusation de notre péché nous sera douce et agréable, parce que Dieu en est honoré : ce nous est une sorte d'allègement de bien dire au médecin le mal qui nous tourmente." 

1746

     Jean-Baptiste Saint-Jure (1588-1657)
        (De la connaissance du Fils de Dieu)
" Rentrons en nous-mêmes, faisons pénitence de nos péchés, efforçons-nous de nous réconcilier avec Dieu par un sincère repentir et par tous les moyens possibles et ne différons pas plus longtemps une action si importante. Dites-moi, si vous aviez reçu une blessure, attendriez-vous quatre ou cinq jours à la faire panser ? n'appelleriez-vous pas de suite le chirurgien pour y mettre un bon appareil ? Si vous étiez tombé dans un bourbier, si vous aviez sali vos mains, votre visage, vos habits, remettriez-vous à la semaine suivante à vous nettoyer ou n'iriez-vous pas chercher promptement de l'eau pour vous laver ? Pourquoi ne feriez-vous donc pas la même chose pour votre âme ? Pourquoi laisseriez-vous écouler les semaines et les mois avant de penser à la guérir, à la laver, et à recouvrer les biens immenses que vous avez perdus ? faites-vous donc plus de cas des taches d'un habit que de celles de votre âme ? des plaies de votre corps que de celles de votre coeur ?
Toutes ces raisons ne doivent-elles pas vous porter à faire pénitence et à vous réconcilier avec Dieu ? " 

1692

     Saint François de Sales (1567-1622)
(Entretiens sur les Sacrements)
"Les Sacrements sont des canaux par lesquels, par manière de dire, Dieu descend en nous, comme par l'oraison nous nous jetons en Dieu"

1655

     Maria Simma (1915-2004)

"La confession est très mal comprise. La plupart n’ont pas de difficulté à discerner le mal du bien, mais cela devient beaucoup plus intéressant et bien plus exigeant lorsqu’il s’agit de différencier entre ce qui est bien et ce qui est mieux. La confession ne nous est pas donnée pour avouer que nous avons dévalisé une banque, car les voleurs de banque sont en réalité peu nombreux. Elle est surtout là pour nous permettre de chercher des façons de devenir toujours meilleurs aux yeux de Dieu: au cours du mois dernier, comment aurais-je pu agir plus saintement? Voilà ce que nous devons nous demander, et je défie n’importe qui d’affirmer qu’au cours du mois qui vient de s’écouler il a tout fait comme Jésus l’aurait fait. L’humilité nous vaut les plus grandes des grâces. Jésus accorde les plus grandes choses aux humbles de cœur. La confession nous rappelle continuellement la petitesse que Jésus désire pour nous afin qu’Il puisse nous faire des dons énormes."

1608

   saint Cyrille de Jérusalem 

« Quand donc tu t’approches, ne t'avance pas les paumes des mains étendues, ni les doigts disjoints ; mais fais de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisque celle-ci doit recevoir le Roi et, dans le creux de ta main, reçois le Corps du Christ, disant : "Amen!" Avec soin, alors sanctifie tes yeux par le contact du Saint Corps, puis prends-Le et veille à n'en rien perdre. Car ce que tu perdrais, c'est comme si tu étais privé de l'un de tes membres. Dis-moi en effet si l'on t'avait donné des paillettes d'or, ne les retiendrais-tu pas avec le plus grand soin, prenant garde de n'en rien perdre ? Ne veillerais-tu pas avec beaucoup plus de soin sur un objet plus précieux que l'or et que les pierres précieuses, afin de n'en pas perdre une miette ? »

1507

   Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus 
(MsA 35r)
« Ah ! qu’il fut doux le premier baiser de Jésus à mon âme ! Ce fut un baiser d’amour, je me sentais aimée, et je disais aussi : " Je vous aime, je me donne à vous pour toujours." Il n’y eut pas de demandes, pas de luttes, de sacrifices, depuis longtemps, Jésus et la pauvre petite Thérèse s’étaient regardés et s’étaient compris… Ce jour-là ce n’était plus un regard, mais une fusion, ils n’étaient plus deux, Thérèse avait disparu, comme la goutte d’eau qui se perd au sein de l’océan. Jésus restait seul, Il était le maître, le Roi. Thérèse ne lui avait-elle pas demandé de lui ôter sa liberté, car sa liberté lui faisait peur, elle se sentait si faible, si fragile que pour jamais elle voulait s’unir à la Force Divine !… »

