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2474 - Prière de Saint Thomas d'Aquin (Ô vous qui m'aimez tant)

"O vous qui m’aimez tant, Jésus, Dieu caché, mais véritablement présent sur cet autel, écoutez-moi, je vous implore.
Que votre bon plaisir soit mon plaisir, ma passion, mon amour ! Donnez-moi de le chercher, de le trouver, de l’accomplir. Montrez-moi vos chemins, indiquez-moi vos sentiers. Vous avez vos desseins sur moi, dites-les moi bien, et donnez-moi de les suivre, jusqu’à ce que, par votre grâce, le salut de mon âme soit assuré. Qu’indifférent à tout ce qui se passe, et ne voulant voir que vous, j’aime tout ce qui est à vous, mais vous surtout, mon Dieu ! Rendez-moi amère toute joie qui n’est pas de vous, impossible tout désir hors de vous ; délicieux tout travail fait pour vous, insupportable tout repos qui n’est pas en vous. Que ma vie, ô bon Jésus, ne soit qu’un acte d’amour vers vous. Ainsi soit-il."
 

1943

      Saint Thomas d'Aquin 
(Somme théologique, IIa, IIae, qu. 188, art 6)

« En effet, il est plus beau d’éclairer que de briller seulement ; de même est-il plus beau de transmettre aux autres ce qu’on a contemplé que de contempler seulement. »

1942

      Saint Thomas d'Aquin 
(Commentaire sur l'Évangile de saint Jean, Paris, Cerf, 2006, p. 266-267)

« Puisque cultiver, c'est dépenser son zèle pour quelque chose, nous cultivons quelque chose de deux manières : soit pour que soit amélioré ce que nous cultivons, et en ce sens nous cultivons un champ ou quelque chose de tel. Soit pour que nous soyons améliorés par cela, et de cette manière l'homme cultive la sagesse.
Dieu nous « cultive » donc pour que nous soyons améliorés par son travail, en tant qu'Il extirpe de nos cœurs les mauvaise semences. Il ouvre notre cœur par la charrue de sa parole ; Il plante les semences de ses commandements ; Il recueille un fruit de piété, comme le dit Augustin. Nous, nous Lui rendons un culte pour être améliorés par Lui, mais cela en adorant (adorando) et non en labourant (arando) —
 
Si quelqu'un rend un culte à Dieu, celui-là l'exauce (Ps 49, 23). Le Père est donc le cultivateur de cette vigne en vue du bien d'un autre. C'est Lui, en effet, qui plante (Moi, je t'ai plantée comme une vigne de choix, comme une vraie semence.- Jr 2, 21). C'est Lui qui fait croître (Moi, j'ai planté, Apollos a arrosé, mais c'est Dieu qui a donné la croissance - 1Co 3, 6), car Dieu seul, de l'intérieur, fait croître et fructifier ; et, dans la mesure où l'homme coopère de l'extérieur, Dieu lui-même garde et conserve, comme le dit saint Matthieu, qui cite Isaïe : Il a bâti une tour dans la vigne, et l'a entourée d'une clôture (Mt 21, 33 - cf Is 5, 2) 

1941

      Saint Thomas d'Aquin 
(Somme théologique - Prologue de la troisième partie)

« Notre Sauveur, le Seigneur Jésus […] s'est montré à nous comme le chemin de la vérité, par lequel il nous est possible désormais de parvenir à la résurrection et à la béatitude de la vie immortelle. Dieu s'est incarné (qu. 1-26) ; Il a souffert dans sa chair pour les hommes (qu. 27-59). Nous accédons à la Vie éternelle et aux Sacrements par et dans le Christ.

1940

      Saint Thomas d'Aquin 
(en recevant sa dernière Communion)

« Je vous reçois, ô salut de mon âme. C'est par amour de vous que j'ai étudié, veillé des nuits entières et que je me suis épuisé ; c'est vous que j'ai prêché et enseigné. Jamais je n'ai dit un mot contre Vous. Je ne m'attache pas non plus obstinément à mon propre sens ; mais si jamais je me suis mal exprimé sur ce sacrement, je me soumets au jugement de la sainte Église romaine dans l'obéissance de laquelle je meurs. »

1450



    Saint Thomas d'Aquin 
     Adoro te devote 
"Je t'adore dévotement, Dieu cachéQui sous ces apparences vraiment prends corps,À Toi, mon cœur tout entier se soumetParce qu'à te contempler, tout entier il s'abandonne." 

