Affichage des articles dont le libellé est désespérance. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est désespérance. Afficher tous les articles

2462

        Sainte Faustine
           (CONVERSATION DU DIEU DE MISÉRICORDE AVEC L'ÂME DESESPÉRÉE)
Dans son Petit Journal (§ 1486), sainte Faustine, inspirée par l'Esprit de Dieu, retranscrit le dialogue du Seigneur Jésus avec l'âme désespérée. Que ces paroles ravivent notre confiance et notre foi en Dieu.
– Jésus : « Âme plongée dans les ténèbres, ne désespère pas, tout n'est pas encore perdu, entre en conversation avec ton Dieu qui est amour et miséricorde même. » – Mais malheureusement, l'âme demeure sourde à l'appel de Dieu et se plonge dans des ténèbres plus grandes encore.
– Jésus l'appelle à nouveau : Âme, entends la voix de ton Père miséricordieux.
Une réponse s'éveille en l'âme : « Il n'y a plus pour moi de miséricorde. » Et elle tombe dans des ténèbres encore plus grandes, dans une sorte de désespoir qui lui donne comme un avant-goût de l'enfer et la rend complètement incapable de se rapprocher de Dieu.
Pour la troisième fois, Jésus s'adresse à l'âme, mais l'âme est sourde et aveugle et elle commence à s'affermir dans l'endurcissement et le désespoir. Alors des entrailles de la Miséricorde Divine un dernier effort est tenté et sans aucune coopération de l'âme, Dieu lui donne sa dernière grâce. Si elle la dédaigne, Dieu la laisse alors dans l'état où elle-même veut être pour les siècles. Cette grâce provient du Cœur miséricordieux de Jésus, et touche l'âme de sa lumière et l'âme commence à comprendre l'effort de Dieu, mais se tourner vers Dieu dépend d'elle. Elle sait que cette grâce est la dernière pour elle, et si elle montre le moindre frémissement de bonne volonté – aussi petit qu'il soit – la Miséricorde Divine accomplira le reste.
– Jésus : C'est ici qu'agit la toute-puissance de ma Miséricorde, heureuse l'âme qui profite de cette grâce. Quelle immense joie emplit mon Cœur lorsque tu reviens vers Moi. Je te vois très faible, c'est pourquoi Je te prends dans mes bras et Je te porte à la maison de mon Père.
– L'âme, comme éveillée : Est-il possible qu'il y ait encore de la miséricorde pour moi ? – demande-t-elle pleine d'effroi.
– Jésus : C'est justement toi, mon enfant, qui as un droit exclusif à ma Miséricorde. Permets à ma Miséricorde d'agir en toi, dans ta pauvre âme ; permets aux rayons de la grâce d'entrer dans ton âme, ils apportent avec eux la lumière, la chaleur et la vie.
– L'âme : Pourtant la crainte m'envahit au seul souvenir de mes péchés et cette terrible frayeur me pousse à douter de Ta bonté.
– Jésus : Âme, sache bien que tous tes péchés ne M'ont pas blessé aussi douloureusement le Cœur que ta méfiance actuelle ; comment après tant d'efforts de mon amour et de ma miséricorde peux-tu demeurer incrédule devant ma bonté.
– L'âme: Ô Seigneur, sauve-moi Toi-même, car je péris, sois pour moi le Sauveur. Ô Seigneur, je ne suis pas en état d'exprimer le reste, mon pauvre cœur est déchiré, mais Toi, Seigneur...
Jésus ne laissa pas l'âme terminer ces mots, mais l'enleva de terre, de cet abîme de misère et en un moment la conduisit en la demeure de Son propre Cœur où tous ses péchés disparurent en un clin d’œil, le feu de l'amour les détruisit.
– Jésus: Voici, âme, tous les trésors de mon cœur, viens puiser tout ce dont tu as besoin.
– L'âme : Ô Seigneur, je me sens inondée de Ta grâce, je sens une nouvelle vie qui est entrée en moi, et par-dessus tout, je sens Ton amour en mon cœur, cela me suffit. Ô Seigneur, durant toute l'éternité, je glorifierai la toute-puissance de Ta miséricorde ; enhardie par Ta bonté, je vais Te dire toute la douleur de mon cœur.
– Jésus : Dis tout, mon enfant, sans aucune restriction, car c'est un Cœur aimant qui t'écoute, le Cœur du meilleur ami.
– Ô Seigneur, je vois maintenant toute mon ingratitude et Ta bonté. Tu me poursuivais de Ta grâce et moi je rendais inutiles tous Tes efforts, je vois que j'aurais mérité le fond même de l'enfer pour avoir gaspillé Tes grâces.
Jésus interrompt les paroles de l'âme – et dit : Ne t'enfonce pas dans ta misère, tu es trop faible pour parler. Regarde plutôt mon Cœur plein de bonté et prends à cœur mes sentiments, et efforce-toi au calme et à l'humilité. Sois miséricordieuse envers les autres, tout comme Je le suis envers toi, et lorsque tu sentiras que tes forces faiblissent, viens à la source de la Miséricorde et fortifie ton âme, ainsi tu ne faibliras pas en chemin.
– L'âme : Je comprends maintenant Ta Miséricorde qui me couvre comme un nuage lumineux et me conduit à la maison de mon Père, me protégeant du terrible enfer que j'ai mérité non pas une, mais mille fois. Ô Seigneur, je n'aurai pas assez de l'éternité pour glorifier dignement Ton insondable miséricorde, Ta pitié envers moi.


