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1971

      Saint Jean-Paul II
(Lourdes - 15 août 2004)

"La mission des femmes est d’être dans la société actuelle témoin des valeurs essentielles qui ne peuvent se percevoir qu'avec les yeux du coeur."

1826

     pape François 
(Homélie du 1er janvier 2020, en la Solennité de Sainte Marie Mère de Dieu)

 « En Dieu, il y aura pour toujours notre humanité et pour toujours Marie sera la Mère de Dieu. Elle est femme et mère, c’est ce qui est essentiel. » « Par elle, une femme, le salut est venu et donc il n’ y a pas de salut sans la femme. »  « C’est là que Dieu s’est uni à nous, et si nous voulons nous unir à Lui, il faut passer par le même chemin : par Marie, femme et mère. »

1825

     pape François 
(Homélie du 1er janvier 2020, en la Solennité de Sainte Marie Mère de Dieu)
« Si nous voulons tisser d’humanité les trames de nos jours, nous devons repartir de la femme. »  

1823

     pape François 
(Homélie du 1er janvier 2020, en la Solennité de Sainte Marie Mère de Dieu)
« Par le corps d’une femme, le salut est parvenu à l’humanité: de la façon dont nous traitons le corps de la femme, nous comprenons notre niveau d’humanité. »
 "En ce premier jour de l’année, nous célébrons ces noces entre Dieu et l’homme, inaugurées dans le sein d’une femme. En Dieu, il y aura pour toujours notre humanité et pour toujours Marie sera la Mère de Dieu. Elle est femme et mère, c’est ce qui est essentiel. Par elle, une femme, le salut est venu et donc il n’y a pas de salut sans la femme.
C’est là que Dieu s’est uni à nous, et si nous voulons nous unir à lui, il faut passer par le même chemin : par Marie, femme et mère. C’est pourquoi nous commençons l’année sous le signe de Notre-Dame, la femme qui a tissé l’humanité de Dieu. Si nous voulons tisser d’humanité les trames de nos jours, nous devons repartir de la femme.
Né d’une femme. La renaissance de l’humanité a commencé à partir de la femme. Les femmes sont sources de vie. Cependant elles sont continuellement offensées, battues, violentées, poussées à se prostituer et à supprimer la vie qu’elle portent dans leur sein.
Toute violence faite à la femme est une profanation de Dieu, né d’une femme. Par le corps d’une femme, le salut est parvenu à l’humanité : de la façon dont nous traitons le corps de la femme, nous comprenons notre niveau d’humanité.
Combien de fois le corps de la femme a été sacrifié sur les autels profanes de la publicité, du gain, de la pornographie, exploité comme une surface à utiliser. Il doit être libéré du consumérisme, il doit être respecté et honoré ; c’est la chair la plus noble du monde, elle a conçu et a mis au monde l’Amour qui nous a sauvé!
Aujourd’hui encore, la maternité est humiliée, parce que l’unique croissance qui importe est la croissance économique. Il y a des mères qui prennent le risque de voyages dangereux, cherchant désespérément à donner au fruit de leur sein un avenir meilleur et sont jugées en surnombre par des personnes qui ont le ventre plein, mais de choses, et le coeur vide d’amour."

1774

     pape François 
(Lumen Fidei n°58 - Femmes pèlerines)
"En Marie, fille de Sion, s'accomplit la longue histoire de la foi de l'Ancien Testament, à travers le récit de la vie de nombreuses femmes fidèles, à commencer par Sarah. Des femmes qui, à côté des patriarches, étaient le lieu où la promesse de Dieu s'accomplissaient, et où la vie nouvelle s'épanouissait. A la plénitude des temps, la parole de Dieu s'est adressée à Marie, qui l'a accueillie, avec tout son être, dans son coeur, pour qu'elle prenne chair en elle et naisse comme la lumière pour les hommes. Saint Justin martyr, dans son Dialogue avec Tryphon, emploie cette belle expression par laquelle il dit que Marie, en acceptant le message de l'Ange, a conçu "foi et joie". En effet, en la mère de Jésus, la foi s'est montrée riche en fruits, et quand notre vie spirituelle porte ses fruits, nous sommes emplis de joie. C'est le signe le plus clair de la grandeur de la foi. Dans sa vie, Marie a accomplit le pèlerinage de la foi en suivant son Fils. Ainsi, en Marie, l'engagement sur le chemin de foi de l'Ancien Testament s'accomplit en suivant Jésus et en se laissant transformer par Lui, en entrant dans le regard même du Fils de Dieu incarné."

