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2467

        Ste Teresa de Calcutta
           (du livre "La prière, fraîcheur d'une Source")
« S'il est une chose que Jésus me demande, c'est de m'appuyer sur Lui, de me confier en Lui seul, de m'abandonner à Lui sans réserve... Nous ne devons pas essayer de contrôler les actions de Dieu. Nous ne devons pas compter des étapes du voyage qu'il veut nous faire entreprendre. Même si je me sens comme un bateau à la dérive, à moi de me donner entièrement à Lui.
Si quelque chose te paraît difficile, souviens-toi que nous ne sommes pas appelés à réussir, mais à être fidèles.
La fidélité est importante, même dans les petites choses, non pas pour la chose elle-même, ce qui serait le souci d'un esprit mesquin, mais pour la grande chose qu'est la Volonté de Dieu. Saint Augustin a dit : « Les petites choses restent petites, mais être fidèle dans les petites choses est une grande chose. Notre Seigneur n'est-il pas le même dans un pauvre visiteur que dans un grand ? » (cf Mt 25, 40 : « Amen, je vous le dis : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »). Amen. » 


2440

        Sainte Térésa de Calcutta
« Seigneur crucifié et ressuscité,
Apprends-nous à affronter
Les luttes de la vie quotidienne,
Afin que nous vivions
Dans une grande plénitude.
Tu as humblement et patiemment accueilli,
Les échecs de la vie humaine
Comme les souffrances de la crucifixion.
Alors les peines et les luttes
Que nous apporte chaque journée,
Aide-nous à les vivre
Comme des occasions de grandir
Et de mieux te ressembler.
Rends-nous capable de les affronter,
Plein de confiance en ton soutien.
Fais nous comprendre
Que nous n’arrivons à la plénitude de la vie
Qu’en mourant sans cesse à nous mêmes
Et en nos désirs égoïstes.
Car c’est seulement en mourant avec Toi
Que nous pouvons ressusciter avec Toi.
Que rien désormais
Ne nous fasse souffrir ou pleurer
Au point d’en oublier la joie de ta résurrection.
Tu es le soleil éclaté de l’amour du Père,
Tu es l’espérance du bonheur éternisé
Tu es le feu de l’amour embrasé.
Que la joie de Jésus soit force en nous
Et qu’elle soit, entre nous, lien de paix
D’unité et d’amour. »

2132

  Sainte Térésa de Calcutta
«Qu’est ce qui sauvera le monde? Ma réponse est la prière. Il faut que chaque paroisse se tienne au pied de Jésus dans le Saint-Sacrement dans des heures d’adoration. »

2131

  Benoît XVI
(Deus Caritas Est - §36)
« La prière comme moyen pour puiser toujours à nouveau la force du Christ devient ici une urgence tout à fait concrète. Celui qui prie ne perd pas son temps, même si la situation apparaît réellement urgente et semble pousser uniquement à l’action. La piété n’affaiblit pas la lutte contre la pauvreté ou même contre la misère du prochain. La bienheureuse Teresa de Calcutta est un exemple particulièrement manifeste que le temps consacré à Dieu dans la prière non seulement ne nuit pas à l’efficacité ni à l’activité de l’amour envers le prochain, mais en est en réalité la source inépuisable »

2130

  Sainte Térésa de Calcutta
« On devrait fortement appuyer l’adoration perpétuelle avec exposition. Jésus s’est fait Pain de Vie pour nous donner la vie. Nuit et jour. II est là. Si vous voulez vraiment grandir en amour, revenez à l’Eucharistie, revenez à l’adoration eucharistique. Il nous faut tisser nos vies autour de l’Eucharistie… fixer les yeux sur Lui qui est lumière; placez vos cœurs près de son Divin Cœur; demandez-Lui de vous accorder la grâce de Le connaître, l’amour de L’aimer, le courage de Le servir. Cherchez-Le avec ferveur. Par Marie, cause de notre joie, vous découvrez que nulle part au monde êtes-vous mieux accueillis, nulle part au monde êtes-vous mieux aimés que par Jésus vivant et vraiment présent au Très Saint-Sacrement… Il est vraiment là en Personne, à vous attendre. »