1363

   saint Thomas d'Aquin 

« La Justice et la Miséricorde vont tellement de pair que l'une soutient l'autre.
La Justice sans la Miséricorde est cruauté ; et la Miséricorde sans Justice engendre ruine et destruction. Et c'est pourquoi il faut que les deux aillent ensemble».

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

967

 Prière de St Thomas d'Aquin
Dieu éternel et tout-puissant, voici que je m'approche du sacrement de ton fils unique Notre Seigneur Jésus-Christ. Malade, je viens au médecin dont dépend ma vie ; souillé, à la source de la miséricorde ; aveugle, au foyer de la lumière éternelle ; pauvre et dépourvu de tout, au Maître du Ciel et de la terre.
J'implore donc ton immense, ton inépuisable générosité, afin que tu daignes guérir mes infirmités, laver mes souillures, illuminer mon aveuglement, combler mon indigence, couvrir ma nudité ; et qu'ainsi je puisse recevoir le Pain des Anges, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, avec toute la révérence et l'humilité, toute la contrition et la dévotion, toute la pureté et la foi, toute la fermeté de propos et la droiture d'intention que requiert le salut de mon âme.
Donne-moi, je te prie, de ne pas recevoir simplement le sacrement du Corps et du Sang du Seigneur, mais bien toute la vertu et l'efficacité du sacrement. Ô Dieu plein de douceur, donne-moi de si bien recevoir le Corps de ton Fils Unique, Notre Seigneur Jésus-Christ, ce corps charnel qu'il reçut de la Vierge Marie, que je mérite d'être incorporé à son Corps Mystique et compté parmi ses membres.
Ô Père plein d'amour, accorde-moi que ce Fils Bien-Aimé que je m'apprête à recevoir maintenant sous le voile qui convient à mon état de voyageur, je puisse un jour le contempler à visage découvert et pour l'éternité, Lui, qui, étant Dieu, vit et règne avec toi dans l'unité du Saint-Esprit, dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il !

419

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.83, a.2, ad 1-3
Si nous adressons des prières à Dieu, ce n’est pas parce qu’il faudrait lui faire connaître nos besoins ou nos désirs ; c’est pour que nous envisagions nous-mêmes qu’en pareil cas on doit recourir au secours de Dieu.
Notre prière, on vient de le dire, n’a pas pour but de changer le plan de Dieu, mais d’obtenir par nos prières ce qu’il a décidé de nous donner.
Dieu, dans sa libéralité, nous accorde bien des choses sans même que nous les lui demandions. Mais s’il exige en certains cas notre prière, c’est que cela nous est utile. Cela nous vaut l’assurance de pouvoir recourir à lui, et nous fait reconnaître en lui l’auteur de nos biens. D’où ces paroles de Chrysostome : Considère quel bonheur t’est accordé, quelle gloire est ton partage : voilà que tu peux converser avec Dieu par tes prières, dialoguer avec le Christ, souhaiter ce que tu veux, demander ce que tu désires.

319

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, I-II, q.93, a.3, ad 2 et q.95, a.2, c
La loi humaine a raison de loi en tant qu’elle est conforme à la raison droite ; à ce titre il est manifeste qu’elle découle de la loi éternelle. Mais dans la mesure où elle s’écarte de la raison, elle est déclarée une loi inique, et dès lors n’a plus raison de loi, elle est plutôt une violence.
St Augustin déclare : Il ne semble pas qu’elle soit une loi, celle qui ne serait pas juste. C’est pourquoi une loi n’a de valeur que dans la mesure où elle comporte de la justice. Or, dans les affaires humaines, une chose est dite juste du fait qu’elle est droite, conformément à la règle de la raison. Mais la règle première de la raison est la loi de nature, comme il ressort des articles précédents. Aussi toute loi portée par les hommes n’a raison de loi que dans la mesure où elle dérive de la loi de nature. Si elle dévie en quelque point de la loi naturelle, ce n’est plus alors une loi, mais une corruption de la loi.

