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2122

  Marthe Robin (1902-1981)
(Journal - 6 avril 1930)
« N’oublions pas que dans le service de Dieu il n’est point de petite vie, que seule importe la façon de la remplir.
Ne pensons point avoir fait tout notre devoir quand nous avons assisté à la messe le dimanche, ce serait ne voir de la religion que l’extérieur. »
Marthe Robin (1902-1981)

2012

      Saint Jean Eudes (1601-1680)
"Le Sacrifice de la Messe est quelque chose de si grand, qu'il faudrait trois éternités pour l'offrir dignement : la première pour s'y préparer, la seconde pour le célébrer, la troisième pour en rendre de justes actions de grâces."

2011

      Saint Claude la Colombière (1641-1682)
(Réflexion chrétiennes, 13 - "De la Messe" - Ecrits spirituels - Desclée de Brouwer-Bellarmin, 1982, p  354)
" Quel malheur que nous ayons au milieu de nous un trésor immense et inépuisable, et que, faute de le connaître, nous vivions dans l'indigence ; que nous ayons en notre pouvoir un remède à toutes sortes de maux, un arbre de Vie qui peut nous communiquer non seulement la santé, mais l'immortalité même et que cependant nous soyons accablés d'infirmités, que nous vivions d'une vie languissante, que nous mourions tous les jours de la plus funeste de toutes les morts. La Messe est ce remède universel, cet arbre de Vie, ce riche trésor." .

1564

   Saint Jean-Marie Vianney (1785-1859) 
   Saint Curé d'Ars
« Quand nous avons communié, si quelqu’un nous disait : “Qu’emportez-vous dans votre maison ?”, nous pourrions répondre : “J’emporte le ciel” »

1563

   Saint Jean-Marie Vianney (1785-1859) 
   Saint Curé d'Ars
A propos de l'Eucharistie :
« Ne dites pas que vous n’en êtes pas digne. C’est vrai : vous n’en êtes pas digne, mais vous en avez besoin. »

1562

   Saint Jean-Marie Vianney (1785-1859) 
   Saint Curé d'Ars
« Toutes les bonnes œuvres réunies n’équivalent pas au sacrifice de la messe, parce qu’elles sont les œuvres des hommes, et la sainte messe est l’œuvre de Dieu. »


1475

   François Libermann (1802-1852)
  (Lettre de 1839)
" Si vous ne pouvez pas assister au Saint Sacrifice de la Messe, sachez, mon très cher, que Jésus se sacrifie du matin au soir en votre âme et ne votre corps ; non seulement vous assistez à ce Sacrifice, mais vous y êtes à la fois actif et passif ; vous êtes l'autel et la victime même, faisant une seule et même chose avec Jésus crucifié. Si vous ne pouvez pas faire la Sainte Communion, ce n'est pas le moment de communier à Jésus glorifié, mais à Jésus crucifié ; entrez dans ses vues, et pénétrez-vous, imbibez-vous de Lui, par cette sainte communion qu'Il vous donne à sa Croix."

1474

   Julien Haineuve (1588-1663)
Méditations sur la vie de Jésus Christ
"Au même temps et à la même heure que le monde pensait au moyen de se défaire de notre Sauveur afin qu'on n'en entendit plus parler, Lui, tout au contraire, par l'excès de son Amour, établissait le moyen d'y demeurer toujours pour le grand bien de ceux qui s'en voudraient servir, en nous donnant son corps, son âme et sa vie sous les espèces du pain et du vin, jusqu'à la fin du monde.
Considérez que notre Seigneur nous donnant son Corps à manger, Il donne à chacun de nous, autant de fois que nous le voulons recevoir, sa vie, son âme, ses mérites, et en un mot tout ce qu'Il est et tout ce qu'Il possède, comme Il s'est donné une fois à tous les hommes par son incarnation et par sa mort. La Messe et la Commmunion est une nouvelle naissance, une nouvelle vie et une nouvelle mort du Sauveur de nos âmes, ou plutôt c'est sa naissance sa vie et sa mort continuée dans nos coeurs."

1364

      pape François
(Audience Générale du 15 novembre 2017)
"Prier, comme tout véritable dialogue, est également savoir demeurer en silence — dans les dialogues il y a des moments de silence —, en silence avec Jésus. Quand nous allons à la Messe, nous arrivons peut-être cinq minutes à l’avance et nous commençons à bavarder avec celui qui est à côté de nous. Mais ce n’est pas le moment de bavarder: c’est le moment du silence pour nous préparer au dialogue. C’est le moment de nous recueillir dans notre cœur pour nous préparer à la rencontre avec Jésus. Le silence est si important! Rappelez-vous ce que j’ai dit la semaine dernière: nous n’allons pas à un spectacle, nous allons à la rencontre du Seigneur et le silence nous prépare et nous accompagne."