2129

  Sainte Térésa de Calcutta
« Le temps que vous passez avec Jésus au Saint-Sacrement est le meilleur temps que vous puissiez passer sur terre. Chaque instant passé avec Jésus approfondira votre union avec lui, rendra votre âme immortelle plus glorieuse et plus belle au ciel et contribuera à apporter une paix éternelle sur terre. »

1657

     sainte Téresa de Calcutta 
"C’est Noël chaque fois que vous souriez à votre frères et lui tendez la main, chaque fois que vous vous taisez pour écouter quelqu’un, chaque fois que vous tournez le dos aux préjugés qui relèguent les opprimés aux confins de leur isolement, chaque fois que vous espérez avec les prisonniers, ceux qui sont chargés du poids de la pauvreté physique, morale ou spirituelle, chaque fois que vous reconnaissez avec humilité vos limites et votre faiblesse.
C’est Noël chaque fois que vous permettez à Dieu d’aimer les autres à travers vous.
Prions Dieu qu’à Noël nous puissions accueillir Jésus non dans la froide mangeoire de notre cœur, mais dans un cœur plein d’amour et d’humilité, animé par la chaleur de l’amour que nous avons les uns pour les autres."

1506

   Sainte Teresa de Calcutta
" Il faut avant tout consacrer du temps au silence, et à la contemplation, surtout si nous vivons dans de grandes villes où tout n'est qu'agitation.
Voilà pourquoi j'ai décidé d'ouvrir notre première maison de sœurs contemplatives, dont la vocation est de prier pendant la plus grande partie de la journée, à New York plutôt que sur l'Himalaya, car je sentais que ce sont les grandes villes qui avaient le plus besoin de silence et de contemplation.
Je commence toujours à prier par le silence : c'est dans le silence du cœur que Dieu parle. Dieu est l'ami du silence et nous devons l'écouter, parce que ce ne sont pas nos paroles qui comptent, mais ce que Lui nous dit, et ce qu'il dit à travers nous.
Ce que le sang est au corps, la prière l'est à l'âme ; elle la rapproche de Dieu et purifie notre cœur. Alors, le cœur purifié, nous pouvons voir Dieu, lui parler et découvrir son amour en la personne de chacun de nos frères humains.
Si votre cœur est pur, vous êtes transparent en face de Dieu, vous ne lui dissimulez rien, et alors seulement vous lui offrez librement ce qu'Il attend de vous. »

1505

   Sainte Teresa de Calcutta
(Repartir du Christ - Abbé Lelièvre - 15 août 2016)

A un journaliste qui lui posait la question : « Mère Teresa, que devons faire pour que les choses changent dans le monde ? », la sainte de Calcutta lui répondit :

« Il y a deux choses à faire pour que les choses changent dans le monde : changer, vous et moi ».

A une religieuse qui se plaignait de ne pas avoir assez de temps dans la journée pour tout faire, Mère Teresa lui répondit : 
« Vous avez raison, nous n’avons pas assez de temps. Alors, à partir de maintenant, au lieu de faire une heure d’Adoration Eucharistique par jour, nous en ferons deux. Une heure le matin et une heure le soir ! » Les vocations se sont multipliées par deux.

1504

   Sainte Teresa de Calcutta
    (Testament spirituel de mère Térésa)

Aime-moi tel que tu es !