1487

   Saint Jean Chrysostome 
(In primam epistolam ad Corinthios hom. 24).
« Que parlé-je encore de communion ? Nous sommes ce corps même. Qu'est-ce en effet le pain ? Le corps du Christ. Que deviennent les communiants ? Le corps du Christ ; pas plusieurs corps, un seul corps. De même que le pain est fait de beaucoup de grains, si unis que l'on ne les voit plus, alors qu'ils continuent à exister sans que leur distinction apparaisse aux sens, tant ils adhèrent les uns aux autres ; ainsi sommes-nous rattachés au Christ et entre nous. Pourquoi ne témoignons-nous pas la même charité et ne devenons-nous pas, nous aussi, un ? »

1476

   Jean-Jacques Olier (1608-1657)
(Traité des saints ordres)
"Dieu ne peut être plus honoré que par cette divine hostie (de l'Eucharistie), car elle comprend en soi toute la religion et tout le culte de Dieu. Il n'y a sorte de louange, de respect et d'hommage qu'elle ne renferme, et qui d'elle ne découle dans l'Eglise. Cette divine Hostie est l'abrégé de tout la religion, de sorte que celui qui l'offre à Dieu, lui offre en même temps tous les honneurs, les hommages, les cantiques, les psaumes, les hymnes qui se récitent dans l'Église."

1475

   François Libermann (1802-1852)
  (Lettre de 1839)
" Si vous ne pouvez pas assister au Saint Sacrifice de la Messe, sachez, mon très cher, que Jésus se sacrifie du matin au soir en votre âme et ne votre corps ; non seulement vous assistez à ce Sacrifice, mais vous y êtes à la fois actif et passif ; vous êtes l'autel et la victime même, faisant une seule et même chose avec Jésus crucifié. Si vous ne pouvez pas faire la Sainte Communion, ce n'est pas le moment de communier à Jésus glorifié, mais à Jésus crucifié ; entrez dans ses vues, et pénétrez-vous, imbibez-vous de Lui, par cette sainte communion qu'Il vous donne à sa Croix."

1474

   Julien Haineuve (1588-1663)
Méditations sur la vie de Jésus Christ
"Au même temps et à la même heure que le monde pensait au moyen de se défaire de notre Sauveur afin qu'on n'en entendit plus parler, Lui, tout au contraire, par l'excès de son Amour, établissait le moyen d'y demeurer toujours pour le grand bien de ceux qui s'en voudraient servir, en nous donnant son corps, son âme et sa vie sous les espèces du pain et du vin, jusqu'à la fin du monde.
Considérez que notre Seigneur nous donnant son Corps à manger, Il donne à chacun de nous, autant de fois que nous le voulons recevoir, sa vie, son âme, ses mérites, et en un mot tout ce qu'Il est et tout ce qu'Il possède, comme Il s'est donné une fois à tous les hommes par son incarnation et par sa mort. La Messe et la Commmunion est une nouvelle naissance, une nouvelle vie et une nouvelle mort du Sauveur de nos âmes, ou plutôt c'est sa naissance sa vie et sa mort continuée dans nos coeurs."

1462

     Saint Jean Chrysostome
(2ème catéchèse aux catéchumènes - paragraphe 2)
"Voulez-vous savoir comment il est votre table? Comme je vis pour mon Père, dit-il, ainsi celui qui me mange vivra pour moi. N'est-il pas aussi votre demeure? Celui qui mange ma chair demeure en moi et je demeure en lui. (Jean, VI, 57, 58.) Puis il est votre racine: Je suis la vigne et vous en êtes les branches. A se nomme également votre frère, votre ami, votre époux. Je ne vous appellerai plus mes serviteurs, car vous êtes mes amis. (Jean, XV, 5, 15.) Ecoutez saint Paul: Je vous ai fiancés à votre unique époux pour vous présenter comme une vierge sans tache à Jésus-Christ. (II Cor. XI, 2.) Et encore : Afin qu'il soit lui-même le premier-né entre beaucoup de frères. (Rom. VIII, 29.) Il n'est pas même satisfait du nom de frères, nous sommes ses petits enfants : Me voici avec les petits enfants que Dieu m'a donnés. (Isaïe, VIII, 18.) Il va plus loin; nous sommes ses membres et son corps (I Cor. XII, 27) ; et comme si toutes ces grâces ne suffisaient pas pour nous convaincre de sa bonté et de son amour,il nous en donne encore une preuve et plus forte et plus touchante: il s'appelle notre tête. (Ephés. I, 22.)"

