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1499

   Cardinal Marc Ouellet
    (5 juin 2019 - 75ème anniversaire de la libération)


"En toutes circonstances le chrétien sait que tout homme est précédé par l’Esprit de Jésus Christ qui conduit l’histoire à son achèvement, c’est-à-dire à la Paix messianique obtenue par sa mort et sa résurrection. Cette œuvre est confiée en même temps à la liberté humaine qui peut y croire ou ne pas y croire. Mais celui ou celle qui croit s’inscrit consciemment dans une synergie efficace au milieu des drames qui ne perdent rien de leur caractère dramatique, mais qui sont enveloppés par la Grâce de ce qui a été déjà réalisé en Jésus Christ. Car Sa victoire sur le péché, le mal et la mort sollicite maintenant tout homme et toute femme à un don en retour, qui ne peut pas être un quiétisme anhistorique ou une résignation soumise au mensonge prédominant des puissances de ce monde, mais un amour concret, et donc un engagement effectif au service de la Paix à construire pour l’humanité dans son ensemble."

1498

   Cardinal Marc Ouellet
    (5 juin 2019 - 75ème anniversaire de la libération)


"Il nous faut proposer avec audace et certitude la possibilité de la Paix, parce que l’Esprit de Jésus Christ est à l’œuvre dans l’histoire, en toutes circonstances, Esprit de réconciliation, Esprit d’unité et de fraternité, offert à toute l’humanité par la rédemption de Jésus Christ. La possibilité de la Paix comme tâche à accomplir par les hommes au nom de leur foi, et non seulement comme stratégie rationnelle à promouvoir, est l’œuvre de l’Esprit et constitue le propre de la motivation des chrétiens à l’édification de la Paix. "

1484

   Paul Claudel (1868-1955)
(Ma conversion)
"En un instant, mon coeur fut touché et je crus. Je crus, d'une telle force d'adhésion, d'un tel soulèvement de tout mon être, d'une conviction si puissante, d'une telle certitude ne laissant place à aucune espèce de doute que, depuis, tous les livres, tous les raisonnements, tous les hasards d'une vie agitée, n'ont pu ébranler ma foi, ni, à vrai dire, la toucher...
Ces quelques heures m'avaient suffi pour me montrer que l'enfer est partout où n'est pas Jésus-Christ. Et que m'importait le reste du monde auprès de cet Être nouveau et prodigieux qui venait de m'être révélé ?"

1427

    pape François

       * Prière à Marie, Mère de l'Église et Mère de notre foi  extraite de l'encyclique Lumen Fidei (29 juin 2013)
Ô Mère, aide notre foi !
Ouvre notre écoute à la Parole, pour que nous reconnaissions la voix de Dieu et son appel.
Éveille en nous le désir de suivre ses pas,
en sortant de notre terre et en accueillant sa promesse.
Aide-nous à nous laisser toucher par son amour,
pour que nous puissions Le toucher par la foi.
Aide-nous à nous confier pleinement à Lui, à croire en son amour, surtout dans les moments de tribulations et de croix, quand notre foi est appelée à mûrir.
Sème dans notre foi la joie du Ressuscité.
Rappelle-nous que celui qui croit n’est jamais seul.
Enseigne-nous à regarder avec les yeux de Jésus, pour qu’Il soit Lumière sur notre chemin. Et que cette lumière de la foi grandisse toujours en nous jusqu’à ce qu’arrive ce jour sans couchant, qui est le Christ lui-même, ton Fils, notre Seigneur !

1388

   Saint Vincent de Paul 

Sur la foi :
Entretien 18. — Abelly, op. cit., l. III, chap. II, p. 9.
Il n’y a que les vérités éternelles qui soient capables de nous remplir le cœur & de nous conduire avec assurance. Croyez-moi, il ne faut que s’appuyer fortement & solidement sur quelqu’une des perfections de Dieu, comme sur sa bonté, sur sa providence, sur sa vérité, sur son immensité, etc. ; il ne faut, dis-je, que se bien établir sur ces fondements divins pour devenir parfait en peu de temps. Ce n’est pas qu’il ne soit bon aussi de se convaincre par des raisons fortes & prégnantes, qui peuvent toujours servir, mais avec une subordination aux vérités de la foi. L’expérience nous apprend que les prédicateurs qui prêchent conformément aux lumières de la foi, opèrent plus dans les âmes, que ceux qui remplissent leurs discours de raisonnements humains & de raisons de philosophie, parce que les lumières de la foi sont toujours accompagnées d’une certaine onction toute céleste, qui se répand secrètement dans les cœurs des auditeurs ; & de là on peut juger s’il n’est pas nécessaire, tant pour notre propre perfection que pour procurer le salut des âmes, de nous accoutumer à suivre toujours & en toutes choses les lumières de la foi.