Je connais ta misère, les combats et les tribulations de ton âme ; la faiblesse et les infirmités de ton corps ; je sais ta lâcheté, tes péchés, tes défaillances ; je te dis quand même : Donne-moi ton cœur, aime-moi tel que tu es.
Si tu attends d’être un ange pour te livrer à l’amour, tu ne M’aimeras jamais. Même si tu retombes souvent dans ces fautes que tu voudras ne jamais connaître, même si tu es lâche dans la pratique de la vertu, je ne te permets pas de ne pas M’aimer.
Aime-moi tel que tu es. A chaque instant et dans quelque position que tu te trouves, dans la ferveur et dans la sécheresse, dans la fidélité ou dans l’infidélité.
Aime-moi tel que tu es. Je veux l’amour de ton cœur indigent ; si pour M’aimer, tu attends d’être parfait, tu ne M’aimeras jamais. Ne pourrais-je pas faire de chaque grain de sable un séraphin tout radieux de pureté, de noblesse et d’amour ? Ne pourrais-je pas, d’un seul signe de ma volonté, faire surgir du néant des milliers de saints, mille fois plus parfaits et plus aimants que ceux que j’ai créé ? Ne suis-je pas le Tout-Puissant ?

1503

   Sainte Teresa de Calcutta
    (Testament spirituel de mère Térésa)


Mes enfants très chers, Sœurs, Frères et Pères,
Cette lettre étant très personnelle, j’ai voulu l’écrire de ma propre main, mais il y a tant de choses à dire… Mais même si elle n’est pas de ma main, elle sort de mon cœur ! Jésus veut que je vous dise encore – surtout en cette Semaine Sainte – combien il a d’amour pour chacun d’entre vous, au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. Je m’inquiète de ce que certains d’entre vous n’aient pas encore vraiment rencontré Jésus –Seul à seul– : vous et Jésus seulement. Nous pouvons certes passer du temps à la chapelle, mais avez-vous perçu (avec les yeux de l’âme) avec quel amour Il vous regarde ? Avez-vous vraiment fait connaissance avec Jésus vivant, non pas à partir de livres mais pour l’avoir hébergé dans votre cœur ? Avez-vous entendu ses mots d’amour ?
Demandez la grâce : Il a l’ardent désir de vous la donner. Tant que vous n’écouterez pas Jésus dans le silence de votre cœur, vous ne pourrez pas l’entendre dire « J’ai soif » dans le cœur des pauvres. N’abandonnez jamais ce contact intime et quotidien avec Jésus comme personne réelle vivante, et non pas comme pure idée.

1399

   Mère Térésa
(Prière) 

Seigneur crucifié et ressuscité,
Apprends-nous à affronter,
Les luttes de la vie quotidienne,
Afin que nous vivions dans une grande plénitude.
Tu as humblement et patiemment accueilli les échecs de la vie humaine,
Comme les souffrances de la crucifixion.
Alors les peines et les luttes que nous apporte chaque journée,
Aide-nous à les vivre comme des occasions de grandir et de mieux te ressembler.
Rends-nous capable de les affronter, plein de confiance en ton soutien.
Fais nous comprendre que nous n'arrivons à la plénitude de la vie
Qu'en mourant sans cesse à nous mêmes et en nos désirs égoïstes.
Car c'est seulement en mourant avec Toi que nous pouvons ressusciter avec Toi.
Que rien désormais ne nous fasse souffrir ou pleurer
Au point d'en oublier la joie de ta résurrection.


1395

   sainte Teresa de Calcutta (1910-1997)

"J'ai soif" (Jn 19,28)

Le 10 septembre 1946. Sœur Teresa est dans le train qui grimpe en direction de Darjeeling, aux pieds de l’Himalaya. Elle se rend à la retraite annuelle des Sœurs de Loreto. Elle a 36 ans. Elle est heureuse. Sa vie est pleine. Depuis ses élèves jusqu’à ses consœurs, tout le monde l’aime. Puis soudain cette voix dans son cœur et tout à la fois hors d’elle qui lui dit : « J’ai soif de toi, de ton amour ».

