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        Benoît XVI
         (Message pour le Carême 2006)
"En nous tournant vers le divin Maître, en nous convertissant à Lui, en faisant l’expérience de sa miséricorde grâce au sacrement de la Réconciliation, nous découvrirons un «regard» qui nous scrute dans les profondeurs et qui peut animer de nouveau les foules et chacun d’entre nous. Ce «regard» redonne confiance à ceux qui ne se renferment pas dans le scepticisme, en leur ouvrant la perspective de l’éternité bienheureuse. En fait, déjà dans l’histoire, même lorsque la haine semble dominer, le Seigneur ne manque jamais de manifester le témoignage lumineux de son amour."

2141

    pape François
      (Angélus du 8 mars 2020 - Transfiguration : « le témoin du Christ est choisi par grâce non par ses capacités »)
Chers frères et sœurs, bonjour !
Cette prière de l’angélus d’aujourd’hui est un peu étrange, avec le pape “en cage” dans la bibliothèque, mais je vous vois, je suis proche de vous. Et je voudrais commencer aussi en remerciant ce groupe [présent place Saint-Pierre] qui manifeste et qui lutte “Pour les oubliés d’Idlib”. Merci ! Merci pour ce que vous faites. Mais nous prions l’angélus de cette façon aujourd’hui en appliquant des dispositions préventives, afin d’éviter de petites affluences de personnes, qui peuvent favoriser la transmission du virus.
L’Evangile de ce deuxième dimanche de Carême (cf. Mt 17,1-9) nous présente le récit de la Transfiguration de Jésus. Ce dernier prend avec lui Pierre, Jacques et Jean et il monte sur une haute montagne, symbole de la proximité avec Dieu, pour les ouvrir à une compréhension plus profonde du mystère de sa personne, qui devra souffrir, mourir puis ressusciter. En effet, Jésus avait commencé à leur parler des souffrances, de la mort et de la résurrection qui l’attendaient, mais ils ne pouvaient accepter cette perspective. C’est pourquoi, parvenus au sommet de la montagne, Jésus s’immerge en prière et se transfigure devant les trois disciples : « son visage – dit l’Évangile – devint brillant comme le soleil, et ses vêtements, blancs comme la lumière» (v. 2).
A travers l’événement merveilleux de la Transfiguration, les trois disciples sont appelés à reconnaître en Jésus le Fils de Dieu resplendissant de gloire. Ils progressent ainsi dans la connaissance de leur Maître, en se rendant compte que l’aspect humain n’exprime pas toute sa réalité ; la dimension divine et d’un autre monde de Jésus est révélée à leurs yeux. Et d’en haut résonne une voix qui dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé […]. Ecoutez-le » (v. 5). C’est le Père céleste qui confirme l’“investiture” – appelons-la ainsi – de Jésus faite au jour de son baptême dans le Jourdain et qui invite les disciples à l’écouter et à le suivre.
Il faut souligner que, parmi le groupe des Douze, Jésus choisit d’emmener avec lui Pierre, Jacques et Jean sur la montagne. Il leur réserve à eux le privilège d’assister à la transfiguration. Mais pourquoi fait-il cette élection de ces trois-là ? Parce qu’ils sont plus saints ? Non. Pierre le reniera à l’heure de l’épreuve ; et les deux frères Jacques et Jean demanderont à avoir les premières places dans son royaume (cf. Mt 20,20-23). Jésus ne choisit pas selon nos critères, mais selon son dessein d’amour. L’amour de Jésus n’a pas de mesure : il est amour, et Il choisit selon ce dessein d’amour. Il s’agit d’un choix gratuit, inconditionnel, d’une initiative libre, d’une amitié divine qui ne demande rien en échange. Et de la même façon qu’il appelle ces trois disciples, aujourd’hui aussi il appelle certains à rester près de lui, pour pouvoir témoigner. Etre témoins de Jésus est un don que nous n’avons pas mérité : nous nous sentons inadéquats, mais nous ne pouvons pas reculer avec l’excuse de notre incapacité.
Nous ne sommes pas allés sur le Mont Tabor, nous n’avons pas vu de nos yeux le visage de Jésus briller comme le soleil. Cependant, la Parole du salut nous a été confiée à nous aussi, la foi nous a été donnée et nous avons fait l’expérience, de diverses façons, de la joie de la rencontre avec Jésus. A nous aussi Jésus dit : « Relevez-vous et soyez sans crainte » (Mt 17,7). En ce monde, marqué par l’égoïsme et par l’avidité, la lumière de de Dieu est assombrie pour les préoccupations du quotidien. Nous disons souvent : je n’ai pas le temps de prier, je ne suis pas capable de rendre un service en paroisse, de répondre aux demandes des autres… Mais nous ne devons pas oublier que le Baptême que nous avons reçu nous rend témoins, non pas de part nos capacités, mais par le don de l’Esprit.
Durant ce temps propice du Carême, que la Vierge Marie nous obtienne cette docilité à l’Esprit, qui est indispensable pour nous mettre résolument en chemin sur la voie de la conversion. 