436

Bible - Nouveau Testament
Luc 7, 40-48
Et prenant la parole, Jésus lui dit : " Simon, j'ai quelque chose à te dire. " Et lui : " Maître, parlez, " dit-il. " Un créancier avait deux débiteurs : l'un devait cinq cents deniers et l'autre cinquante. Comme ils n'avaient pas de quoi rendre, il fit remise à tous les deux. Lequel donc d'entre eux l'aimera davantage? " Simon répondit : " Celui, je pense, auquel il a remis le plus. " Il lui dit : " Tu as bien jugé. "
Et, se tournant vers la femme, il dit à Simon : " Vois-tu cette femme ? Je suis entré dans ta maison, et tu n'as pas versé d'eau sur mes pieds ; mais elle, elle a arrosé mes pieds de (ses) larmes et les a essuyés avec ses cheveux. Tu ne m'as point donné de baiser; mais elle, depuis que je suis entré, elle ne cessait pas d'embrasser mes pieds. Tu n'as pas oint ma tête d'huile; mais elle, elle a oint mes pieds de parfum. C'est pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés lui sont pardonnés, parce qu'elle a beaucoup aimé; mais celui à qui l'on pardonne peu, aime peu. " Et à elle, il dit : " Tes péchés sont pardonnés. "

314

St Augustin
Traité sur l'évangile de saint Jean, 33, 6
A mon avis, la coupable avait ressenti une terreur moins vive à entendre ses accusateurs qu’à écouter ces paroles du Sauveur : « Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre ». Dès que ceux-ci eurent reporté sur eux-mêmes leur attention, ils se reconnurent fautifs et en donnèrent la preuve en s’éloignant : ils laissèrent donc cette femme, souillée d’un grand crime, en présence de celui qui était sans péché. Elle lui avait entendu dire : « Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre ». Aussi s’attendait-elle à une punition de la part de celui en qui l’on n’avait jamais découvert aucun péché. Pour lui, après avoir écarté ses ennemis par le langage de la justice, il leva vers elle des regards pleins de douceur et lui adressa cette question : « Personne ne t’a condamnée ? — Personne, Seigneur », répondit-elle. — Et il ajouta : « Je ne te condamnerai pas non plus ». Parce que tu n’as pas trouvé de péché en moi, tu as craint sans doute de me voir prononcer ta condamnation : eh bien, « je ne te condamnerai pas non plus ». Eh quoi, Seigneur, approuveriez-vous le péché ? Non certes, il ne l’approuve pas ; car, écoute ce qui suit : « Va, et ne pèche plus à l’avenir ». Le Sauveur a donc prononcé une condamnation ; mais ce qu’il a condamné, c’est le péché, et non le pécheur.

296

Saint Jean-Paul II
Lettre aux femmes, 29 juin 1995, n° 2
Le merci adressé au Seigneur pour son dessein sur la vocation et la mission de la femme dans le monde devient aussi un merci concret et direct aux femmes, à chacune des femmes, pour ce qu'elles représentent dans la vie de l'humanité.
Merci à toi, femme-mère, qui accueilles en ton sein l'être humain dans la joie et dans la peine d'une expérience unique par laquelle tu deviens sourire de Dieu pour l'enfant qui vient au monde, tu deviens le guide de ses premiers pas, le soutien de sa croissance, puis le point de repère sur le chemin de sa vie.
Merci à toi, femme-épouse, qui unis d'une façon irrévocable ton destin à celui d'un homme, dans une relation de don réciproque, au service de la communion et de la vie.
Merci à toi, femme-fille et femme-sœur, qui apportes au foyer familial puis dans le complexe de la vie sociale les richesses de ta sensibilité, de ton intuition, de ta générosité et de ta constance.
Merci à toi, femme-au-travail, engagée dans tous les secteurs de la vie sociale, économique, culturelle, artistique, politique, pour ta contribution irremplaçable à l'élaboration d'une culture qui puisse allier la raison et le sentiment, à une conception de la vie toujours ouverte au sens du « mystère », à l'édification de structures économiques et politiques humainement plus riches.
Merci à toi, femme-consacrée, qui, à la suite de la plus grande des femmes, la Mère du Christ, Verbe incarné, t'ouvres en toute docilité et fidélité à l'amour de Dieu, aidant ainsi l'Église et l'humanité entière à donner à Dieu une réponse « sponsale » qui exprime merveilleusement la communion qu'il veut établir avec sa créature.
Merci à toi, femme, pour le seul fait d'être femme ! Par la perception propre à ta féminité, tu enrichis la compréhension du monde et tu contribues à la pleine vérité des relations humaines.