C’est la voix de Jésus. Elle ne doute pas. Dans ce train, le Christ lui demande de tout laisser, même son ordre, pour servir les plus pauvres parmi les pauvres, pour L’apporter à eux, dans les trous obscurs de l’existence humaine la plus dégradée. C’est la naissance des Missionnaires de la Charité, l’ordre fondé par Mère Teresa de Calcutta

Quand elle explique cette expérience en 1993, elle affirme avoir expérimenté la « soif de Dieu » comme étant les « profondeurs du désir divin infini d'aimer et d'être aimé ».
Elle conçoit alors que sa vocation est de répondre à cette soif de Dieu, en aimant les pauvres dans lesquels elle voit Dieu :« Pour moi, ils sont tous le Christ - Le Christ dans un déguisement désolant ».
lors la lettre dite de « Varanasi » écrite aux missionnaires de la Charité, le 25 mars 1993, elle affirme :
« Si vous devez retenir quelque chose de la lettre de Mère, retenez ceci: « J'ai soif » est bien plus profond que Jésus vous disant « Je vous aime ». Tant que vous ne savez pas au plus profond de vous que Jésus a soif de vous, vous ne pouvez pas savoir qui Il veut être pour vous. Ou qui Il veut que vous soyez pour Lui. » Mère Teresa poursuit « Jésus a soif, même maintenant, dans votre cœur et dans les pauvres, Il connaît votre faiblesse. Il veut seulement votre amour, Il veut seulement la chance de vous aimer. ».



1270

  sainte Teresa de Calcutta (1910-1997)

Voici une Prière à réciter devant le Saint Sacrement qui fait parler Jésus pour nous « J’ai soif de toi » 

« Voici je me tiens à la porte et je frappe... » (Ap 3, 20) 

C’est vrai. Je me tiens à la porte de ton cœur, jour et nuit. Même quand tu n’écoutes pas, même quand tu doutes que cela puisse être Moi, Je suis là. J’attends, même le plus petit signe de réponse de ta part, même le moindre murmure qui m’invitera à entrer. Et Je veux que tu saches que, quel que soit le moment où tu m’inviteras, J’entrerai toujours, sans faillir. Silencieux et discret, Je viens… mais avec une Puissance et un Amour infinis, apportant les nombreux Dons de mon Esprit. Je viens avec ma Miséricorde, avec mon Désir de te pardonner et de te quérir, et avec un Amour pour toi bien au-delà de ce que tu peux comprendre, un Amour aussi grand que Celui que J’ai reçu du Père : 

« Comme le Père m’a aimé, moi aussi Je vous ai aimé... » (Jn 15, 9) 

Je viens, avec le désir de te consoler et de te donner la force, pour te relever et bander toutes tes blessures. Je t’apporte ma Lumière pour dissiper toutes tes ténèbres et tous tes doutes. Je viens avec ma Puissance, afin de te porter, toi et tous tes fardeaux ; avec ma Grâce, pour toucher ton cœur et transformer ta vie ; et ma Paix pour apaiser ton âme. Je te connais entièrement, Je sais tout de toi. Tous tes cheveux sont comptés. Il n’y a rien dans ta vie qui ne compte pour Moi. Je t’ai suivi(e) à travers les années, et Je t’ai toujours aimé(e), même dans tes « vagabondages ». Je connais chacun de tes problèmes. Je connais tes besoins et tes soucis. Et Je te redis : « Je t’aime ». Non pour ce que tu as ou n’a pas fait, Je t’aime pour toi, pour la Beauté et la Dignité que mon Père t’a données en te créant à son Image. C’est une Dignité que tu as souvent oubliée, une Beauté que tu as ternie par le péché. Mais Je t’aime tel que tu es, et J’ai versé mon Sang pour te racheter. Si tu me le demandes avec confiance, ma Grâce touchera tout ce qui a besoin de changer ta vie ; et Je te donnerai la Force de te libérer du péché et de son pouvoir destructeur. Je sais ce qui est dans ton cœur : Je connais ta solitude et tes blessures, les rejets, les jugements, les humiliations. J’ai porté tout cela avant toi. Et J’ai porté tout cela pour toi, afin que tu puisses partager ma Force et ma Victoire. Je connais spécialement ton besoin d’amour. Combien tu as soif d’être aimé(e) et chéri(e). Mais combien de fois tu as eu soif en vain, cherchant cet amour égoïstement, essayant de remplir ce vide au-dedans de toi avec des plaisirs passagers, et même avec le grand néant du péché. 