2036

      Marthe Robin
     (Journal 12 janvier 1932)
« Va, dis aux hommes ce que le Seigneur a fait pour toi, comment, dans son amour, il s'est donné à toi !... Ils fuient à mesure que je les poursuis, c'est pourquoi ils ne me trouvent pas. »

1998

      Soeur Antoinette Butte
            (Fondatrice de la Communauté des soeurs de Pomeyrol)
"Il faut ensemencer le monde matérialiste de petites semences de vie religieuse sélectionnées et neuves, prélevées sur la masse vieillie de l’Église, et prêtes à tout recommencer.
Être au milieu des hommes, ici ou là, une présence de foi, d’espérance et d’amour. Et que ces mots rebattus deviennent tout neufs d’être vécus dans les formes neuves de la vie nouvelle des hommes."

1971

      Saint Jean-Paul II
(Lourdes - 15 août 2004)

"La mission des femmes est d’être dans la société actuelle témoin des valeurs essentielles qui ne peuvent se percevoir qu'avec les yeux du coeur."

1943

      Saint Thomas d'Aquin 
(Somme théologique, IIa, IIae, qu. 188, art 6)

« En effet, il est plus beau d’éclairer que de briller seulement ; de même est-il plus beau de transmettre aux autres ce qu’on a contemplé que de contempler seulement. »

1938

      Elie Weisel (1928-2016)
(extrait de son livre-témoignage "la nuit" - Le Seuil, 1958, pp.78-79)

« On arriva dans une gare. Ceux qui se tenaient près des fenêtres nous donnèrent le nom de la station :

- Auschwitz.
Personne n'avait jamais entendu ce nom-là.
Le train ne repartait pas. L'après-midi passa lentement. Puis les portes du wagon glissèrent. Deux hommes pouvaient descendre pour chercher de l'eau.

Lorsqu'ils revinrent, ils racontèrent qu'ils avaient pu apprendre, en échange d'une montre en or, que c'était le terminus. On allait être débarqués. Il y avait ici un camp de travail. De bonnes conditions. Les familles ne seraient pas disloquées. Seuls les jeunes iraient travailler dans les fabriques. Les vieillards et les malades seraient occupés aux champs. Le baromètre de la confiance fit un bond. C’était la libération soudaine de toutes les terreurs des nuits précédentes. On rendit grâce à Dieu.

Le crépuscule commença à emplir le wagon. Nous nous mîmes à manger nos dernières provisions. A dix heures du soir, chacun chercha une position convenable pour somnoler un peu, et bientôt tout le monde dormit.
Soudain :
- Le feu! L'incendie! Regardez, là ! ...

Réveillés en sursaut, nous nous précipitâmes à la fenêtre. Nous l'avions crue, cette fois encore, ne fut-ce qu'un instant. Mais il n'y avait dehors que la nuit obscure. La honte dans l'âme, nous regagnâmes notre place, rongés par la peur, malgré nous. Comme elle continuait à hurler, nous nous remîmes à la battre et c'est à grand-peine que nous réussîmes à la faire taire.