1520

   sainte Thérèse de l'Enfant Jésus 
En écho à la lettre joyeuse de Céline qui ouvre quelques espoirs quant à l’entrée de Thérèse au Carmel (LD du 23 novembre 87), reçue à Lisieux ce vendredi 25, Pauline répond le même jour à Thérèse (LC 69 vendredi 25 novembre) :

« Petit Jouet de Jésus, Tu vois que j’avais bien raison en pensant que Jésus allait raccommoder sa petite balle ! Je ne me serais jamais attendue qu’il l’eût fait si bien et si promptement. Rappelle-toi, ma chérie, que les heures désespérées sont toujours les heures de Dieu’. C’est quand il n’y a plus aucun espoir, quand tout semble perdu que Jésus endormi se réveille et commande en Maître aux vents et à la tempête. (cf Mc 4, 35-41) Oui, petite amie intime du Divin Enfant, oui, tu es bien sa petite balle, abandonne-toi pour toujours entre ses mains. Tu souffriras bien dans ta vie, ton cœur est particulièrement fait pour souffrir, mais quand Jésus est là, quand c’est lui-même qui envoie sa petite balle au milieu des épines, les épines se changent en fleur. Prions, prions… l’Enfant Jésus s’occupe en ce moment de sa petite balle raccommodée par son baiser divin. Il a l’air vraiment de viser le Carmel pour l’y envoyer d’un seul coup et la faire rebondir dans sa crèche pour y demeurer toujours. Disons-lui a chaque instant : Que votre volonté soit faite ! Disons-lui : Jésus, arrangez toutes choses pour que votre petite balle soit bien envoyée où vous voulez, à l’heure que vous le voulez et comme vous le voulez, ne lui permettez pas de s’échapper de vos petites mains malgré vous. Chérie de mon cœur, je sais bien que tu penses tout cela. Oh ! que Jésus t’aime, et sais-tu pourquoi je crois plus que jamais à son appel divin ? C’est parce que tu as souffert… sans la croix, on n’est sûr de rien, sans la croix c’est l’humain, le vulgaire, sans la croix Jésus n’est pas là. Mais, console-toi, ta vocation est marquée de ce signe sacré. L’Enfant Jésus dans sa pauvre crèche ne soupirait qu’après la croix, ne rêvait que la croix et il a raconté son rêve à sa Thérésita chérie. Ta petite Confidente qui a plus souffert encore que toi pour toi. »

1460

     Saint Jean Chrysostome
 (2ème catéchèse aux catéchumènes - paragraphe 1)
"O vous donc, qui avez reçu nos paroles et les avez mises en pratique, persévérez et avancez ! et vous qui n'avez point encore mis la main à l'oeuvre, commencez dès maintenant, et qu'à l'avenir vos efforts vous sauvent de l'accusation de négligence ! On peut toujours, si négligent qu'on ait été, on peut, avec de la diligence, réparer le temps perdu. Ecoutez le Psalmiste : Si aujourd'hui vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos coeurs comme au jour de la colère. (Ps. XCIV, 8.) C'est nous avertir et nous conseiller de ne (139) jamais désespérer, mais, tant que nous sommes en ce inonde, de conserver l'espérance que nous arriverons au but et que nous obtiendrons la palme de notre glorieuse vocation."

1428

    saint Jean Chrysostome

"Le Christ a choisi, pour ses ultimes pardons, des sommets d'iniquités pour ne nous laisser aucun prétexte de désespérance."

1381

 Frère Luc de Tibhirine
(Témoignage de Frère Luc)


"Il faut passer par un vrai désespoir
pour arriver à la relation avec Dieu.
Il faut désespérer de tout :
de notre qualité morale,
de nos vertus,
de notre organisation ecclésiale,
de notre doctrine…
Il faut passer vraiment par la mort.
Dans cette situation de mort,
de désespoir absolu,
il ne nous reste qu’une personne :
LE CHRIST .
Et si l’on se tourne vers LUI,
c’est alors lui ouvrir.
Et à partir de ce moment-là
commence un autre mode d’existence :
on peut marcher sur les vagues.»