As-tu soif d’Amour ? 

« Venez à Moi vous tous qui avez soif... » (Jn 7, 37) 

Je vais te satisfaire et te remplir. As-tu soif d’être chéri(e) ? Je vais te chérir plus que tu ne peux l’imaginer …au point de mourir sur la Croix. 
J’ai soif de toi. Oui, c’est la seule façon de commencer à décrire mon Amour de t’aimer et d’être aimé par toi. C’est ainsi que tu es précieux(se) pour Moi. 
J’ai soif de toi. Tu ne dois jamais douter de ma Miséricorde. De la manière dont Je t’accepte, de mon Désir de te pardonner, de te bénir et de vivre ma Vie en toi. 
J’ai soif de toi. Ouvre-Moi, viens à Moi, aie soif de Moi, donne-Moi ta vie… et Je vais te prouver combien tu es important(e) pour mon Cœur. 
Ne réalises-tu pas que mon Père a déjà un Plan parfait pour transformer ta vie, en commençant dès maintenant ? … et Je le ferai. Je te promets, devant mon Père qui est aux Cieux, que Je vais accomplir des Miracles dans ta vie. Pourquoi ferai-Je cela ? Parce que J’ai soif de toi. Tout ce que Je te demande, c’est de te confier entièrement en Moi. Je ferai tout le reste. Dès maintenant Je tiens la place que mon Père a préparée pour toi dans mon Royaume. Rappelle-toi que tu es un(e) pèlerin(e) dans cette vie... Le péché ne pourra jamais te satisfaire ou t’apporter la paix que tu recherches. Tout ce que tu as cherché hors de Moi t’a laissé encore plus vide, ne t’attache donc pas aux choses de cette vie. Par-dessus tout, ne cours pas loin de Moi quand tu tombes. Viens à Moi sans délai. Quand tu me donnes tes péchés, tu me donnes la joie d’être ton Sauveur. Il n’y a rien que Je ne puisse pardonner et guérir ; donc, viens maintenant, et ouvre ton cœur. Peu importe si tu es loin, peu importe si tu M’as oublié souvent, peu importe le nombre de croix que tu peux porter dans cette vie ; il y a une seule chose que Je veux que tu te rappelles toujours, une chose qui ne changera jamais : J’ai soif de toi tel(le) que tu es. Tu n’as pas besoin de changer pour pouvoir croire en mon Amour qui va te changer. Tu m’oublies, et cependant Je te cherche à chaque moment de la journée, me tenant à la porte de ton cœur, et frappant. Trouves-tu que c’est trop difficile à croire ? Alors regarde la Croix, regarde mon Cœur transpercé pour toi. N’as-tu jamais compris ma Croix ? Alors écoute encore les mots que J’ai dits, car ils disent clairement pourquoi J’ai enduré tout cela pour toi : 

« J’ai soif » (Jn 19, 28) 

Oui, J’ai soif de toi, comme le verset du Psaume que Je priais le dit de Moi : 

« Je cherchais l’amour, et je ne l’ai pas trouvé... » (Ps 69, 20

Toute ma vie, J’ai cherché ton amour. Je n’ai jamais cessé de chercher à t’aimer et à être aimé par toi. Tu as essayé beaucoup de choses dans ta quête de bonheur… pourquoi ne pas essayer de M’ouvrir ton cœur, maintenant, plus que tu ne l’as fait avant ? Peu importe quand tu ouvriras la porte de ton cœur. Quand tu te rapprocheras assez, tu M’entendras te dire encore et encore, non dans un langage humain, mais en Esprit : 

« Peu importe ce que tu as fait, Je t’aime pour toi. Viens à Moi avec ta misère et tes péchés, avec tes troubles et tes besoins, et avec tous tes désirs d’être aimé(e). Je me tiens à la porte de ton cœur et Je frappe : ouvre-moi, car J’ai soif de toi ». 