Le responsable de notre wagon appela un officier allemand qui se promenait sur le quai, lui demandant qu'on transportât notre malade au wagon - hôpital.

- Patience, répondit l'autre, patience. On l'y transportera bientôt.

Vers onze heures, le train se remit en mouvement. On se pressait aux fenêtres. Le convoi roulait lentement. Un quart d'heure plus tard, il ralentit encore. Par les fenêtres, on apercevait des barbelés; nous comprîmes que ce devait être le camp.

Nous avions oublié l'existence de madame Schächter. Soudain, nous entendîmes un hurlement terrible :

- Juifs, regardez! Regardez le feu! Les flammes, regardez !

Et comme le train s'était arrêté, nous vîmes cette fois des flammes sortir d'une haute cheminée, dans le ciel noir.

Madame Schächter s'était tue d'elle-même. Elle était redevenue muette, indifférente, absente et avait regagné son coin.

Nous regardions les flammes dans la nuit. Une odeur abominable flottait dans l'air. Soudain, nos portes s'ouvrirent. De curieux personnages, vêtus de vestes rayées, de pantalons noirs, sautèrent dans le wagon. Dans leurs mains, une lampe électrique et un bâton. Ils se mirent à frapper à droite et à gauche, avant de crier :

- Tout le monde descend! Laissez tout dans le wagon ! Vite !

Nous sautâmes dehors. Je jetai un dernier regard vers madame Schächter. Son petit garçon lui tenait la main.

Devant nous, ces flammes. Dans l'air, cette odeur de chair brûlée. il devait être minuit. Nous étions arrivés. À Birkenau.»

« Jamais je n'oublierai cette nuit, la première nuit de camp qui a fait de ma vie une nuit longue et sept fois verrouillée. Jamais je n'oublierai cette fumée.

Jamais je n'oublierai les petits visages des enfants dont j'avais vu les corps se transformer en volutes sous un azur muet.

Jamais je n'oublierai ces flammes qui consumèrent pour toujours ma foi. Jamais je n'oublierai ce silence nocturne qui m'a privé pour l'éternité du désir de vivre.

Jamais je n'oublierai ces instants qui assassinèrent mon Dieu et mon âme, et mes rêves qui prirent le visage du désert.

Jamais je n'oublierai cela, même si j’ étais condamné à vivre aussi longtemps que Dieu lui-même. Jamais. »

Je compris alors ce que j'avais aimé dès l'abord dans le jeune israélien : ce regard d'un Lazare ressuscité, et pourtant toujours prisonnier des sombres bords où il erra, trébuchant sur des cadavres déshonorés. Pour lui le cri de Nietzche exprimait une réalité presque physique : Dieu est mort, le Dieu d'amour, de douceur et de consolation, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob s'est à jamais dissipé, sous le regard de cet enfant, dans la fumée de l'holocauste humain exigé par la Race, la plus goulue de toutes les idoles. Et cette mort, chez combien de Juifs pieux ne s'est-elle pas accomplie? Le jour horrible, entre ces jours horribles, où l'enfant assista à la pendaison (oui !) d'un autre enfant qui avait, nous dit-il le visage d'un ange malheureux, il entendit quelqu'un derrière lui gémir : 
« Où est Dieu ? Où est-il ? Où donc est Dieu ?
et en moi une voix lui répondait :
Où Il est ?
Le voici - Il est pendu ici à cette potence. »

Camp d'Auschwitz - c'est par cette entrée que les convois arrivaient.
Elie Wiesel naît en Roumanie dans une famille hassidique. En mai 1944, avec les Juifs de la région de Sighet, zone hongroise de Transylvanie, sa famille est déportée à Auschwitz-Birkenau. Sa mère et l’une de ses trois sœurs y sont assassinées. Ses deux autres sœurs, Hilda et Bea, parviennent à survivre. Il est transféré en janvier 1945 vers Buchenwald avec son père où ce dernier décède. Il y est libéré par les troupes américaines en avril 1945.