311

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.33, a.1, c
La correction du fautif est un remède que l’on doit employer contre le péché du prochain. Or un péché peut être envisagé sous deux aspects : comme un acte nuisible à celui qui le commet ; et comme un préjudice porté aux autres, qu’il lèse ou scandalise, et même au bien commun dont le bon ordre s’en trouve troublé. Il y a, en conséquence, deux sortes de corrections du fautif. La première remédie au péché en tant qu’il est un mal pour le pécheur, et c’est précisément la correction fraternelle, qui a pour but d’améliorer le fautif Or, enlever un mal à quelqu’un est un acte de même valeur que lui procurer un bien. (...) C’est ainsi que la correction fraternelle est un acte de la charité, plus que le soin des malades ou le soulagement des pauvres. La seconde espèce de correction remédie au péché en tant qu’il porte préjudice aux autres, et surtout au bien commun. Une telle correction est un acte de la justice, qui a pour objet de régler équitablement les rapports entre les hommes.

301

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, III, q.73, a.1, c
Les sacrements de l’Église ont pour fin de soutenir l’homme dans sa vie spirituelle ; or la vie spirituelle s’harmonise à la vie corporelle, du fait que les réalités corporelles portent la ressemblance des réalités spirituelles. Il est bien évident que la vie corporelle, si elle requiert la génération par quoi l’homme reçoit la vie, et la croissance par quoi l’homme est conduit à la perfection de sa vie, requiert aussi la nourriture par quoi l’homme est conservé en vie. Par conséquent, de même que la vie spirituelle a requis le baptême, qui est génération spirituelle, et la confirmation, qui est croissance spirituelle, de même elle a requis le sacrement d’eucharistie, qui est nourriture spirituelle.

261

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.129, a.1, c
En vertu de son nom, la magnanimité implique une âme qui tend à la grandeur. Or on reconnaît la nature d’une vertu à deux choses : à la matière que son action concerne ; à son acte propre qui consiste à traiter cette matière de la façon requise. Et parce que l’habitus de la vertu se détermine au premier chef par son acte, on appelle un homme magnanime parce que son âme est orientée vers un acte plein de grandeur. Or un acte peut être appelé grand de deux façons : relativement ou absolument. Un acte peut être appelé grand de façon relative alors même qu’il consiste à employer une chose petite ou médiocre, mais de façon excellente. Mais l’acte simplement et absolument grand est celui qui consiste dans l’emploi excellent d’un bien supérieur.

227

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.18, a.4, ad 2 et 3
L’espérance ne s’appuie pas principalement sur la grâce déjà possédée, mais sur la toute-puissance et la miséricorde de Dieu, par quoi même celui qui n’a pas la grâce peut l’acquérir, et parvenir ainsi à la vie éternelle. Or quiconque a la foi est certain de la toute-puissance et de la miséricorde de Dieu.
Le fait que certains qui ont l’espérance n’arrivent pas à la possession de la béatitude vient de la défaillance du libre arbitre qui produit l’obstacle du péché, et non d’une défaillance de la toute-puissance de Dieu ou de sa miséricorde, sur quoi s’appuie l’espérance. Cette constatation n’apporte donc aucun préjudice à la certitude de l’espérance.

209

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.82, a.1, c
Dévotion vient de « dévouer » et l’on appellera « dévots » ceux qui, en quelque sorte, « vouent » à Dieu leur propre personne par un assujettissement total. C’est ainsi que l’antiquité païenne désignait par ce terme ceux qui se « dévouaient » aux idoles, en se livrant à la mort pour le salut de leur armée, comme Tite-Live le raconte des deux Decius. On voit par là ce qu’est la dévotion : rien autre qu’une volonté de se livrer promptement à ce qui concerne le service de Dieu. Ainsi est-il dit dans l’Exode (35, 23) : « Toute l’assemblée des fils d’Israël, d’une âme très prompte et dévote, offrit les prémices au Seigneur. » Ce vouloir, portant sur le prompt accomplissement de ce qui tient au service divin, est manifestement un acte spécial. Donc la dévotion est un acte spécial de la volonté.