1357

   saint Pio de Pietrelcina

Padre Pio était souvent ému jusqu’aux larmes en entendant ou en proclamant l’Ecriture Sainte au cours de la Messe. Un jour qu’on lui en demandait la raison, il déclara : 
« Les dons de Dieu n’ont donc pas de valeur pour toi ! Cela est-il de peu d’intérêt que Dieu dialogue avec ses créatures ? »

1059

Saint François de Sales
"On reçoit plus de grâces et de consolations en assistant aux offices publics de l'Eglise qu'en pratiquant une dévotion particulière. Dieu a ainsi ordonné que la Communion soit préférée aux dévotions particulières." 

1058

Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio)
À propos de la valeur de la Messe, Padre Pio déclara :
« Si seulement les hommes pouvaient apprécier la valeur de la sainte Messe il faudrait des agents de circulation aux portes de toutes les églises chaque jour pour maîtriser la foule. »
Padre Pio of Pietrelcina, p. 101.

848

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
The Mystery of the Cross…, p. 27.

Padre Pio à propos de l'Eucharistie qu'il s'apprête à célébrer : 
« Je me rends au pressoir de l’Église, au Saint Autel, où le Sang tiré de cette délicieuse et inhabituelle Grappe est distillé en un Vin sacré dont seules quelques personnes fortunées peuvent s’enivrer. » 

847

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
The Mystery of the Cross…, p. 16.

Padre Pio : « Chaque sainte Messe, écoutée avec dévotion, produit dans nos âmes des effets merveilleux, des grâces spirituelles et matérielles abondantes que nous-mêmes nous ignorons. Il est plus facile à la terre d’exister sans le soleil que sans le saint Sacrifice de la Messe. » 

846

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
The Life of Padre Pio, p. 148.

Padre Pio fut interrogé sur ce que la Messe représentait pour lui. Il répondit : « C’est une participation sacrée à la Passion de Jésus. Tout ce que le Seigneur endura pendant Sa Passion, je le souffre, dans les proportions de ce qu’un être humain peut supporter. Et ce n’est dû à aucun mérite de ma part, mais entièrement à Sa bonté. » 

845

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
Padre Pio of Pietrelcina, p. 101.

À propos de la valeur de la Messe, Padre Pio déclara : 

« Si seulement les hommes pouvaient apprécier la valeur de la sainte Messe il faudrait des agents de circulation aux portes de toutes les églises chaque jour pour maîtriser la foule. »


841

Saint Jean-Marie Viannay (saint curé d'Ars)
Remarque du Curé d'Ars, répondant à quelqu'un qui s'étonnait de l'heure qu'il passait en prière devant le Saint-Sacrement avant de célébrer : 
« Je vais toucher le Bon Dieu et je vais lui commander, et vous ne voulez pas que je me prépare ! » 

Voilà qui nous interroge sur notre propre faim du Corps du Christ, sur notre soif de son Sang, sur ces autres réalités que nous désirons plus que le Seigneur ! 

840

saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)

 Il décrivait à son Père spirituel, Padre Benedetto, le 29 mars 1911 : « Mon cœur se sent comme attiré par une force supérieure avant de s’unir à lui le matin dans le sacrement de l’Eucharistie. J’en ai une telle faim et une telle soif, avant de le recevoir, que peu s’en faut que je ne meure d’inanition. Et c’est justement parce que je ne peux pas ne pas m’unir à Lui que je suis obligé d’aller me nourrir de sa chair, parfois même malgré ma fièvre. » 

 Padre Pio est alors à Pietrelcina, dans sa famille, depuis une année, pour des raisons de santé, et il a été ordonné prêtre quelques mois auparavant le 10 août 1910. Il connaît à cette époque une nuit mystique, état spirituel dans lequel il ne sent souvent plus rien de Dieu. Le dernière phrase de la citation prend alors toute sa force : sa faim de l'Eucharistie est d'autant plus forte que Jésus lui semble absent ; il désire le Corps du Christ ; il le veut ainsi, car il en a fait l'expérience, et surtout parce que la Foi de l'Église l'affirme : Jésus est réellement présent dans le Sacrement de l'autel. Il y a donc toujours un lieu et un temps où le trouver : la messe.
 

590

Marthe Robin - (1902-1981)
Extrait de son journal,
date à définir

" Ma vie est une Messe continuelle"

253

St Josémaria Escriva
Quand le Christ passe, n. 92
Notre amour pour le Christ qui s'offre à nous, nous pousse à savoir trouver, à la fin de la Messe, quelques minutes pour une action de grâces personnelle, intime, qui prolonge dans le silence du cœur cette autre action de grâces qu'est l'Eucharistie. Comment nous adresser à Lui, comment Lui parler, comment nous comporter ? La vie chrétienne n'est pas faite de normes rigides, car l'Esprit Saint ne guide pas collectivement les âmes, mais, à chacune, il insuffle ces résolutions, ces inspirations et ces actes d'amour qui vont l'aider à saisir et à accomplir la volonté du Père. Cependant je pense que la trame de notre dialogue avec le Christ, dans l'action de grâces après la Messe, peut consister bien souvent à considérer que le Seigneur est, pour nous, Roi, Médecin, Maître et Ami.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)