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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)
(PN 54)

« Aimer, c’est tout donner et se donner soi-même » 

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

Se croire soi-même imparfaite et trouver les autres parfaits, voilà le bonheur »
(Conseils et souvenirs, 25)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est Juste, c’est-à-dire qu’Il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? » (MS, A 83)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Je ne souffre qu’un instant. C’est parce qu’on pense au passé et à l’avenir qu’on se décourage et qu’on désespère » (JEV 135)


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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« L’unique bonheur sur la terre, c’est de s’appliquer à toujours trouver délicieuse la part que Jésus nous donne » (LT 257)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Ma voie est toute de confiance et d’amour, je ne comprends pas les âmes qui ont peur d’un si tendre ami » (LT 226)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Le Christ est mon Amour, Il est toute ma vie » (PN 26)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Puisse Jésus me donner toujours de comprendre que Lui seul est le bonheur parfait, même quand Lui-même paraît absent ! » (LT 76)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Je ne puis craindre un Dieu qui s’est fait pour moi si petit… je L’aime !… car Il n’est qu’Amour et Miséricorde ! » (LT 266) 

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Comment lorsqu’on jette ses fautes avec une confiance toute filiale dans le brasier dévorant de l’Amour, comment ne seraient-elles pas consumées sans retour ? » (LT 247)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face 

"Ah ! Mon cher petit Frère, depuis qu’il m’a été donné de comprendre aussi l’amour du Cœur de Jésus, je vous avoue qu’il a chassé de mon cœur toute crainte. Le souvenir de mes fautes m’humilie, me porte à ne jamais m’appuyer sur ma force qui n’est que faiblesse, mais plus encore ce souvenir me parle de miséricorde et d’amour " (LT 247)

783

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face

« Oui je le sens, quand même j’aurais sur la conscience tous les péchés qui se peuvent commettre, j’irais, le cœur brisé de repentir, me jeter dans les bras de Jésus, car je sais combien Il chérit l’enfant prodigue qui revient à Lui » (Ms C, 36r-37v)

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Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face 

« Je t’assure que le Bon Dieu est bien meilleur que tu le crois. Il se contente d’un regard, d’un soupir d’amour… » (LT 191)

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sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face

Thérèse a compris l’amour ; elle a compris que Jésus voulait être aimé. Elle le dit : « Jésus n’a pas craint de mendier un peu d’eau à la Samaritaine. Il avait soif… Mais en disant « donne-moi à boire » c’était l’amour de sa pauvre créature que le Créateur de l’univers réclamait. Il avait soif d’amour.. . Ah ! je le sens plus que jamais Jésus est altéré.» (Ms B, 1v)


634

sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face 
 LT 173

"C’est la souffrance qui nous rend semblables à Lui". 

628

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face. 
(Ms A 81) .

"Je vois que la souffrance seule peut enfanter les âmes. Plus que jamais, ces sublimes paroles de Jésus me dévoilent leur profondeur : "En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé étant tombé en terre ne vient à mourir, il demeure seul ; mais s’il meurt, il rapporte beaucoup de fruit" (Jn. XII, 24). 
Si vous avez semé dans les larmes, quelle abondante moisson n’avez-vous pas récoltée ! Vous verrez le fruit de vos travaux et vous reviendrez remplie de joie, portant des gerbes en vos mains. » Thérèse de Lisieux 

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"sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face 
L’Amour m’a choisie..."
Mystère de l’appel... Thérèse s’en émerveille au début de son autobiographie :
"Ouvrant le Saint Evangile, mes yeux sont tombés sur ces mots : "Jésus étant monté
sur une montagne, il appela à Lui ceux qu’il lui plut ; et ils vinrent à Lui." (St Marc,
chap. III, v.13). Voilà bien le mystère de ma vocation, de ma vie tout entière...
Il n’appelle pas ceux qui en sont dignes, mais ceux qu’il lui plaît ou comme le dit saint Paul :
"Dieu a pitié de qui Il veut et Il fait miséricorde à qui Il veut faire miséricorde... " (Rm. 9, 1)

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Marthe Robin (1902-1981)
Extrait de son "journal" - 4 mars 1930 (mardi)


Non, rien n’est impossible à l’amour ! L’amour rend tout possible, tout facile et tout simple. L’amour est un feu divin qui purifie pour sanctifier, qui nous dépouille pour nous enrichir. Dieu nous bâtit en nous démolissant. Qui vit dans l’amour, vit de Dieu, et a Dieu en lui ! C’est non seulement pour la plupart des mortels, mais pour tous qu’il n’y a de véritable bonheur qu’en Dieu, parce que c’est tous, et non quelques-uns, qui sommes appelés à réaliser un bien supérieur à nous-mêmes.