1456

     saint Pio de Pietrelcina 
(Recueil III, p. 448)
"Si tu n'arrives pas à rester longuement en prière, ou en train de méditer, il ne faut pas te décourager.
Tant que tu recevras le Christ avec ferveur et chaque matin dans le sacrement de l'Eucharistie, estime-toi heureuse au plus au point.
Dans la journée, lorsqu'il ne t'est pas possible de faire plus, appelle Jésus-Christ par un gémissement de ton âme, même au beau milieu de tes occupations; il viendra et restera uni à toi par sa grâce et son amour.
Vole en esprit devant le Tabernacle quand tu ne peux y aller physiquement, et là, épanche tes désirs auprès de ton Bien-Aimé, parle-lui et prie-le"

1453

     Saint Jean Chrysostome
     (Homélie 8 in 1 Co, 4)
"Bâtissons donc sur le Christ, qu’il soit notre fondement, comme la vigne l’est pour le sarment, et que rien ne s’intercale entre nous et lui : si venait la moindre séparation, nous péririons à l’instant. Car le sarment vit de son rattachement et la construction tient par l’appui qu’elle trouve : si celui-ci venait à se dérober, elle s’effondrerait, n’ayant pas de soutien. Et ne nous attachons pas seulement au Christ, accolons-nous à lui ; le moindre intervalle nous ferait mourir. Car il est écrit (Ps 72, 27) : « Ceux qui s’éloignent de toi périront » Accolons-nous donc à lui et accolons-nous par les œuvres. Car, dit-il, « C’est celui qui observe mes commandements qui demeure en moi » (Jn 14, 21). Et en vérité, il fait notre union avec lui de beaucoup de manières. Vois : il est la tête, nous, le corps, peut-il y avoir un espace vide entre la tête et le corps ? Il est le fondement, nous l’édifice ; lui, la vigne, nous, les sarments ; lui, l’époux, nous, l’épouse ; lui, le berger, nous, les brebis ; lui, la voie, nous, les voyageurs nous, le temple, lui, l’habitant ; lui, l’aîné, nous, les frères lui, l’héritier, nous, les cohéritiers, lui, la vie, nous les vivants ; lui, la résurrection, nous, les ressuscités ; lui, la lumière, nous, les illuminés. Tout cela parle d’union, tout cela indique qu’il ne peut demeurer d’intervalle, fût-ce le plus petit. Qui se sépare, même très peu, verra la brèche grandir et sera écarté. Est-ce que notre corps, quand un glaive y fait une déchirure même exiguë, ne périt pas ? Est-ce qu’un édifice, par des fissures même étroites, ne va pas à sa ruine ? Est-ce qu’une branche, coupée de la racine, même délicatement, ne dessèche pas ? 
Ce, peu de chose, vous le voyez, n’est pas peu, c’est presque tout."

1452



     Saint Pierre-Julien Eymard
"Divine Eucharistie" chapitre 1, Tome 1, 

"Pour bien adorer, il faut se rappeler que Jésus-Christ, présent dans l'Eucharistie, y glorifie et y continue les mystères de toutes les vertus de sa vie mortelle. Il faut se rappeler que l’Eucharistie, c’est Jésus Christ, passé, présent et futur ; que l'Eucharistie est le dernier développement de l'incarnation et de la vie mortelle du Seigneur; que Jésus Christ nous y donne toutes les grâces; que toutes les vérités aboutissent à l'Eucharistie, et qu'on a tout dit en disant Eucharistie, puisque c'est Jésus Christ. Que la très Sainte Eucharistie soit donc notre point de départ dans la méditation des mystères, des vertus et des vérités de la religion. Elle est le foyer; ses vérités ne sont que des rayons. Partons du foyer et nous rayonnerons. Quoi de plus simple que de trouver le rapprochement de la naissance de Jésus dans l'étable, avec sa naissance sacramentelle sur l'autel et dans nos coeurs? Qui ne voit que la vie cachée de Nazareth se continue dans la divine Hostie du tabernacle, et que la Passion de l'Homme-Dieu sur le calvaire se renouvelle au saint Sacrifice à chaque moment de la durée et dans tous les lieux du monde? Notre Seigneur n'est-il pas doux et humble au sacrement comme pendant sa vie mortelle? N'est-il pas toujours le bon Pasteur, le Consolateur divin, l'Ami du coeur? Heureuse l’âme qui sait trouver Jésus en l’Eucharistie, et en l’Eucharistie toutes choses !"

1450



    Saint Thomas d'Aquin 
     Adoro te devote 
"Je t'adore dévotement, Dieu cachéQui sous ces apparences vraiment prends corps,À Toi, mon cœur tout entier se soumetParce qu'à te contempler, tout entier il s'abandonne." 

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)