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     Marthe Robin
(Journal - 11 octobre 1931)
"Un bonheur n'est (...) jamais sans épines, si beau que s'ouvre le chemin : "Combien est étroite la porte et resserrée la voie qui conduit à la Vie, et combien peu la trouvent..."

Mais le "OUI" dit au devoir, ce qui veut dire à Dieu, devient toujours et très vite, quand on y persévère, un "OUI" limpide et joyeux, un "OUI" lumineux et plein d'idéal."

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Benoît XVI aux jeunes pour la 24e JMJ, 5 avril 2009

La Croix, une lumière sur la souffrance, sur le sens de la souffrance

« Lorsque nous touchons la Croix, mieux, lorsque nous la portons, nous touchons le Mystère de Dieu, le mystère de Jésus Christ. Le mystère que Dieu a tant aimé le monde - ‘nous’ - qu’il a donné son Fils unique pour nous (cf. Jean 3, 16). Nous touchons le Mystère merveilleux de l’Amour de Dieu, l’unique vérité vraiment rédemptrice. Mais nous touchons aussi la loi fondamentale, la norme constitutive de notre vie, c’est-à-dire le fait que sans le « oui » à la croix, sans marcher en communion avec le Christ jour après jour, la vie ne peut pas être réussie ». 

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Théolepte de Philadelphie - (1250-1326)
" Le souvenir de Dieu est la contemplation même de Dieu, qui appelle à Lui la vision et le désir de l'intelligence, et l'entoure de la Lumière qui vient de Lui"

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 Pape François, Lumen fidei n° 57
« La lumière de la foi ne nous fait pas oublier les souffrances du monde. Pour combien d’hommes et de femmes de foi, les personnes qui souffrent ont été des médiatrices de lumière ! Ainsi le lépreux pour saint François d’Assise, ou pour la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, ses pauvres. Ils ont compris le Mystère qui est en eux. En s’approchant d’eux, ils n’ont certes pas effacé toutes leurs souffrances, ni n’ont pu leur expliquer tout le mal. La foi n’est pas une lumière qui dissiperait toutes nos ténèbres, mais la lampe qui guide nos pas dans la nuit, et cela suffit pour le chemin. À l’homme qui souffre, Dieu ne donne pas un raisonnement qui explique tout, mais il offre sa réponse sous la forme d’une présence qui accompagne, d’une histoire de bien qui s’unit à chaque histoire de souffrance pour ouvrir en elle une trouée de lumière. Dans le Christ, Dieu a voulu partager avec nous cette route et nous offrir son regard pour y voir la lumière. Le Christ est celui qui, en ayant supporté la souffrance, « est le chef de notre foi et la porte à la perfection » (He 12, 2). »

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Benoît XVI - (Spe Salvi - sauvés dans l'Espérance - n° 35) 
30 novembre 2007
« Mais l’engagement quotidien pour la continuation de notre vie et pour l’avenir de l’ensemble nous épuise ou se change en fanatisme si nous ne sommes pas éclairés par la lumière d’une espérance plus grande, qui ne peut être détruite ni par des échecs dans les petites choses ni par l’effondrement dans des affaires de portée historique. Si nous ne pouvons espérer plus que ce qui est effectivement accessible d’une fois sur l’autre ni plus que ce qu’on peut espérer des autorités politiques et économiques, notre vie se réduit bien vite à être privée d’espérance. Il est important de savoir ceci : je peux toujours encore espérer, même si apparemment pour ma vie ou pour le moment historique que je suis en train de vivre, je n’ai plus rien à espérer. Seule la grande espérance-certitude que, malgré tous les échecs, ma vie personnelle et l’histoire dans son ensemble sont gardées dans le pouvoir indestructible de l’Amour et qui, grâce à lui, ont pour lui un sens et une importance, seule une telle espérance peut dans ce cas donner encore le courage d’agir et de poursuivre. »

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Livre d'Isaïe 53, 10
Broyé par la souffrance, le Serviteur a plu au Seigneur.
S’il remet sa vie en sacrifice de réparation,
il verra une descendance, il prolongera ses jours :
par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira.
Par suite de ses tourments, il verra la lumière,
la connaissance le comblera.
Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes,
il se chargera de leurs fautes.
– Parole du Seigneur.