162

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.83, a.6, ad 1-4
Les biens temporels ne doivent pas faire l'objet principal de nos recherches, mais venir au second plan. Ainsi St Augustin déclare : "Lorsque le Seigneur dit : 'Il faut premièrement chercher le royaume de Dieu', il veut dire que les biens temporels ne doivent être recherchés qu'après, non selon le temps, mais selon leur dignité : celui-là comme notre bien, ceux-ci comme notre nécessaire."
On n'interdit pas tout souci des biens temporels, mais le souci superflu et désordonné, nous l'avons déjà dit.
Lorsque notre âme vise les biens temporels pour se reposer, elle s'y abaisse. Mais quand elle les vise en vue d'obtenir la béatitude, loin de se trouver rabaissée par eux, elle les relève.
Du moment que nous demandons les biens temporels, non comme l'objet principal de nos désirs mais pour obtenir des biens plus élevés, nous demandons à Dieu de nous les accorder dans la mesure où il sont utiles à notre salut.

161

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.180, a.4, c
La contemplation de la vérité divine constitue l'élément principal de la vie contemplative. Cette sorte de contemplation est en effet la fin même de la vie humaine. "La contemplation de Dieu, écrit St Augustin, nous est promise commela fin de toutes nos actions et l'éternelle perfection de nos joies." Cette contemplation sera parfaite dans la vie future, quand nous verrons Dieu "face à face" ; elle nous rendra alors parfaitement heureux. Dans ce temps-ci, la contemplation de la vérité divine ne nous est possible que de façon imparfaite, dans un miroir, sous forme d'énigmes (1 Co 13, 12). Nous lui devons une béatitude imparfaite, qui commence ici-bas pour parvenir plus tard à sa consommation.C'est pourquoi Aristote a fait consister la félicité dernière de l'homme dans la contemplation du suprême intelligible.
Mais les œuvres divines nous mènent à la contemplation de Dieu, selon qu'il est écrit (Rm 1, 20) : "Les perfections invisibles de Dieu nous sont rendues accessibles et mises sous les yeux par le moyen des créatures." Il s'ensuit que la contemplation des œuvres de Dieu appartient aussi, en second lieu, à la vie contemplative, en tant que par elle l'homme se trouve acheminé à la connaissance de Dieu. D'où cette parole de St Augustin : "Dans la considération des créatures il ne s'agit pas de porter une vaine et périssable curiosité, mais de nous élever aux réalités immortelles et qui ne passent pas."

053

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, I-II, q.109, a.1, ad 1
L'homme peut-il sans la grâce, connaître quelque chose de vrai ?
Objection 1 : Il ne semble pas, car à propos de S. Paul (1 Co12,3) : "Nul ne peut dire 'Jésus est Seigneur', que sous l'action de l'Esprit Saint", nous lisons dans la Glose ambrosienne : "Tout ce qui est vrai, dit par quiconque, vient de l'Esprit Saint". Or le Saint-Esprit habite en nous par la grâce. Donc, sans la grâce, nous ne pouvons connaître la vérité.
Solution 1 : Toute vérité, quel que soit celui qui l'exprime, vient de l'Esprit Saint comme source de la lumière naturelle et comme exerçant sur l'esprit de l'homme une motion pour saisir et dire le vrai. Non comme habitant en lui par la grâce sanctifiante ou comme le gratifiant de quelque don habituel surajouté à la nature : cela ne se rencontre que pour certaines vérités à connaître et à dire, spécialement dans ce qui a rapport à la foi ; c'est précisément de cela que parlait l'Apôtre.

004

St Thomas d'Aquin
In Ioann. Ev., XIV, 2
Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne va au Père que par moi (...). Qui m’a vu a vu le Père (Jn 14, 6.9)
Si tu cherches par où tu dois aller accueille le Christ en toi, puisqu’il est le Chemin : c’est le Chemin, suivez-le (Is 30, 21). Et saint Augustin dit : "passe par l’homme et tu arriveras à Dieu". Il vaut mieux marcher sur le chemin, fût-ce en boitant, que d’avancer vite en dehors du chemin. Car celui qui, en boitant, suit le chemin, même s’il progresse peu, s’approche du terme ; mais celui qui marche en dehors du chemin, plus il court, plus il s’éloigne du terme. Si tu veux savoir où aller, colle-toi au Christ, car il est la Vérité à laquelle nous souhaitons arriver (...). Si tu veux savoir où demeurer, colle-toi au Christ, car il est la Vie.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)