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        Père Roger Hébert 
           (Extrait de l'homélie du 11 mai 2020 - lundi de la 5ème semaine du Temps Pascal  -A- )
Pour évangéliser, pour devenir toujours mieux disciples-missionnaires, deux repères nous sont donnés dans ces textes.
La suite de la 1° lecture (Ac 14, 5-18) nous invite à rester vigilants par rapport à ce qui manifeste un trop grand attachement à l’évangélisateur. Le rapport qui nous a été lu doit nous rendre encore plus attentifs pour réagir à tout ce qui ressemble de près ou de loin, dans les paroles ou les attitudes à ce que disaient les gens de Lystres : « Les dieux se sont faits pareils aux hommes, et ils sont descendus chez nous ! »
L’autre repère, c’est ce que Jésus dit dans l’Evangile, (Jn 14, 21-26) de très belles paroles qui justement nous éviteront de tomber dans le piège que je viens d’évoquer. « Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et, chez lui, nous nous ferons une demeure. » Celui qui se laisse habiter, travailler, corriger, encourager par la Parole de Dieu qu’il fréquente vraiment, son cœur deviendra une demeure pour la Trinité. 
C’est vraiment scotchant d’entendre ça, notre cœur, une demeure pour la Trinité. Alors forcément, elles deviendront attirantes ces personnes dont le cœur est devenu une demeure pour la Trinité, mais il n’y aura plus de risque, ce n’est pas d’elles qu’elles parleront, ce n’est pas elles qu’elles chercheront à faire admirer mais la Trinité qui les habite.

1980

      Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus
(En marche vers Dieu)

" La Trinité Sainte et notre famille. Elle est le lieu où nous serons rassemblés. Notre ciel, c'est de voir Dieu, c'est d'être dans la Trinité Sainte comme enfants. "

1979

      Père Marie-Eugène de l'Enfant Jésus
(La joie de la Miséricorde)

"Le mystère de l'Incarnation apporte une grande joie. Dieu est joyeux de la réalisation de ce Mystère, et ce tressaillement qu'il y a dans la Trinité Sainte se communique à tout le ciel. Nous sommes invités à entrer dans cette joie de Dieu... "

1619

     Père J.N Bezançon 

"Non, de toute éternité, Dieu n'est Dieu qu'en s'épanchant, Dieu n'est Dieu qu'en se donnant. Pas seulement un beau jour, en ayant l'idée géniale de nous suciter à son côté. Mais depuis toujours, se suscitant ces autres lui-même que, faute de mots pour le dire, nous appelons le Fils et l'Esprit.
Dieu est relation. Dieu n'est que relation. Il n'est qu'Amour. C'est pourquoi il ne peut susciter, il ne veut susciter, que l'amour. Non pas la soumission, non pas la dépendance, mais l'amour, cette réponse nécessairement aléatoire, à la fois espérée et forcément inattendue, dépendant de l'absolue liberté suscitée en l'autre. Ainsi la toute-puissance de Dieu ne peut et ne veut se traduire que dans la vulnérabilité de l'amour. "

1609

   sainte Catherine de Sienne 
(Dialogue, Hurtaud, 1913, II - page 327-328)
" Ô Trinité éternelle ! (...)Vous êtes une mer sans fond où plus je me plonge, plus je Vous trouve, et plus je Vous trouve, plus je Vous cherche encore. De Vous, jamais on peut dire : c'est assez ! L'âme qui se rassasie dans vos profondeurs Vous désire sans cesse, parce que toujours elle est affamée de Vous, Trinité éternelle ; Lumière au dessus de toute lumière ; c'est cette lumière qui communique à l'oeil de l'intelligence une clarté surnaturelle, si abondante et si parfaite que la lumière de la foi en est éclairée, cette foi, par laquelle je vois que mon âme à la Vie, et dans cette clarté Vous reçoit, Vous, la Lumière.
Par la lumière de la foi, je possède la sagesse dans la sagesse du Verbe votre Fils. Par la lumière de la foi, je suis forte, constante et persévérante. Par la lumière de la foi, j'espère et je ne me laisse pas défaillir en route. Cette lumière m'indique le chemin et, sans cette lumière, je marcherais dans les ténèbres.
C'est pourquoi je vous ai demandé, Père éternel, de m'éclairer de la lumière de la très sainte foi. Cette lumière est vraiment un océan, car elle plonge l'âme en Vous, l'Océan de paix, ô Trinité éternelle ! L'eau de cette mer n'est pas trouble ; l'âme n'y a pas peur, car elle y connaît la Vérité. Elle est transparente et laisse voir les choses qu'elle recèle en ses profondeurs. Aussi là où abonde la resplendissante lumière de la foi, l'âme a pour ainsi dire, l'évidence de ce qu'elle croît."