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de saint Ignace d'Antioche (?-v.110), Lettre aux Philadelphiens.
"Celui qui n'est pas avec moi est contre moi ; celui qui ne rassemble pas avec moi disperse." (Lc 11, 14-23)
« Vous, enfants de la vraie lumière, fuyez les querelles et les mauvaises doctrines. Comme des brebis, suivez partout votre berger. Car souvent des loups apparemment dignes de foi égarent ceux qui courent dans la course de Dieu, mais si vous demeurez unis, ils ne trouveront pas de place parmi vous.
Ayez donc soin de ne participer qu'à une seule eucharistie ; il n'y a, en effet, qu'une seule chair de notre Seigneur, une seule coupe pour nous unir en son sang, un seul autel, comme il n'y a qu'un seul évêque entouré des prêtres et des diacres. Ainsi, tout ce que vous ferez, vous le ferez selon Dieu… Mon refuge, c’est l’Evangile, qui est pour moi Jésus lui-même en chair, et les apôtres, qu’incarne le presbytérium de l'Église. Aimons aussi les prophètes, car eux aussi ont annoncé l'Évangile ; ils ont espéré dans le Christ et l'ont attendu ; croyant en lui, ils ont été sauvés et, demeurant dans l'unité de Jésus Christ, saints dignes d'amour et d’admiration, ils ont mérité de recevoir le témoignage de Jésus Christ et d'avoir part à l'Évangile, notre commune espérance…
Dieu n’habite pas là où règnent la division et la colère. Mais le Seigneur pardonne à tous ceux qui se repentent, si le repentir les ramène à l’unité de Dieu et à la communion avec l’évêque. Je crois en la grâce de Jésus Christ qui nous délivrera de toute chaîne. Je vous en supplie, n’agissez jamais par esprit de querelle, mais selon l'enseignement du Christ. J'en ai entendu qui disaient : "Ce que je ne trouve pas dans les archives, je ne le crois pas dans l'Évangile"... Pour moi, mes archives, c'est le Christ ; mes archives inviolables, c'est sa croix, sa mort et sa résurrection et la foi qui vient de lui. Voilà d’où j’attends, avec l’aide de vos prières, toute ma justification. »

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père Antoine Chevrier (1826-1879)
La Sainteté , lumière de Dieu  
Les Saints sont la gloire de Dieu sur la Terre , ils sont l’expression vivante de la divinité ici-bas, ils sont des anges et le bonheur des hommes. 
Un saint, c’est un homme qui est uni à Dieu, qui ne fait qu’un avec Lui, qui demande à Dieu, qui parle à Dieu, et à qui Dieu obéit. C’est un homme qui tient tous les pouvoirs de Dieu en sa main, c’est un homme qui remue tout l’univers quand il est bien uni au Maître qui gouverne toutes choses. 
Les saints sont les hommes les plus puissants de la terre, ils attirent tout à eux, parce qu’ils ont la charité et la lumière de Dieu, et la fécondité de l’Esprit Saint. 
Ils ont la richesse de Dieu, qu’ils distribuent à chaque créature, ce sont les économes du bon Dieu sur la terre. 
Et il faut que vous deveniez des saints. 
Il faut que vous deveniez des lumières pour conduire les hommes dans le bon chemin, du feu pour échauffer les froids et les glacés, des images vivantes de Dieu sur terre.

  Le père Antoine CHEVRIER

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de saint Vincent de Paul

«Tournez la médaille, et vous verrez, par les lumières de la foi, que le Fils de Dieu, qui a voulu être pauvre, nous est représenté par les pauvres; qu'il n'avait presque pas la figure d'un homme en sa Passion, et qu'il passait pour fou dans l'esprit des gentils, et pour pierre de scandale; et avec tout cela il se qualifie l'évangéliste des pauvres»

849

saint Nicolas de Flüe 

"Si tout l’argent et l’or, et les roches les plus nobles amassées dans un tiroir étaient inondés de la lumière du jour, ils n’auraient l’éclat incomparable d’une âme couronnée de lys, que Dieu imprègne quand Il se contemple en elle."


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saint Jean-Gabriel Peyboyre (1902-1940)
prêtre et martyr

AIMER JÉSUS

Jésus-Christ est le grand Maître de la science ; c’est lui seul qui donne la vraie lumière. Toute science qui ne vient pas de lui et ne conduit pas à lui est vaine, inutile et dangereuse. Il n’y qu’une seule chose importante, c’est de connaître et d’aimer Jésus-Christ.

Nous ne pouvons parvenir au salut que par la conformité avec Jésus-Christ. Après notre mort, on ne nous demandera pas si nous avons été savants, si nous avons occupé des emplois distingués, si nous avons fait parler avantageusement de nous dans le monde ; mais on nous demandera si nous nous sommes occupés à étudier Jésus-Christ et à l’imiter.