102

St Augustin
Confessions, 9, 10,26-11,27 (dernières paroles de Ste Monique)
Telles étaient les pensées, sinon les paroles, de notre entretien. Et vous savez, Seigneur, que ce jour même où nous parlions ainsi, où le monde avec tous ses charmes nous paraissait si bas, elle me dit : "Mon fils, en ce qui me regarde, rien ne m’attache plus à cette vie. Qu’y ferais-je ? pourquoi y suis-je encore ? J’ai consommé dans le siècle toute mon espérance. Il était une seule chose pour laquelle je désirais séjourner quelque peu dans cette vie, c’était de te voir chrétien catholique avant de mourir. Mon Dieu me l’a donné avec surabondance, puisque je te vois mépriser toute félicité terrestre pour le servir. Que fais-je encore ici ?"
(...) Un jour dans sa maladie, elle perdit connaissance et fut un moment enlevée à tout ce qui l’entourait. Nous accourûmes, elle reprit bientôt ses sens, et nous regardant mon frère et moi, debout auprès d’elle, elle nous dit comme nous interrogeant : "Où étais-je ?" Et à l’aspect de notre douleur muette : "Vous laisserez ici, votre mère !" Je gardais le silence et je retenais mes pleurs. Mon frère dit quelques mots exprimant le vœux qu’elle achevât sa vie dans sa patrie plutôt que sur une terre étrangère. Elle l’entendit, et, le visage ému, le réprimant des yeux pour de telles pensées, puis me regardant : "Vois comme il parle", me dit-elle ; et s’adressant à tous deux : "Laissez ce corps partout ; et que tel souci ne vous trouble pas. Ce que je vous demande seulement, c’est de vous souvenir de moi à l’autel du Seigneur, partout où vous serez". Nous ayant témoigné sa pensée comme elle pouvait l’exprimer, elle se tut, et le progrès de la maladie redoublait ses souffrances.

100

Ste Teresa de Calcutta
Intervention, §7-8
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)
D'autre part, lorsque les familles sont fortes et unies, les enfants sont en mesure de voir dans l'amour de leur père et mère l'amour très spécial que Dieu a pour eux et peuvent ainsi arriver à faire de leur pays un endroit où l'on aime et où l'on prie. L'enfant est le plus beau don que Dieu puisse faire à la famille : il a besoin de son père aussi bien que de sa mère parce que l'un et l'autre manifestent l'amour de Dieu d'une façon spéciale. Une famille qui prie ensemble reste ensemble, et s'ils restent ensemble, ils s'aimeront les uns les autres comme Dieu les a aimés, tous et chacun d'entre eux. Et les œuvres de l'amour sont toujours des œuvres de paix.
Aussi, gardons tous en nos cœurs la joie d'aimer et partageons cette joie avec tous ceux qui se trouvent sur notre chemin. La prière que j'adresse à Dieu est que tous les délégués, et que toutes les femmes que la Conférence de Pékin cherche à aider, que toutes et chacune d'entre elles, dis-je, en arrivent à faire leur l'humilité et la pureté de Marie afin de pouvoir vivre en paix et en amour les uns avec les autres, faisant ainsi de nos familles et de notre monde un lieu de beauté pour Dieu. Ce qu'il faut, c'est la prière.
Tout pour la gloire de Dieu et le bien des âmes. Que Dieu vous bénisse tous !