1544

     Marthe Robin
(le 1er novembre 1932)

" J'aime mon Dieu, j'aime l'Eglise ma mère, j'aime la resplendissante et toujours béatifiante Trinité, j'aime la très Sainte Vierge, elle que depuis si longtemps j'appelle ma Maman bien-aimée... J'aime tous les saints et toutes les âmes en Dieu, et je voudrais toutes les sauver."

1512

   Henri Caffarel
Henri Caffarel, - Camille C. - édit du Feu Nouveau, 1982, p 260
« La deuxième étape fut de sentir se développer en moi l’Amour infini, non pas comme quelque chose de statique, mais comme une force vivante qui vous pousse en avant, tellement puissante qu’on éprouve le besoin de l’épancher sans cesse sur d’autres. Cette force d’Amour est un don de l’Esprit Saint qu’on reçoit en partage parce qu’on vit de la vie de Dieu, dans ce double courant d’Amour qui unit le Père et le Fils. »

1432

  sainte Elisabeth de la Trinité

(Lettre 330)
«  Croire qu’un Être qui s’appelle l’Amour habite en nous à tout instant du jour et de la nuit et qu’Il nous demande de vivre en société avec Lui… C’est ce qui a fait de ma vie, je vous le confie, un Ciel anticipé. 
Cela élève l’âme au-dessus de ce qui passe, de ce qui broie, et la fait reposer dans la paix des enfants de Dieu. » 

1040

sainte Elisabeth de la Trinité

Richesse inépuisable (poésie 106)

Du coeur de la Trinité, du plus profond du mystère de Dieu, jaillit et coule sans cesse le grand fleuve de la miséricorde. Cette source ne sera jamais épuisée pour tous ceux qui s'en approcheront. Autant la profondeur du mystère renfermé est insondable, autant la richesse qui en découle est inépuisable.
« Sais-tu bien ta richesse ?
As-tu jamais sondé l'abîme de l'Amour ?
Je viens te révéler l'immuable tendresse
Qui plane sur ton âme
et la nuit et le jour…
Crois toujours à l’Amour,
malgré tout ce qui passe.  »
Crois toujours à l'Amour, malgré tout ce qui passe... ste Elisabeth de la Trinité, poésie 106

1033

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)

Don sans retour (lettre 198)

« Qu’importe ce que nous sentons ; Lui, Il est l'immuable, Celui qui ne change jamais : Il t'aime aujourd'hui comme Il t'aimait hier, comme Il t'aimera demain. Même si tu Lui as fait de la peine, rappelle-toi qu'un abîme appelle un autre abîme et que l'abîme de ta misère attire l'abîme de sa miséricorde. »

1032

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)
lettre 172
« Il est Sauveur, sa mission est de pardonner… faisons-nous toutes petites, nous laissant porter, comme l'enfant dans les bras de sa mère, par Celui qui est notre Tout. Oui, nous sommes bien faibles, mais Il le sait bien, Il aime tant nous pardonner, nous relever, puis nous emporter en Lui, nous relever, puis nous emporter en Lui, en sa pureté, en sa sainteté infinies… »


1030

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)
(lettre 62)
Elisabeth a reçu son nom dès son entrée au Carmel, le 2 août 1901, et elle s’est laissé emporter dans la vie trinitaire. Elle écrit peu avant au Chanoine Angles : 

« Vous ai-je jamais dit mon nom au Carmel : "Marie-Elisabeth de la Trinité". Il me semble que ce nom indique une vocation particulière, n'est-ce pas qu'il est beau ? J'aime tant ce mystère de la Sainte Trinité, c'est un abîme dans lequel je me perds.  »

1024

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)

Dieu tout proche (lettre 175)

« Ne craignez rien, soyez toute dans la paix du bon Dieu, Il vous aime, Il veille sur vous comme la mère sur son petit enfant. Pensez que vous êtes en Lui, qu’il se fait votre demeure, qu'à toute heure du jour et de la nuit, dans toutes joies ou épreuves vous pouvez le trouver là, tout près, tout au-dedans. C'est le secret du bonheur, c'est le secret des saints, ils savaient si bien qu'ils étaient le "temple de Dieu", aussi ils allaient à tout sous son rayonnement.  »

1020

Vladimir Lossky - (1903-1958) théologien orthodoxe)
(Une pensée par jour - les pères spirituels d'Orient)
"La contemplation de cette perfection absolue, de cette plénitude divine qu'est la Trinité, élève l'âme humaine au-dessus de l'être changeant et trouble, tout en lui conférant cette stabilité au milieu des passions, cette sérénité qui est le début de la déification."