752

saint Grégoire de Nysse 
Traité sur la perfection chrétienne

"Les vertus sont les rayons du Soleil de justice qui jaillissent pour nous éclairer, afin que nous rejetions les activités des ténèbres et que nous nous conduisions honnêtement, comme on le fait en plein jour. Refusons les dissimulations honteuses, faisons tout à la lumière alors nous deviendrons lumière nous-mêmes, de façon à éclairer les autres, ce qui est le propre de la Lumière.

Et si nous considérons que le Christ est notre sanctification, nous nous abstiendrons de toute action et de toute pensée profane et impure ; ainsi nous montrerons que nous participons vraiment à son Nom, en professant par notre vie, c'est-à-dire par la pratique et non seulement en parole, son pouvoir de sanctification."

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Marthe Robin
(« Chemin de Croix » éd. Les Foyers de Charité)

[Jésus meurt sur la Croix]
« Privé de toute vie, le Corps divin de Jésus restait néanmoins magnifiquement beau. Il restait en lui, par-delà la mort, quelque chose de si grand et de tellement divin, qui inspirait la confiance et l’amour et bouleversait le cœur au point qu’on ne pouvait en détacher les yeux. Tout est consommé, mais tout n’est pas fini, car n’est-ce pas lorsque Jésus meurt que tout commence ? Par sa mort, il a déjà vaincu la mort et le péché.
Ô venez, venez toutes les créatures de la terre, venez dans son Cœur ouvert pour vous, et dans ses bras étendus pour vous recevoir. Venez tous, ô pêcheurs mes frères (…), mon Jésus crucifié est votre Lumière et votre Paix. »



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Marthe Robin 

 (« Journal », 17 septembre 1931)

« Jésus est doux et humble. Son amour n'est pas terrible, il est un feu très doux qui brûle toujours et ne tiédit jamais, une lumière qui ne s'éteint pas... Il est la vie qui remplit l'être. »

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA FLAGELLATION


"Quand nous rencontrons une difficulté que nous ne sommes pas en mesure de surmonter, ou si quelques tentations commencent à nous tourmenter avec insistance, ne nous décourageons pas, mais tournons-nous vers Marie en toute confiance tel des fils vers leur mère et elle saura nous infuser la lumière et la force nécessaires, elle nous prendra sur son cœur et adoucira les plus grandes amertumes. Il n'existe pas dans le monde un seul lieu privé de croix ; du reste sans les croix, nous ne pourrions gagner le Paradis. Ne fuyons donc pas trop la Croix mais si cela est nécessaire, prenons-la sur les épaules et portons-la volontiers par amour pour l'Immaculée."

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BENOÎT XVI
*Angelus, Dimanche 6 août 2006, §2 (Transfiguration du Seigneur)
à Castel Gandolfo
La Transfiguration nous invite à ouvrir les yeux du cœur sur le mystère de la lumière de Dieu présent dans toute l’histoire du salut. Déjà, au début de la création, le Tout-puissant dit : « Fiat lux – Que la lumière soit ! » (Gn 1, 2), et la séparation de la lumière d’avec les ténèbres eut lieu. Comme pour les autres choses créées, la lumière est un signe qui révèle quelque chose de Dieu : c’est comme le reflet de sa gloire, qui en accompagne les manifestations. Lorsque Dieu apparaît, « son éclat est pareil au jour, des rayons jaillissent de ses mains » (Ha 3, 3sq). La lumière, dit-on dans les Psaumes, est le manteau dont Dieu se drape (cf. Ps 104, 2). Avec le Livre de la Sagesse, le symbolisme de la lumière est utilisé pour décrire l’essence même de Dieu : la sagesse, effusion de la gloire de Dieu, est « un reflet de la lumière éternelle », supérieure à toute lumière créée (cf. Sg 7, 27.29sq). Dans le Nouveau Testament, c’est le Christ qui constitue la pleine manifestation de la lumière de Dieu. Sa résurrection a éliminé pour toujours le pouvoir des ténèbres du mal. A travers le Christ ressuscité, la vérité et l’amour triomphent sur le mensonge et le péché. En lui, la lumière de Dieu illumine désormais de façon définitive la vie des hommes et le chemin de l’histoire : « Je suis la lumière du monde – affirme-t-il dans l’Evangile. Qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais aura la lumière de la vie » (Jn 8, 12).


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)