1316

  Saint Jean Chrysostome

 (Homélies sur la pénitence (AD 387)

"As-tu péché ? Va à l’Eglise et lave-toi de ton péché. Chaque fois qu’il t’arrive de tomber, relève-toi à nouveau ; chaque fois que tu pèches, repens-toi de ton péché. Ne désespère pas. Même si tu pèches une deuxième fois, repens-toi une deuxième fois. Ne perds pas espoir dans les biens qui sont préparés pour toi…Car l’Eglise est l’hospice de la guérison, non un tribunal ; non un lieu où expient les pécheurs, mais un lieu ou le pardon des péchés est donné à l’être humain."

1271

  sainte Thérèse d'Avila (1515-1582)

« Ne crois pas ma fille, que l’union consiste à être tout près de moi, car ceux qui m’offensent le sont aussi, même contre leur gré. 
Elle ne consiste pas non plus dans les régals et les délices de l’oraison, même si je les accorde à un très haut degré ; ce n’est souvent qu’un moyen de gagner les âmes, même si elles ne sont pas en état de grâce. » Faveur 1572 p. 551 
Il faut de la patience et de l’humilité sur ce chemin. Il se peut bien que dans les débuts l’on ait une relation très forte avec le Seigneur, presque immédiate et l’on a l’impression que lui et nous c’est tout un. Le temps passant, ces expériences deviennent moins fortes, moins sensibles et l’on croit que Dieu s’éloigne de nous ou que l’on s’éloigne de lui, sans qu’il y ait de faute apparente de notre part. Parfois cela peut aller jusqu’au désespoir. 
En fait nous nous heurtons à un faux problème car c'est à ce niveau de la relation que le Seigneur nous attend, mais il veut nous emmener plus loin et nous aider à passer du sensible à l’esprit, car il est Esprit.

1261

 sainte Catherine de Sienne (1347-1380)

(Dialogue XXXVII)

"Si le pécheur doit être condamné, ce ne sera pas pour avoir péché, mais pour n'avoir pas cru en ma miséricorde, dit le Seigneur.

Ne pas vouloir et mépriser ma miséricorde, voilà le péché qui ne se pardonne ni ici-bas, ni dans l'au-delà, péché plus grave à mes yeux que tous ceux que ce pécheur a pu commettre. C'est pourquoi le désespoir de Judas m'a plus offensé et a été plus pénible à mon Fils que sa trahison même."


1234

 saint Bernard

  La sainte Vierge : 
"En la suivant, on ne dévie pas ;
en la priant, on ne désespère pas ;
en pensant à elle, on ne se trompe pas ;
Si elle te tient par la main, tu ne tomberas pas ;
si elle te guide, tu ne connaîtras pas la fatigue ;
si elle est avec toi, tu es sûr d'arriver au but."

1186

saint François de Sales (1567-1622) 

Vrais Entretiens spirituels

"Quand nous disons que nous ne pouvons trouver Dieu, et qu'il nous semble qu'Il est si loin de nous, nous voulons dire que nous ne pouvons avoir du sentiment de sa Présence. J'ai remarqué que plusieurs ne font point de différence entre Dieu et le sentiment de Dieu, entre la foi et le sentiment de la foi, ce qui est un trés grand défaut."

1183

Saint Léon le Grand

sermon pour le 2ème Dimanche de Carême

"Puisque le Christ a accepté toute la faiblesse de notre pauvreté, si nous persévérons à le confesser et à l'aimer, nous sommes vainqueurs de ce qu'Il a vaincu et nous recevons ce qu'Il a promis. Qu'il s'agisse de pratiquer les commandements ou de supporter l'adversité, la voix du Père que nous avons entendue tout à l'heure doit retentir sans cesse à nos oreilles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j'ai mis tout mon amour ; écoutez-Le !"

 

1149

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
sainte Thérèse de l'Enfant Jésus en janvier 1889,
peu de jours après sa prise d'habit.
« Ah! si toutes les âmes faibles et
imparfaites sentaient ce que sent la plus
petite de toutes les âmes, l’âme de votre
petite Thérèse, pas une seule ne désespérerait
d’arriver au sommet de la montagne
de l’Amour, puisque Jésus ne demande
pas de grandes actions, mais seulement
l’abandon et la reconnaissance. »

Thérèse de Lisieux – (Manuscrit B 1v°)

1128

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)

"Nul ne parvient au Salut sans traverser une mer de tempêtes, sous la perpétuelle menace d'un naufrage.
Le Calvaire est la montagne des Saints.
C'est de là que l'on accède au Thabor."