982

saint Jean-Paul II -  Lourdes, 15 août 1983

« Chers malades, je voudrais laisser en vos mémoires et en vos cœurs trois petites lumières qui me semblent précieuses.
Tout d’abord, quelle que soit votre souffrance, physique ou morale, personnelle ou familiale, apostolique, voire ecclésiale, il importe que vous en preniez lucidement conscience sans la minimiser et sans la majorer, et avec tous les remous qu’elle engendre dans votre sensibilité humaine : échec, inutilité de votre vie, etc.
Ensuite, il est indispensable d’avancer sur la voie de l’acceptation. Oui, accepter qu’il en soit ainsi, non par résignation plus ou moins aveugle, mais parce que la foi nous assure que le Seigneur peut et veut tirer le bien du mal. Combien, ici présents, pourraient témoigner que l’épreuve, acceptée dans la foi, a fait renaître en eux la sérénité, l’espérance . . . Si le Seigneur veut tirer le bien du mal, c’est qu’Il vous invite à être vous-mêmes aussi actifs que vous le pouvez, malgré la maladie, et si vous êtes handicapés, à vous prendre vous-mêmes en charge, avec les forces et talents dont vous disposez, malgré l’infirmité. 
Ceux qui vous entourent de leur affection et de leur entraide, et aussi les associations dont vous faites partie comme les Fraternités des malades, cherchent justement à vous faire aimer la vie, et à l’épanouir encore en vous, autant qu’il est possible, comme un don de Dieu.
Enfin, le plus beau geste reste à faire : celui de l’oblation. L’offrande, effectuée par amour du Seigneur et de nos frères, permet d’atteindre à un degré, parfois très élevé, de charité théologale, c’est-à-dire de se perdre dans l’amour du Christ et de la très sainte Trinité pour l’humanité.
Ces trois étapes vécues par chacun des souffrants, selon son rythme et sa grâce, lui apportent une libération intérieure étonnante. N’est-ce pas l’enseignement paradoxal rapporté par les évangélistes : “… celui qui perd sa vie à cause de moi la trouvera” ? (Matth. 16, 25) 

N’est-ce pas le mouvement évangélique d’abandon, si profondément expérimenté par Bernadette de Lourdes et Thérère de Lisieux, malades presque toute leur vie ? 

Chers Frères et Sœurs souffrants, repartez fortifiés et rénovés pour votre “mission spéciale” ! Vous êtes les précieux coopérateurs du Christ dans l’application, à travers le temps et l’espace, de la Rédemption qu’il a acquise une fois pour toutes et au bénéfice de l’humanité entière par les mystères historiques de son incarnation, de sa passion et de sa résurrection. Et Marie, sa Mère, et votre Mère, sera toujours près de vous ! » 

913

de saint Pio de Pietrelcina
Lettre du 15 juillet 1913, adressée à l’une de ses filles spirituelles, Annita 

Les anges. 

Chère fille de Jésus,
Que ton cœur soit toujours le Temple de la Très Sainte Trinité, que Jésus augmente dans ton âme le feu de son amour et qu’Il te sourit toujours, comme à toutes les âmes qu’Il aime. Que le sourire de Marie Très Sainte t’accompagne dans tous les événements de ta vie, et qu’elle comble abondamment l’absence de ta mère terrestre.

Que ton bon ange gardien veille toujours sur toi, qu’il te conduise sur les durs sentiers de la vie. Qu’il te garde toujours dans la grâce de Jésus, qu’il te soutienne de ses mains, afin que ton pied ne heurte les pierres. Qu’il te protège sous ses ailes contre tous les pièges du monde, du démon et de la chair. Aie une grande dévotion, Annita, envers cet ange si bon et si bienveillant.
Quelle consolation de savoir que près de nous se trouve un esprit qui, du berceau à la tombe, ne nous quitte jamais un instant, pas même lorsque nous osons pécher ! Cet esprit céleste nous guide, nous protège comme un ami, comme un frère. Mais il est tout aussi consolant de savoir que cet ange prie incessamment pour nous, qu’il offre à Dieu toutes les bonnes œuvres que nous accomplissons, nos pensées et nos désirs lorsqu’ils sont purs.