1380

 Saint Charbel 
"Vivez dans la lumière de la vérité que vous saisissez. Il ne suffit pas de connaître le chemin pour arriver, il faut le suivre. Dieu éclaire les pages, mais c'est à vous de les lire. Dieu vous illumine le chemin, mais c'est à vous d'y marcher. Celui qui monte se sert de ses pieds, celui qui descend, c'est avec ses pieds qu'il descend; et là où vous arrivez, ce sont vos pieds qui vous y auront conduits.
Soyez toujours en état d'écoute et d'éveil. Refaites vos comptes quotidiennement, changez votre vie et renouvelez-la. Si vous écoutez humblement, vous comprendrez la vérité et elle vous libérera.
Affranchissez-vous des cordes qui vous ligotent. Vos pensées, vos croyances propres et vos penchants vous enchaînent comme les cordes qui immobilisent le navire au quai et le sécurisent, mais elles ne lui permettent pas de naviguer.
Laissez la parole de Dieu vous délier des vôtres en les rompant l'une après l'autre, même si vous en souffrez. Ne stagnez pas dans vos penchants et dans vos pensées même s'ils vous offrent repos et sécurité. Toute sécurité est une illusion sans la paix du Christ. Le repos loin du cœur est une duperie. Ne craignez pas de vous libérer du rivage et de quitter le port; livrez-vous à Dieu pour vous affranchir de vos chaînes.
C'est sa Parole qui vous oriente, et son Esprit qui souffle dans vos voiles; ainsi vous arriverez à la rive de lumière. Le navire est destiné à traverser la mer et non pas à rester au port. Il est fait pour naviguer très loin au large.
Il faut dénouer toutes ses cordes ; s'il en reste une seule, elle l'empêchera de quitter le port. Ne gardez que les cordes qui font dresser le mât, celles de l'amour et de la communion qui vous lient à vos frères les hommes. Votre voyage dans ce monde est un chemin vers la sainteté qui est une perpétuelle transformation de l'état matériel vers celui de la lumière.
Priez pour écouter, priez pour comprendre et priez pour vivre votre foi, la pratiquer et en témoigner. Priez pour vous transformer en lumière. Écoutez en priant, comprenez la vérité dans la prière, et vivez en prière."

1350

   saint Augustin

(Méditations tirées de l’Ecriture sainte)

« Avoir la foi, c'est signer une feuille blanche et permettre à Dieu d'y écrire ce qu'il veut. » 

1346

   René Rapin (1620-1687 

(L'Esprit du christianisme)

"Donner l'aumône par une pitié naturelle, être dévoué et bienfaisant par des sentiments humains, aimer ses amis, ses proches, sa famille, parce que la bienséance l'ordonne, bien vivre avec tout le monde, ce n'est qu'une charité de païen.
Les païens aiment ceux qui les aiment, ils considèrent, ils ménagent ceux qui les ménagent. C'est, si vous voulez, honnêteté, c'est bienséance, c'est inclination, c'est complaisance, c'est prudence, c'est politique, mais ce n'est point du tout charité.
La charité chrétienne ne sait ce que c'est que toutes ces distinctions et toutes ces préférences injustes des uns aux autres que fait la prudence de la chair, parce que le chrétien considère également Jésus Christ dans tous les frères, qu'il ne regarde jamais d'un oeil purement humain : la foi lui apprend que cet ignorant qu'il instruit, ce misérable qu'il soulage, ce pauvre à qui il donne du pain, c'est Jésus-Christ qui se trouve dans la personne du nécessiteux, comme le prince se trouve dans la personne de son ambassadeur. 

1342

   pape François 

(Message pour la Journée mondiale des pauvres - 18 novembre 2018)

“Les pauvres nous évangélisent, en nous aidant à découvrir chaque jour la beauté de l’Evangile. Ne passons pas à côté de cette occasion de grâce. En ce jour, considérons-nous comme leurs débiteurs. Se tendre la main les uns et les autres, c’est vivre une rencontre de salut qui soutient la foi, rend effective la charité, donne l’espérance pour avancer sur le chemin où le Seigneur vient à notre rencontre”.