Il y a une sainteté commune à laquelle tous les chrétiens par vocation doivent aspirer et embrasser, dans la mesure des grâces qui leur sont faites, parce que tous y sont appelés. 


La désirer n’est pas de l’orgueil, parce que c’est Dieu qui nous l’impose. 

La poursuivre n’est pas présomption, puisque pour atteindre ces sommets de l’esprit, nous comptons uniquement sur le secours du ciel, et non sur nous-mêmes ; nous devons cependant et à tout prix la rechercher sans faiblesse, la poursuivre sans langueur, sans tiédeur, sans ralentissement, parce que la perfection demeure en soi une héroïque vertu... Elle est un sommet. C’est donc que cette belle vie morale, cette belle ascension d’amour ne se soutient pas toute seule : il faut la nourrir, l’alimenter, la diffuser sans cesse par les pratiques religieuses fidèlement accomplies, c’est-à-dire non d’une façon légère, mais par amour, en toute conscience et volonté. Ce ne serait pas rendre la sainteté attrayante et facile que de l’abaisser à la mesure de nos médiocrités. Dieu est une Altissime Grandeur de vie, d’intelligence, de sainteté, de sagesse, d’amour, et nous ne devons et nous ne pouvons entrer dans la demeure du Père que semblables au Fils, car nous sommes tous prédestinés à devenir – non un peu, ni même beaucoup – conformes à son image : comme Lui, doux et humbles de cœur, obéissants jusqu’à la mort... et à la mort de la croix s’il le fallait.
(...) la vraie sainteté est contenue principalement dans la charité parfaite, et cette perfection, chacun peut l’atteindre sans grâces extraordinaires, sans faveurs de choix, et même et surtout sans œuvres éclatantes, mais en demeurant, avec sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, « une petite âme » confiante et tout entière abandonnée à l’amour... une âme de prière et d’oraison.

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Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
Histoire d'une âme, manuscrit C, chap. X

Vous le savez, ma Mère, j'ai toujours désiré d'être une sainte, mais hélas ! j'ai toujours constaté, lorsque je me suis comparée aux saints qu'il y a entre eux et moi la même différence qui existe entre une montagne dont le sommet se perd dans les cieux et le grain de sable obscur foulé sous les pieds des passants : au lieu de me décourager, je me suis dit : le Bon Dieu ne saurait inspirer des désirs irréalisables. Je puis donc malgré ma petitesse aspirer à la sainteté ; me grandir, c'est impossible, je dois me supporter telle que je suis avec toutes mes imperfections, mais je veux chercher le moyen d'aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d'inventions, maintenant ce n'est plus la peine de gravir les marches d'un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m'élever jusqu'à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection. Alors j'ai recherché dans les livres saints l'indication de l'ascenseur objet de mon désir et j'ai lu ces mots sortis de la bouche de La Sagesse Éternelle : Si quelqu'un est tout petit, qu'il vienne à moi. Alors je suis venue devinant que j'avais trouvé ce que je cherchais et voulant savoir, ô mon Dieu ! ce que vous feriez au tout petit qui répondrait à votre appel j'ai continué mes recherches et voici ce que j'ai trouvé : Comme une mère caresse son enfant, ainsi je vous consolerai, je vous porterai sur mon sein et je vous balancerai sur mes genoux ! Ah ! jamais paroles plus tendres, plus mélodieuses, ne sont venues réjouir mon âme, l'ascenseur qui doit m'élever jusqu'au Ciel, ce sont vos bras, ô Jésus ! Pour cela je n'ai pas besoin de grandir, au contraire il faut que je reste petite, que je le devienne de plus en plus.

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Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
Manuscrits autobiographiques
Le cri de Jésus sur la Croix retentissait aussi continuellement dans mon cœur : "J'ai soif !" Ces paroles allumaient en moi une ardeur inconnue et très vive... Je voulais donner à boire à mon Bien-Aimé et je me sentais moi-même dévorée de la soif des âmes.


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)