Pour l’amour de Dieu, n’oublie jamais ce compagnon invisible, toujours prêt à nous écouter et prompt à nous consoler. Ô délicieuse intimité ! Ô délicieuse compagnie ! Si seulement nous savions le comprendre ! Aie-le toujours devant les yeux de l’esprit. Rappelle-toi souvent la présence de cet ange, remercie-le, prie-le, tiens-lui toujours bonne compagnie. Ouvre-toi à lui et confie-lui ta souffrance. Aie sans cesse la crainte d’offenser la pureté de son regard.
Sache ceci et fixe-le bien dans ton esprit, il est si délicat, si sensible. Adresse-toi à lui dans les heures de suprême angoisse et tu feras l’expérience de son aide bénéfique. Ne dis jamais que tu es seule pour soutenir la lutte contre tes ennemis. Ne dis jamais que tu n’as personne à qui t’ouvrir et te confier. Ce serait un grave tort que tu ferais à ce messager céleste.
Les locutions intérieures
Quant aux locutions intérieures, ne crains pas, reste calme. Ce qu’il faut éviter à tout prix, c’est que ton cœur s’attache à ces locutions. Ne leur accorde pas trop d’importance, ne leur prête pas attention. Ne dédaigne pas ton amour, ni le temps pour ces choses. Réponds toujours humblement à ces voix : « Si c’est toi, Jésus, qui me parles, fais-moi voir les faits et les conséquences de tes paroles, c’est-à-dire la vertu sainte en moi ».

Humilie-toi devant le Seigneur, confie-toi en Lui, dépense tes forces par grâce divine dans la pratique des vertus, ensuite laisse la grâce de Dieu agir en toi, comme Dieu veut. C’est la vertu qui sanctifie l’âme, non les phénomènes surnaturels.

Et ne crée pas de confusion en toi en essayant de discerner si ces locutions viennent de Dieu. Si Dieu est leur auteur, un des signes principaux est que lorsque tu écoutes ces voix, elles remplissent d’abord ton âme de peur et de confusion, mais ensuite elles te laissent une paix divine.
Au contraire, lorsque l’auteur des locutions est le diable, elles commencent avec une fausse sécurité, suivie d’agitation et d’un malaise indescriptible.
Je ne doute absolument pas que Dieu soit l’auteur des locutions, mais tu dois être très prudente. Ceci ne doit pas t’inquiéter, c’est le test auquel ont été soumis même les plus grands saints et les âmes les plus illustres, et qui étaient acceptables au Seigneur. Tu dois simplement te garder de croire en ces locutions trop facilement, surtout lorsqu’elles te disent comment agir et ce que tu dois faire. Tu dois les recevoir et les soumettre au jugement de ton directeur spirituel. Ensuite, tu dois accepter sa décision.

Par conséquent, le mieux est de recevoir ces locutions avec une grande prudence et une indifférence constante. Agis ainsi et tout va augmenter ton mérite devant le Seigneur. Ne te préoccupe pas de ta vie spirituelle ; Jésus t’aime beaucoup, essaie de répondre à son amour, en grandissant toujours en sainteté devant Dieu et les hommes.

Prie oralement aussi, le moment n’est pas encore venu pour toi de laisser ces prières et, ce faisant, supporte avec patience et humilité les difficultés que tu expérimentes. Que tu sois prête aussi à te soumettre aux distractions et à l’aridité, et tu ne dois en aucune façon abandonner la prière et la méditation. C’est le Seigneur qui veut te traiter ainsi pour ton profit spirituel.

Pardonne-moi si je termine ici ma lettre. Dieu seul sait ce qu’il m’en coûte d’écrire cette lettre. Je suis très malade, prie beaucoup pour moi le Seigneur afin qu’Il me délivre vite de ce corps. Je te bénis ainsi que l’excellente Francesca. Que tu puisses vivre et mourir dans les bras de Jésus.

Padre Pio

910

de saint Vincent de Paul

«L’union est l’image de la Trinité qui se compose de trois personnes unies par amour. Tandis que la désunion chasse l’amour de Dieu et du prochain, engendre des guerres et l’inquiétude, et contriste Dieu»

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Marthe Robin

(« Chemin de Croix » éd. Les Foyers de Charité)

« Seigneur Jésus, venez aussi reposer en moi, venez y reposer et y opérer des œuvres de résurrection et de vie spirituelle, des œuvres de grâce et de vie divine ! Je veux vous garder en moi, oui, bien vivant, toujours, mais dans la paix et le silence de l’oraison, dans l’amour et la vie toute cachée en vous, dans la louange de la Trinité. »


695


Marthe Robin


(« Journal », 9 janvier 1930)

« N’oublions jamais, nous chrétiens, que nous ne sommes jamais, jamais seuls, que nous vivons constamment en présence et dans la lumière de l’adorable Trinité, et qu’en Jésus (Verbe fait chair) et par le moyen si simple et si parfait de la Sainte Vierge, nous pouvons vivre et nous unir à Eux : Père... Fils et Saint-Esprit. »



660


saint Maximilien-Marie KOLBE 

L'ANNONCIATION

"Marie accueille la volonté du Père, la Vierge obéit par amour, librement. Elle est créature de Dieu, la propriété de Dieu, la ressemblance parfaite de Dieu. L'usage idéal des facultés et des privilèges qui lui sont accordés, permet à Marie d'accomplir exclusivement la volonté de Dieu, par amour pour la Sainte Trinité."

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)