1306

  Pape François 

(27 octobre 2013, messe du pèlerinage des familles.)

"Retenons-nous la Foi pour nous, comme un compte en banque, ou savons-nous la partager par le témoignage, l’accueil et l’ouverture aux autres ?"

1267

Cardinal Robert Sarah (né en 1945- Guinée )

(Interview de Laurent Dandrieu dans Valeurs actuelles du 28/03/2019)

DES PAPES SOLIDES
« Pour nous préparer à cette situation, Dieu nous a donné des papes solides : il nous a donné Paul VI, qui a défendu la vie et le véritable amour, malgré des oppositions très fortes, avec l’encyclique Humanae Vitae ; il nous a donné Jean-Paul II, qui a travaillé au mariage de la foi et de la raison pour qu’elles soient la lumière qui guide le monde vers une véritable vision de l’homme – la vie même du grand pape polonais a été un Évangile vivant. Il nous a donné Benoît XVI, qui a composé un enseignement d’une clarté, d’une profondeur et d’une précision sans égales. Aujourd’hui, il nous donne François, qui veut littéralement sauver l’humanisme chrétien. Dieu n’abandonnera jamais son église. »

1229

Paul VI - Concile vatican II

(Lumen Gentium - chap. VIII - 65 - 1964)

"L'Église, en songeant pieusement à Marie et en la contemplant dans la lumière du Verbe fait homme, pénètre plus avant, pleine de respect, dans les profondeurs du Mystère de l'Incarnation, et se conforme toujours davantage à son Époux. Marie, en effet, qui, par son étroite participation à l'histoire du salut, unit en elle et reflète pour ainsi dire les données les plus élevées de la foi, amène les croyants, quand elle est l'objet de la prédication et du culte, à considérer son Fils, le sacrifice qu'il a offert, et aussi l'amour du Père. (...) l'Église, en son travail apostolique également, regarde-t-elle avec raison vers celle qui engendra le Christ, conçu donc de l'Esprit-Saint et né de la Vierge, afin qu'Il naisse et grandisse également dans le cœur des fidèles par le moyen de l'Église. La Vierge fut dans sa vie un modèle de cet amour maternel dont doivent être animés tous ceux qui, associés à la mission apostolique de l'Église, coopèrent à la régénération des hommes."

1196

saint Ambroise (340-397)

Fuyons hors d’ici. Tu peux fuir en esprit, même si tu es retenu physiquement. Tu peux à la fois demeurer ici et être en présence du Seigneur, si ton âme s’attache à Lui, si, par la pensée, tu marches derrière Lui, si tu suis ses chemins par la foi, non par la vue, si tu te réfugies en Lui ; car Il est refuge et force, Lui à qui David disait : Vers toi je me suis réfugié et je n’ai pas été déçu.

1186

saint François de Sales (1567-1622) 

Vrais Entretiens spirituels

"Quand nous disons que nous ne pouvons trouver Dieu, et qu'il nous semble qu'Il est si loin de nous, nous voulons dire que nous ne pouvons avoir du sentiment de sa Présence. J'ai remarqué que plusieurs ne font point de différence entre Dieu et le sentiment de Dieu, entre la foi et le sentiment de la foi, ce qui est un trés grand défaut."

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

1171

saint Cyprien (Traité sur la prière du Seigneur) 

"Les préceptes de l'Évangile, frères bien-aimés, ne sont pas autre chose que les enseignements du Maître divin. Ce sont les fondements sur lesquels bâtir l'espérance, les appuis pour consolider la foi, les aliments pour réconforter le cœur, les orientations pour diriger le voyage, les sauvegardes pour obtenir le salut. "

1170

François Malaval (1624-1719) 
 pratique facile de la contemplation

"Dieu nous cherche avec plus de foi et d'ardeur que nous ne le cherchons nous-mêmes, n'étant venu au monde que pour habiter en nous. Dieu pense continuellement à chacun de nous comme s'il n'y avait que nous. Il est bien plus juste que nous pensions continuellement à Lui comme s'il n'y avait que Lui.
Et c'est toute notre vie qui est appelée à devenir oraison :
Quel aveuglement des hommes, qui n'ayant pas encore compris qu'ils n'ont été créés que pour Dieu, osent trouver étrange que l'on pense toujours à Dieu et que l'on n'ai point de familier objet que Dieu.