1000

Benoît XVI, 17 février 2007, dialogue avec les prêtres

« Le christianisme nous annonce la joie, oui ; cette joie ne croît cependant que sur le chemin de l’amour et ce chemin de l’amour a un lien avec la Croix, avec la communion avec le Christ crucifié. Elle est représentée par le grain de blé tombé en terre. Lorsque nous commençons à comprendre et à accepter cela, chaque jour, parce que chaque jour nous impose quelque insatisfaction, quelque poids qui crée aussi de la douleur, lorsque nous acceptons cette école de la sequela du Christ, comme les Apôtres ont dû apprendre à cette école, alors nous devenons également capables d’aider les personnes qui souffrent.
Il est vrai que cela est toujours un peu difficile si une personne qui est plus ou moins en bonne santé ou dans de bonnes conditions doit en réconforter une autre frappée par un grand mal : que ce soit la maladie ou la perte de l’amour. Face à ces maux que nous connaissons tous, tout apparaît presque inévitablement uniquement rhétorique ou pathétique. Mais, dirais-je, si ces personnes sentent que nous sommes « com-patients », que nous voulons porter avec eux la Croix en communion avec le Christ, surtout en priant avec eux, en les assistant également avec un silence plein de sympathie, d’amour, en les aidant autant que nous pouvons, nous pouvons devenir crédibles.
Nous devons accepter, que peut-être dans un premier moment, nos paroles apparaissent comme de simples paroles. Mais si nous vivons réellement dans cet esprit de la vraie sequela de Jésus, nous trouvons également la manière d’être proches à travers notre sympathie. Sympathie, étymologiquement, signifie « com-passion » pour l’homme, en l’aidant, en priant, en créant ainsi la confiance que la bonté du Seigneur existe même dans la vallée la plus obscure. Nous pouvons ainsi ouvrir le cœur à l’Evangile du Christ lui-même, qui est le vrai consolateur ; ouvrir le cœur à l’Esprit Saint qui est appelé l’autre Consolateur, l’autre Paraclet, qui assiste, qui est présent.
Nous pouvons ouvrir le cœur non à nos paroles, mais au grand enseignement du Christ, à son être avec nous et aider ainsi à ce que la souffrance et la douleur deviennent réellement une grâce de maturité, de communion avec le Christ Crucifié et Ressuscité. » 

975

Benoît XVI - (Spe Salvi - sauvés dans l'Espérance - n° 35) 
30 novembre 2007
« Mais l’engagement quotidien pour la continuation de notre vie et pour l’avenir de l’ensemble nous épuise ou se change en fanatisme si nous ne sommes pas éclairés par la lumière d’une espérance plus grande, qui ne peut être détruite ni par des échecs dans les petites choses ni par l’effondrement dans des affaires de portée historique. Si nous ne pouvons espérer plus que ce qui est effectivement accessible d’une fois sur l’autre ni plus que ce qu’on peut espérer des autorités politiques et économiques, notre vie se réduit bien vite à être privée d’espérance. Il est important de savoir ceci : je peux toujours encore espérer, même si apparemment pour ma vie ou pour le moment historique que je suis en train de vivre, je n’ai plus rien à espérer. Seule la grande espérance-certitude que, malgré tous les échecs, ma vie personnelle et l’histoire dans son ensemble sont gardées dans le pouvoir indestructible de l’Amour et qui, grâce à lui, ont pour lui un sens et une importance, seule une telle espérance peut dans ce cas donner encore le courage d’agir et de poursuivre. »

791

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Je ne souffre qu’un instant. C’est parce qu’on pense au passé et à l’avenir qu’on se décourage et qu’on désespère » (JEV 135)


697


Marthe Robin

(« Journal », 22 janvier 1930)

« Il n’y a point de péché qu'avec la grâce on ne puisse éviter ; 
pas de tentation dont on ne puisse triompher ;
pas d’indispensables lumières qu’on ne puisse obtenir ;
pas de douleurs qui ne puissent être consolées ;
pas de victoire morale qu’on ne puisse remporter ;
pas de faiblesses qui ne puissent être fortifiées ;
pas de découragement qui ne puisse être suffisamment guéri, au point de n’être plus désespérément entraînés, fatalement écrasés. »



592

Sainte Teresa de Calcutta
Extrait de « Viens, sois ma Lumière »
Les écrits intimes de « La Sainte de Calcutta »
Textes édités et commentés par Brian KolodieJchuk, M.C

« Ma deuxième résolution est de devenir apôtre de la Joie - pour consoler le Sacré-Coeur de Jésus par la joie. » 

Mère Teresa 

S'engager à devenir « apôtre de la Joie » quand, sur le plan personnel, elle se sentait peut-être au bord du désespoir était bel et bien héroïque. Elle en fut capable parce que sa joie s'enracinait dans la certitude de la bonté ultime des plans d'amour de Dieu pour elle. Et même si sa foi dans cette vérité ne procurait aucune consolation à son âme, elle se risquait à affronter les défis de la vie avec le sourire. Son unique point d'appui était sa confiance aveugle en Dieu....Pour cela, elle comptait sur le soutien de Marie. »

.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)