093

Bse Mère Teresa de Calcutta
Intervention, §5
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)

Dieu nous a dit : "Aimez votre prochain comme vous-mêmes." De sorte que je dois d'abord m'aimer moi-même, comme il se doit, et ensuite aimer mon prochain de la même manière. Mais comment puis-je m'aimer moi-même si je ne m'accepte pas telle que Dieu m'a, faite ? Ceux qui nient la beauté des différences entre l'homme et la femme ne s'acceptent pas tels que Dieu les a faits, et ne peuvent donc pas aimer leur prochain. Ils ne peuvent apporter avec eux que division et malheur et détruire la paix du monde. Par exemple, comme je l'ai souvent affirmé, l'avortement est ce qui détruit le plus la paix du monde aujourd'hui. Et ceux qui veulent absolument que la femme et l'homme soient la même chose sont tous en faveur de l'avortement.

088

Ste Teresa de Calcutta
Intervention, lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)

Cette puissance spéciale d'amour qu'ont les femmes n'est jamais plus apparente que lorsqu'elles deviennent mères. 
La maternité est le don de Dieu fait aux femmes. Comme nous devons être reconnaissants à Dieu pour ce don qui apporte une si grande joie au monde entier, aux hommes comme aux femmes. 
Et pourtant ce don de la maternité, nous pouvons le détruire, et d'une façon toute spéciale par le mal de l'avortement, mais aussi par celui qui consiste à penser qu'il y a d'autres choses plus importantes que celle d'aimer, que celle de se donner au service des autres : la carrière, par exemple, le travail à l'extérieur du foyer. Aucun travail, aucun plan de carrière, aucune possession matérielle, aucune vision de "liberté" peut remplacer l'amour. De sorte que tout ce qui détruit le don de la maternité, qui est un don de Dieu, détruit le plus précieux des dons faits par Dieu aux femmes, celui d'aimer en tant que femme.

086

Bse Mère Teresa de Calcutta
Intervention, lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme 
(Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)
Je prie Dieu qu'il fasse descendre sa bénédiction sur tous ceux et celles qui prennent part à la IVe Conférence mondiale sur la Femme, qui se tient à Pékin à l'heure actuelle. J'espère que cette conférence aidera tous et chacun à comprendre la place très spéciale que la Femme occupe dans le plan de Dieu, et nous amènera à adhérer pleinement à ce plan et à le mettre en œuvre.
Je dois dire que je n'arrive pas à comprendre pourquoi certains affirment que l'homme et la femme sont exactement les mêmes et qu'ils en viennent même à nier la beauté des différences qui existent entre l'homme et la femme. Les dons de Dieu sont tous également bons mais ils ne sont pas nécessairement les mêmes. Je réponds souvent à ceux qui me disent qu'ils aimeraient pouvoir servir les pauvres comme je le fais : "Ce que je fais, vous n'êtes pas en position de le faire. Ce que vous faites, je ne suis pas en position de le faire. Mais vous et moi ensemble, nous pouvons faire quelque chose de beau pour Dieu."
Il en va ainsi des différences entre l'homme et la femme. Dieu a créé chacun de nous, chaque être humain, en vue d'une plus grande chose : aimer et être aimé. Pourquoi Dieu nous a-t-il créés, les uns hommes, les autres femmes ? Parce que l'amour d'une femme est l'un des visages de l'amour de Dieu. L'amour d'un homme est un autre visage de ce même amour. L'homme et la femme sont tous les deux créés pour aimer, mais chacun d'une manière différente ; l'homme et la femme se complètent l'un l'autre, et tous les deux ensemble manifestent l'amour de Dieu beaucoup mieux qu'ils ne le pourraient chacun séparément.

049

Ste Teresa de Calcutta
Dans "Béatification", Jean-Paul II, Homélie 19-X-2003 (vatican.va)
Si vous entendez dire qu'une femme ne veut pas garder son enfant et désire avorter, essayez de la convaincre de m'apporter cet enfant. Moi, je l'aimerai, voyant en lui le signe de l'amour de Dieu.
Source : www.vatican.va

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)