1132

saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio) 

Le lieu du combat entre Dieu et Satan, c’est l’âme humaine, à chaque instant de la vie. 
Il est donc nécessaire que l’âme laisse libre accès au Seigneur pour qu’Il la fortifie de tout côté et par toutes sortes d’armes. 
Ainsi sa lumière peut venir l’illuminer pour mieux combattre les ténèbres de l’erreur ; 
revêtue du Christ, de sa vérité et de sa justice, 
protégée par le bouclier de la foi 
et par la parole de Dieu, 
elle vaincra ses ennemis, aussi puissants soient-ils. 
Mais pour être revêtu du Christ, encore faut-il mourir à soi-même. 

1091

Frère Adrien Candiard, dominicain, couvent du Caire
Extraits des méditations du 09, 11 & 13/02/2015
Signe dans la Bible

Déconcertante logique du Royaume, qui vient nourrir tant de paraboles de Jésus : ce qui est partagé vit et grandit, quand ce qu’on garde pour soi est perdu. Une logique si loin de notre expérience quotidienne, où ce que nous donnons, nous ne l’avons plus. Cela est vrai, du moins, pour les choses matérielles la logique comptable de l’argent. Mais notre erreur, c’est de croire que tout fonctionne comme cela. N’expérimentons-nous pas qu’il en va autrement pour les choses essentielles ? Que la joie, l’amitié, l’amour, la confiance, la foi en Dieu aussi, grandissent quand ils sont partagés et qu’ils ne diminuent, précisément, que lorsqu’on les garde pour soi ?

Il ne s’agit pas, bien sûr, de chercher dans la prière une excuse à la paresse ou à l’indifférence aux besoins des autres ; mais pour les servir utilement, il est bon de n’être pas dépassé par les événements. (...) Sans cela, nous nous exposons à la mésaventure qu’évoque Isaïe : (...) brasser du vent sans résultat, sans voir que c’est Dieu qui donnera Vie à tout ce que nous faisons, si nous nous mettons à son diapason, sur sa longueur d’ondes. Quand nous prétendons devoir sauver le monde par notre seule énergie, souvenons-nous que nous ne le sauverons pas, pour une très bonne raison : il a déjà été sauvé, Jésus l’a déjà sauvé.

Réjouissez-vous aussi, vous qui n’avez pas connu Jésus quand il parcourait les routes de Galilée, parce que vous le connaissez aussi, parce qu’il se tient là, Vivant, à la porte de votre cœur. Réjouissez-vous, d’une joie qui n’est pas un simple lieu commun de sacristie, d’une joie qui ne supprimera pas comme par magie les épreuves et les chagrins, mais qui les traversera, comme le Christ a traversé la mort. Réjouissez-vous, parce que vous n’êtes plus seuls. Réjouissez-vous, parce que vous êtes Aimés.


1083

Cardinal Robert Sarah 
Paris, le 25 mars 2017
En guise d’introduction, j’ai désiré vous rappeler le cadre événementiel et mystique du combat pour la vie menée par le Professeur Lejeune pour mieux en faire ressortir maintenant le sens profond à la lumière de l’Evangile. Examinons ensemble sa vie : on peut affirmer, sans risque d’erreur, que, plutôt que de tomber dans les lâches compromis, le Professeur Lejeune a renoncé aux honneurs et à l’aisance en acceptant l’humiliation et même l’exil, du moins un exil intérieur. En effet, Jérôme Lejeune, contre vents et marées, est resté fidèle au Christ et à l’Evangile ; c’est pourquoi il représente pour chacun de nous un exemple admirable de force dans la foi et de dévouement dans la charité. En effet, comme vous le savez, la mort « in odium fidei », en haine de la foi, n’est pas l’apanage de « cette foule immense d’hommes et de femmes qui viennent de la grand épreuve et ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le Sang de l’Agneau, qui se tiennent debout devant le Trône de Dieu et devant l’Agneau, et le servent jour et nuit dans son Temple », selon la vision de l’Apocalypse (cf. Ap 7, 9). Une telle mort, où le sang est versé par le témoin du Christ, n’est pas la seule voie vers le martyre, car il est vrai qu’une vie de martyr chrétien, c’est aussi une vie durant laquelle on offre tout à Dieu, y compris sa vie, sa famille, sa réputation et son honneur, s’ils viennent à être foulés aux pieds par les païens, une vie où l’on renonce à tout pour l’Amour de Dieu. 




Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)