Affichage des articles dont le libellé est Force. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Force. Afficher tous les articles

2214

    Charles Gay (1815-1892)
   (95ème Elévation) 
"La grande vertu du baptême est de nous incorporer à Lui, de nous donner sa vie, de nous faire de sa race, et de répandre en nous son Esprit, c'est à dire une lumière et une force par lesquelles nous sommes mis en mesure et en demeure, non seulement de ne plus pécher, mais encore de juger toutes choses, de discerner notre voie, de la suivre, et en montant de clarté en clarté, de liberté en liberté, d'en venir à l'état intérieur de saint Paul qui disait : "Vivre, pour moi, c'est Jésus-Christ". 

2191

    Saint François de Sales 
      (Lettre à une inconnue n°1990)
« Soyez vigilante et tenez votre cœur haut et élevé en Dieu ; ne vous étonnez point de vous sentir faible, car moyennant que vous invoquiez Dieu, Il sera votre force pour bien diligemment exécuter le désir que vous avez de ne vivre qu’en Lui. » 

2131

  Benoît XVI
(Deus Caritas Est - §36)
« La prière comme moyen pour puiser toujours à nouveau la force du Christ devient ici une urgence tout à fait concrète. Celui qui prie ne perd pas son temps, même si la situation apparaît réellement urgente et semble pousser uniquement à l’action. La piété n’affaiblit pas la lutte contre la pauvreté ou même contre la misère du prochain. La bienheureuse Teresa de Calcutta est un exemple particulièrement manifeste que le temps consacré à Dieu dans la prière non seulement ne nuit pas à l’efficacité ni à l’activité de l’amour envers le prochain, mais en est en réalité la source inépuisable »

2105

    Thomas a Kempis (1379-1471)
(Imitation de Jésus Christ)
"Notre mérite et notre progrès dans la perfection ne consistent point dans la douceur et l'abondance des consolations, mais plutôt dans la force de supporter de grandes tribulations et de pesantes épreuves."

1960

      Maurice Bellet
( l'épreuve ou le petit livre de la Divine Douceur - DDB 2016)

« La divine Douceur est paix, profonde paix, paix miséricordieuse, apaisement.
C'est une main douce et maternelle, qui sait, qui conforte, qui répare sans heurt, qui remet dans la juste place.
C'est un regard comme celui de la mère sur l'enfant naissant. C'est une oreille attentive et discrète, que rien n'effraie, qui ne juge pas, qui prend toujours le parti du bon chemin de l'homme, où l'on pourra vivre même l'invivable.
Elle est ferme comme la bonne terre sur qui tout repose. On peut s'appuyer sur elle, peser sans crainte.
Elle est assez solide pour supporter la détresse, l'angoisse, l'agression, pour tout supporter sans faiblir ni dévier.
Elle est constante comme la parole du Père qui ne plie pas. Ainsi est-elle le lieu sûr, où je cesse d'être à moi-même frayeur... »  

1925

      Marthe Robin
(Journal -Conseils pour avancer sur la voie de la perfection)

3. Le mal est un poison perfide, fuyons-le, écartons-nous de lui comme d’un gouffre affreux. Avec un saint courage, pratiquons le bien de tout notre cœur, de toutes nos forces, allons toujours au plus parfait, et la confiance, la paix rayonnera dans nos âmes.

1512

   Henri Caffarel
Henri Caffarel, - Camille C. - édit du Feu Nouveau, 1982, p 260
« La deuxième étape fut de sentir se développer en moi l’Amour infini, non pas comme quelque chose de statique, mais comme une force vivante qui vous pousse en avant, tellement puissante qu’on éprouve le besoin de l’épancher sans cesse sur d’autres. Cette force d’Amour est un don de l’Esprit Saint qu’on reçoit en partage parce qu’on vit de la vie de Dieu, dans ce double courant d’Amour qui unit le Père et le Fils. »

1511

   Edith Stein (Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix)
(De la personne, p 91)
« Il existe un état de repos en Dieu, de totale suspension de toute activité mentale (…) où on l’on abandonne tout son avenir à la volonté divine (…). Peut être ai-je éprouvé cet état après une expérience qui, ayant dépassé mes forces, consuma complètement ma vitalité spirituelle et m’ôta toute énergie (…) Et tandis que je m’abandonnait à ce sentiment, voici que je suis peu à peu remplie d’une vie nouvelle et d’un désir d’agir sans aucun effort volontaire de ma part. Cet afflux vital semble venir d’une activité et d’une force qui n’est pas mienne et qui produit son effet en moi sans faire violence à mon énergie. »

1424

    Saint Jean-Paul II, Salvifici doloris, n°27 et 24.

« Dans le Corps du Christ, qui grandit sans cesse à partir de la Croix du Rédempteur, la souffrance, imprégnée de l’esprit de sacrifice du Christ, est précisément, d’une manière irremplaçable, la médiation et la source des bienfaits indispensables au salut du monde. »Le Pape précisait : « Cela veut-il dire que la Rédemption accomplie par le Christ n’est pas complète ? Non. Cela signifie seulement que la Rédemption, opérée par la force de l’amour réparateur, reste constamment ouverte à tout amour qui s’exprime dans la souffrance humaine »

1210    

saint Paul aux Corinthiens, 1, 15, 44)

"Semé dans la corruption, le corps ressuscite incorruptible ; semé dans la petitesse, il ressuscite glorieux ; semé dans la faiblessse, il ressuscite dans la force ; semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. Car s'il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel." 

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)