1556

   Pape François 
Tweet du 25 juillet 2019
"Jésus cherche des témoins qui lui disent chaque jour : "Seigneur, Tu es ma vie".
Le pape citait une phrase de son homélie prononcée le 29 juin dernier, le jour de la fête des saints apôtres Pierre et Paul. Ces apôtres, a-t-il rappelé, « sont devant nous comme témoins » : « Ils ne se sont jamais fatigués d’annoncer, de vivre en mission, en chemin … ils ont témoigné jusqu’à la fin, en donnant leur vie comme martyrs. »

Le pape a invité les fidèles à faire un examen de conscience : « Devant ces témoins, a-t-il dit, demandons-nous : “Est-ce que je renouvelle tous les jours la rencontre avec Jésus ?”. Peut-être sommes-nous des curieux de Jésus, nous nous intéressons aux choses de l’Église ou aux nouvelles religieuses. Nous ouvrons des sites et des journaux et nous parlons des choses sacrées….Ça n’a pas d’importance pour Jésus. Il ne veut pas des "reporters de l’Esprit", encore moins des "chrétiens de couverture". »
« Demandons la grâce, a poursuivi le pape François, de ne pas être des chrétiens tièdes, qui vivent de demi-mesures, qui laissent refroidir l’amour. Retrouvons dans le rapport quotidien avec Jésus et dans la force de son pardon nos racines.
Jésus, comme à Pierre, te demande aussi :
“Qui suis-je pour toi ?”; “m’aimes-tu ?”.
Laissons ces paroles entrer en nous et allumer le désir de ne pas nous contenter du minimum, mais de viser plus haut, pour être nous aussi des témoins vivants de Jésus. »

pape François - Audience Générale du 12 mai 2019

1547

     Saint Jean-Paul II 
(Prière pour la France)
« Nous te présentons, ô Vierge très sainte, tes fils et tes filles de France. Garde l’Église sur cette terre dans la fidélité à l’Évangile […], dans l’unité de la foi et le dynamisme de l’espérance. Fais des baptisés de ce peuple des témoins courageux de la vérité et des bâtisseurs de paix. Mère admirable, étends ton manteau de tendresse sur les familles […], afin qu’elles connaissent le bonheur d’aimer et de transmettre la vie. Vierge fidèle, aide les jeunes à avancer dans la vie. Aide les jeunes, car ils sont l’espérance et la joie de l’Église et de leur pays. Aide les fils de l’Église en France à faire face aux difficultés de cette époque dans une loyale collaboration avec leurs compatriotes qui appartiennent à d’autres traditions religieuses ou à d’autres familles d’esprit. Toi qui as donné au monde le Christ sauveur, ouvre les cœurs à toute détresse, inspire à chacun les gestes de la solidarité et de l’accueil à l’égard des frères de nations plus démunies. »

1387

 Notre Dame de Fatima 

Au printemps 1916, l'Ange se manifesta de nouveau (la première fois en 1915) ; mais cette fois aux trois petits pastoureaux : Lucie, François et sa sœur Jacinthe ;
Ce jour là, ils étaient monté sur le versant de la colline avec leurs brebis.Jouant depuis un certain temps, voici qu'un vent assez fort secoua les arbres. Levant les yeux, les enfants virent au dessus des oliviers une chose d'une forme humaine s'approcher d'eux. Plus distinctement, cette fois on peut décrire que cette « chose » avait l'apparence d'un jeune garçon de 15 ans tout au plus, vêtu d'un blanc pur, que le soleil rendait transparent comme s'il était en cristal.
En arrivant près des trois enfants, l'Ange dit :
« Ne craignez pas !. Je suis l'Ange de la Paix. Priez avec moi ! »
Puis s'agenouillant à terre, il courba le front jusqu'au sol. Les enfants firent de même, et répétèrent les paroles qu'ils entendirent :
Mon Dieu,
je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime.
Je Vous demande pardon
pour ceux qui ne croient pas,
qui n'adorent pas,
qui n'espèrent pas,
et qui ne Vous aiment pas.
Il répéta trois fois cette prière puis il se releva en disant :
« Priez ainsi. Les Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs à la voix de vos supplications », puis il disparut.
Par ces mots, l'Ange nous apprend que le Cœur de Marie conduit infailliblement au Cœur de Jésus. Ces deux Cœurs ne se séparent pas : qui trouve l'un, trouve l'autre...
Notre Dame de Fatima,
priez pour nous