1131

sainte Téresa de Calcutta
"L'amour n'est plus l'amour s'il n'est pas partagé".
Mère Teresa meurt, à l'âge de 87 ans, d'un accident cardiaque, le 5 septembre 1997 à Calcultta, où elle a fondé l'ordre des Missionnaires de la Charité. L'annonce de sa mort crée l'émotion dans les rues de Calcutta mais également dans le monde entier.
son héritage ?
Elle laisse deux saris blancs à liserés bleus, un chapelet, une croix, un sac en toile, un parapluie, une paire de sandales et un petit tricot de laine bleue pour l'hiver, mais surtout une immense œuvre de charité. Près de 3.500 sœurs, réparties en plus de quatre cents centres sur les cinq continents, poursuivront sa tâche. «S'il y a des pauvres sur la Lune, nous irons aussi», avait-elle lancé avec la foi de l'apôtre Paul, pour qui «l'amour excuse tout, croit tout, espère tout, endure tout».(cf1 Corinthiens 13,4-8)
«Ce qui compte, ce n'est pas de faire beaucoup, c'est de mettre beaucoup d'amour dans ce que l'on fait», disait-elle à ses sœurs,
Chacun retrouve ainsi un peu de dignité humaine, toutes races et toutes religions confondues. «C'est mon amour pour Dieu en action, confesse-t-elle. Notre travail n'est rien d'autre que l'amour de Dieu. J'aime Dieu par une action vivante, active, en servant les plus pauvres d'entre les pauvres.»
Aucune grande ville, aucun drame humain ne lui sont étrangers. «Si chacun commence à partager, à aider, à servir son prochain, alors,
alors la PAIX viendra»

1095

Sainte Térésa de Calcutta (mère Térésa)
"C'est Noël chaque fois que vous souriez à votre frères et lui tendez la main, chaque fois que vous vous taisez pour écouter quelqu'un, chaque fois que vous tournez le dos aux préjugés qui relèguent les opprimés aux confins de leur isolement, chaque fois que vous espérez avec les prisonniers, ceux qui sont chargés du poids de la pauvreté physique, morale ou spirituelle, chaque fois que vous reconnaissez avec humilité vos limites et votre faiblesse.
C'est Noël chaque fois que vous permettez à Dieu d'aimer les autres à travers vous.
Prions Dieu qu'à Noël nous puissions accueillir Jésus non dans la froide mangeoire de notre cœur, mais dans un cœur plein d'amour et d'humilité, animé par la chaleur de l'amour que nous avons les uns pour les autres. Mère Teresa"
Source : publié sur site du Pelerin

1069

sainte Térésa de Calcutta 
"Ce qui est le plus important, ce n'est pas ce que nous disons, mais ce que Dieu nous dit. Jésus est toujours là, à nous attendre. Nous pouvons entendre sa voix dans le silence. "

1068

sainte Térésa de Calcutta 

"Nous devons trouver le temps de nous regarder en face pour échanger un bonjour, pour partager ensemble un moment de joie, pour être ce que nos enfants attendent de nous. "

1067

sainte Térésa de Calcutta 

"Les pauvres ont besoin de nous, mais le besoin que nous avons des pauvres n'est pas moins grand. La plus grande pauvreté réside dans le fait de ne pas être aimé."

1066

sainte Térésa de Calcutta 

Dans le pauvre, nous touchons réellement le corps du Christ. Dans le pauvre, c'est le Christ affamé que nous nourrissons; c'est le Christ nu que nous habillons; c'est le Christ sans demeure que nous abritons. Il ne s'agit pas seulement de faim de pain, de manque de vêtements ou de besoin d'une maison faite de briques. Aujourd'hui, le Christ a faim dans nos pauvres gens. Mais même les riches ont faim d'amour, d'attention, faim d'être désirés, d'avoir quelqu'un qui soit leur.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)