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pape François
Extrait du message du pape François pour la journée mondiale des Missions,  (dimanche 21 octobre 2018)
Chaque homme et chaque femme est une mission, et c’est la raison pour laquelle on vit sur la terre. Etre attirés et être envoyés sont les deux mouvements que notre cœur, surtout quand on est jeune, sent comme des forces intérieures de l’amour qui promettent un avenir et poussent notre existence en avant. Personne autant que les jeunes ne sent combien la vie fait irruption et attire. Vivre avec joie sa propre responsabilité pour le monde est un grand défi. Je connais bien les lumières et les ombres propres au fait d’être jeunes, et si je pense à ma jeunesse et à ma famille, je me rappelle l’intensité de l’espérance pour un avenir meilleur. Le fait de ne pas nous trouver en ce monde par notre décision, nous laisse entrevoir qu’il y a une initiative qui nous précède et nous donne d’exister. Chacun de nous est appelé à réfléchir sur cette réalité : 
« Je suis une mission sur cette terre, et pour cela je suis dans ce monde » 

899

de saint Vincent de Paul

«Toute perte est profitable, lorsqu'elle vient de Dieu. Toutes choses tournent en bien aux hommes justes, et nous sommes assurés que, recevant les adversités des mains de Dieu, elles se convertissent en joie et en bénédiction»

889

de saint Vincent de Paul

«La sainte indifférence est l'état des parfaits. C'est l'état des anges, qui sont toujours prêts à exécuter les volontés de Dieu au moindre signal qu'il leur donne, soit au ciel, soit en la terre, sans regarder en quoi ; qui ne perdent jamais Dieu de vue, quelques emplois qu'ils puissent avoir, mais le contemplent en tout et partout ; qui ont autant de joie d'être les gardiens d'un méchant homme que d'un homme de bien, parce qu'ils mettent leur seul contentement à accomplir la volonté de Dieu»

870

de saint Vincent de Paul 
«Demeurons soumis au bon plaisir de Dieu ; soyons contents dans tous les états où il lui plaira de nous mettre, et ne désirons jamais d'en sortir qu'autant que nous connaîtrons lui être agréables»

843

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
The Mystery of the Cross…, (le Mystère de la Croix) p. 50.

Padre Pio fut interrogé à propos de la réception de la communion. Il répondit : « C’est une compassion interne et externe. Une étreinte. »
  • Question : « Quand Jésus arrive, ne visite-t-il que l’âme ? »
  • Padre Pio : « L’être entier. »
  • Question : « Que fait Jésus lors de la Communion ? »
  • Padre Pio : « Il trouve la joie dans Ses créatures. »
  • Question : « Est-ce que la Communion est une incorporation ? »
  • Padre Pio : « C’est une fusion. Comme deux bougies qui fondent toutes les deux et ne peuvent plus être distinguées. » 


792

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est Juste, c’est-à-dire qu’Il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? » (MS, A 83)

769

Bernard de Clairvaux,

Sur le Cantique des Cantiques, dans: Œuvres mystiques (Seuil, 1951)

L’amour se suffit à lui-même, il plaît par lui-même et pour lui-même. Il est à lui-même son mérite, à lui-même sa récompense. L’amour ne cherche hors de lui-même ni sa raison d’être, ni son fruit. Son fruit, c’est l’amour même. J’aime parce que j’aime, j’aime pour aimer !  Quelle grande chose que l’amour, si du moins il remonte à Dieu, son principe, s’il retourne à son origine, s’il reflue vers sa source, pour y puiser toujours son jaillissement. De tous les mouvements de l’âme, de ses sentiments, de ses affections, seul l’amour permet à la créature de répondre à son Créateur, non pas certes d’égal à égal, mais tout de même dans une réciprocité́ de ressemblance. Car dans Son amour, Dieu ne veut rien d’autre que d’être aimé. Il n’aime que pour qu’on L’aime. Car Il le sait: ceux qui L’aiment trouvent précisément dans cet amour la plénitude de la joie. Oui, quelle grande chose que l’amour!


710

Marthe Robin 
(« Journal », 29 mars 1930)

« Je veux que tout autour de moi et en moi rayonne l’harmonie, le saint contentement, la joie et l’immense bonté de cœur. L’apprentissage de la gaieté dans la maladie n’est pas moins nécessaire que celui de la résignation.
Être toujours gaie, toujours joyeuse, même dans l’affliction... C’est si bon ! C’est de là que j’ai compris la valeur d’un sourire accueillant, le bénéfice d’une sérénité habituelle transformant mélancolie et tristesse en saint contentement. »








689


Marthe Robin 


(« Journal », 27 septembre 1931)


« Laisser à Dieu toute liberté d'action ! Quelle délivrance d'inquiétude ! Quelle moisson de joies et d'espérance ! Oh, que l'abandon à l'Amour est nécessaire, fécond, lumineux et saint ! »


655

Padre Pio à propos de la réception de la Communion

Jean 6:54-55 - « Jésus leur dit donc: En vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez Son sang, vous n'aurez pas la vie en vous. Celui qui mange Ma chair, et boit Mon sang, a la vie éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour. »