1317

  Anonyme

Un jeune moine se plaignait auprès du grand ascète saint Sisoès le Grand :
• "Abba, que dois-je faire ? J’ai succombé."
• "Relève-toi".
Plus tard :
• "Je me suis relevé et j’ai succombé à nouveau !"
• "Relève-toi à nouveau ! "
• "Combien de temps dois-je me lever et succomber ?"
• "Jusqu’à ta mort", répondit le saint
Ce sage dialogue devrait être intériorisé par chacun qui souhaite s’amender mais qui, trompés par le malin, retournent à leurs péchés antérieurs. Chaque fois que tu succombes à une transgression, relève-toi ! Se relever, c’est la Confession.

1306

  Pape François 

(27 octobre 2013, messe du pèlerinage des familles.)

"Retenons-nous la Foi pour nous, comme un compte en banque, ou savons-nous la partager par le témoignage, l’accueil et l’ouverture aux autres ?"

1087

professeur Jérôme Lejeune

Au procès de Maryville, une femme, Mary, demandait qu'on lui confiât les embryons congelés qu'elle avait eus avec son mari.Celui-ci demandant le divorce, s'opposait à cette requête.

Dans ce cas de divorce, il fallait trancher : " Car tout bien doit être partagé entre les personnes, toute propriété découpée ou, s'il le faut, liquidée pour être réglée en espèces ". Or, découper ou liquider ne règle rien dans notre espèce ; les enfants sont un bien qu'on ne peut partager (..) dans cette affaire, le juge devait juger de la nature de l'être à son commencement."

"C'est, disait Me Palmer, avocat de la mère, le procès du siècle sur ce point. Une cour se trouve obligée de répondre à la question : quand commence un homme ?"

L'argument était au sens le plus technique du terme, une querelle nominaliste. Les partisans de la non-humanité de la plus extrême jeunesse utilisaient le néologisme " pré-embryon " laissant penser qu'un pré-embryon ne mérite pas le respect dû à des embryons. Chose ou homme, il fallait que le Droit soit dit. Pour cela, il fallait les réponses de la génétique.

Pouvez-vous témoigner de leur humanité ?

Par ces mots, l'avocat appelait comme témoin scientifique Jérôme Lejeune. alors professeur de génétique fondamentale à l'université René Descartes. Il put exposer ce que les généticiens et les embryologistes savaient, établissant ainsi l'humanité des plus jeunes êtres humains.

Le 2 septembre 1989, le juge Dale Young confia à la mère la garde temporaire de ses 7 embryons dans le but d'une implantation.

Établissant l'humanité des embryons, ce jugement reconnait qu'un embryon n'est la propriété de personne puisqu'il est seul au monde à posséder la propriété de développer sa propre personne.
www.genethique.org)

1084

cardinal Robert Sarah
la force du Silence (n. 198, pp. 156-157).

« Aujourd’hui, les silences des martyrs chrétiens qui vont être massacrés par les ennemis du Christ imitent et prolongent ceux du Fils de Dieu. Les martyrs des premiers siècles comme ceux de notre triste époque, ont tous montré la même dignité silencieuse. Le silence devient alors l’unique parole, le seul témoignage, le dernier testament. Le sang des martyrs est une semence, un cri, et une prière silencieuse qui monte vers Dieu » 

627

    Marthe Robin
  (Journal - 12 janvir 1932)
« Les âmes ne regardent plus vers le ciel, parce qu'elles n'en voient pas la voie lumineuse. Elles se perdent faute de connaissance. Elles vivent sans amour, faute d'en savoir la source.
A ce monde devenu insensible à la voix de Dieu, il faut lui faire entendre sa parole. Il faut savoir affirmer par le témoignage d'une vie toute de sainteté et d'amour ; le monde a surtout besoin de voir des exemples, le rayonnement d'une vie parfaite. »









Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)