Padre Pio fut interrogé à propos de la réception de la communion. Il répondit :« C’est une compassion interne et externe. Une étreinte. »

  • Question : « Quand Jésus arrive, ne visite-t-il que l’âme ? »
  • Padre Pio : « L’être entier. »
  • Question : « Que fait Jésus lors de la Communion ? »
  • Padre Pio : « Il trouve la joie dans Ses créatures. »
  • Question : « Est-ce que la Communion est une incorporation ? »
  • Padre Pio : « C’est une fusion. Comme deux bougies qui fondent toutes les deux et ne peuvent plus être distinguées. » [239]
Padre Pio, Lettre, à un enfant spirituel sur la réception de la Communion : « Continuez à recevoir la Communion, et ne vous inquiétez pas du fait de ne pas pouvoir recevoir le Sacrement de Pénitence. Jésus vous récompensera de votre bonne volonté. Souvenez-vous de ce que je vous ai souvent dit : tant que nous ne sommes pas certains d’être en état de péché mortel, nous n’avons pas besoin de nous abstenir de la Communion. » [240] « À moins que vous ne soyez certain d’être en état de péché mortel, vous devez recevoir la Communion tous les jours. » [241]
Padre Pio : « Mon cœur est comme aspiré par un pouvoir plus grand avant d’être uni avec Lui dans le Saint Sacrement. J’ai une telle faim et soif avant de Le recevoir qu’il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que je meurs d’attendre… Et plutôt que d’être rassasié après avoir reçu le Sacrement, cette faim et cette soif augmentent encore plus. Au moment même où je suis en possession du plus haut des biens, alors oui, la plénitude de douceur est si intense que je suis sur le point de dire à Jésus : Assez ! Je n’en peux plus ! J’oublie même que je fais partie du monde. L’esprit et le cœur n’ont besoin de rien de plus… Parfois je me demande s’il y a vraiment des âmes qui ne ressentent pas leur poitrine brûler du feu divin, surtout au moment où elles se trouvent devant Lui dans le Saint Sacrement. Ça me paraît impossible, surtout si la personne est un prêtre ou un religieux. » [242]


 [239] The Mystery of the Cross…, p. 50.
[240] The Mystery of the Cross…, p. 51.
[241] Padre Pio: The True Story, p. 138.
[242] The Life of Padre Pio, p. 181.

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Jacques Fesch - 

(Guillotiné le 1er octobre 1957 pour le meurtre d'un policier, Jacques Fesch a vécu une conversion fulgurante en prison. Son procès de béatification est en cours.) 


Ma misère, chemin vers Dieu.

"J’ai bien médité la Passion ce matin et en ai retiré beaucoup de forces. Il va d’ailleurs falloir que je m’approche un peu plus de Jésus crucifié, puisque moi aussi, bien que tout à fait indigne, je vais avoir la grâce de vivre mon petit Golgotha. 

Quand je lis qu’ils crachèrent sur le Christ et qu’ils le souffletèrent, je me revois aux mains des agents recevant des coups et des crachats, et je comprends mieux les souffrances de Jésus. (…) 

Bien entendu, moi je suis coupable et n’entends en rien me mettre en parallèle avec Jésus. Seulement qui comprendra mieux la crucifixion et toutes les douleurs qu’elle entraîne, que le bon larron qui pendait au bois à côté de son Sauveur ?
Et pour qui le Christ est-il venu ?

Il ne faut pas oublier que le premier élu a été un bandit exécuté comme tel et que les bien- portants, ou ceux qui se jugent comme tels, se sont vus traiter de sépulcre blanchi et autres ! Qu’est-ce à dire ? Qu’il faut être un criminel pour être élu ? 

Nullement ! Seulement, ce même paria qui a péché, bien souvent sans avoir toute la responsabilité de ses actes, trouvera dans le repentir et la souffrance et surtout la connaissance de sa misère, un chemin plus direct pour aller au cœur de Jésus. (…) 

Au fond de moi-même, je ressens avec intensité toute l’injustice et la stupidité des jugements humains. J’aimerais bien souvent laisser libre cours à mes rancœurs, démontrer la vanité et la présomption de ceux qui osent juger ; et aussitôt, je vois Jésus, l’amour fait homme, subissant, sans un mot, les pires outrages, les pires injustices, et je ravale ma rage, remettant toute justice dans les mains de mon Dieu, et me réjouissant d’avoir moi aussi un tout petit quelque chose à apporter en réparation des péchés. (…) 

Bon Jésus, que d’actions de grâces, que de reconnaissances je lui dois ! 
Mes peines sont devenues mes joies et aucune joie terrestre ne saurait remplacer la douceur, la suavité de pareils transports ! 
Voilà ce que peut faire l’amour de Dieu dans une âme qui était molle, sale et bien misérable. Quel mérite en ai-je ? 

Aucun, si ce n’est d’avoir laissé le petit Jésus modeler mon âme comme Il l’entendait."

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)