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1189

Marthe Robin 

 (Journal - 12 avril 1930)

"Après les touchantes paroles de mon père spirituel je dis encore : Jésus je ne suis pas digne que vous vous donniez tout à moi, mais dites seulement une Parole et mon âme sera guérie. Jésus doit la prononcer cette parole car je le sens et quand mon père prend la divine Hostie et l'élève à portée de mes yeux en prononçant les saintes paroles, alors mon coeur se fond, mes yeux contemplent, ravis par un pouvoir qui est hors de moi, je sens que mon âme voudrait s'échapper de mon enveloppe. Mais Jésus a pitié de sa petite victime exauçat ses prières et ainsi ne permettant pas qu'il se passe rien d'extraordinaire. Je suis bien clouée à la Croix ; mais c'est avec Toi, ô divin Crucifié, l'Amour est le puissant levier qui soulève de terre.

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

1174

 Saint François de Sales (1567-1622) - 
Introduction à la vie dévote

"Par exemple, si vous voulez méditer Notre Seigneur en Croix, vous vous imaginerez d'être au mont du Calvaire, voyant tout ce qui s'est fait et ce qui s'est dit au jour de la Passion ; ou, si vous voulez, car cela revient au même, vous imaginerez qu'au lieu même où vous êtes se fait le crucifiement de Notre-Seigneur, en la façon que les évangélistes la décrivent."

1158

pape François
"Carême pour tous - Hors série n°21 Ma Prière - 2019-année C"

Quand à eux, ils s'en allèrent proclamer partout l'Evangile. Le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les signes qui l'accompagnaient. (Mc 16, 20)

"La Bonne Nouvelle de Jésus, crucifié et réssuscité par amour, qui est venue des terres du Moyen-Orient, a conquis le coeur des hommes au cours des siècles car elle était liée non pas aux pouvoirs du monde, mais à la force sans défense de la croix. L'Evangile nous engage à une conversion quotidienne aux plans de Dieu, à trouver en Lui seul sécurité et réconfort, à l'annoncer à tous et malgré tout. 

1151

Saint Pio de Pietrelcina (padre Pio)
«Nous ne voulons pas admettre que la souffrance est nécessaire à notre âme; que la croix doit être notre pain quotidien. La Croix est nécessaire à l'âme comme la nourriture au corps. Jour après jour; c'est elle qui la purifie et la libère de son attachement aux créatures. Nous avons du mal à comprendre que Dieu ne veut pas, ne peut pas nous sauver sans la Croix; et plus Il attire une âme à Lui, plus Il la purifie par la Croix.»

1138

sainte Bernadette Soubirous (1844-1879- 35 ans)

« Lisez et méditez le chapitre de ce Chemin royal de la sainte Croix ! Vous y trouverez force et courage pour passer l'année ». 

1137

sainte Bernadette Soubirous (1844-1879- 35 ans)

« Il faut que vous portiez la Croix cachée dans votre coeur, à l'exemple de Marie ». 

1096

ste thérèse de l'Enfant-Jésus

mère, ce doux Enfant veut que tu sois l'exemple
de l'âme qui Le cherche en la nuit de la Foi...
puisque le Roi des Cieux a voulu que Sa Mère
fût soumise à la nuit, à l'angoisse du cœur,
alors, c'est donc un bien de souffrir sur la terre ?
oui !... Souffrir en Aimant, c'est le plus pur bonheur!
tout ce qu'Il m'a donné, Jésus peut le reprendre,
dis-lui de ne jamais Se gêner avec moi ;
Il peut bien Se cacher, je consens à L'attendre

1064

Benoît XVI aux jeunes pour la 24e JMJ, 5 avril 2009

La Croix, une lumière sur la souffrance, sur le sens de la souffrance

« Lorsque nous touchons la Croix, mieux, lorsque nous la portons, nous touchons le Mystère de Dieu, le mystère de Jésus Christ. Le mystère que Dieu a tant aimé le monde - ‘nous’ - qu’il a donné son Fils unique pour nous (cf. Jean 3, 16). Nous touchons le Mystère merveilleux de l’Amour de Dieu, l’unique vérité vraiment rédemptrice. Mais nous touchons aussi la loi fondamentale, la norme constitutive de notre vie, c’est-à-dire le fait que sans le « oui » à la croix, sans marcher en communion avec le Christ jour après jour, la vie ne peut pas être réussie ». 

1057

Pape François, catéchèse du 12 avril 2017


L’espérance qui naît de la Croix

« Jésus a apporté dans le monde une espérance nouvelle et il l’a fait à la manière de la graine : il s’est fait tout petit, comme un grain de blé ; il a laissé sa gloire céleste pour venir parmi nous : il est « tombé en terre ». Mais cela n’était pas encore suffisant. Pour porter du fruit, Jésus a vécu l’amour jusqu’au bout, se laissant rompre par la mort comme une graine qui se laisse rompre sous la terre.

C’est justement là, au point extrême de son abaissement – qui est aussi le point le plus élevé de l’amour – qu’a germé l’espérance. Si quelqu’un de vous demande : « Comment naît l’espérance ? – De la croix. Regarde la croix, regarde le Christ crucifié et de là t’arrivera l’espérance qui ne disparaît plus, celle qui dure jusqu’à la vie éternelle ». Et cette espérance a germé précisément par la force de l’amour : parce que l’amour qui « espère tout, supporte tout » (1 Cor 13, 7), l’amour qui est la vie de Dieu a renouvelé tout ce qu’il a atteint. (…) Contemplons le Crucifié, source d’espérance. Petit à petit nous comprendrons qu’espérer avec Jésus, c’est apprendre à voir dès maintenant la plante dans la graine, Pâques dans la croix, la Vie dans la mort. Je voudrais maintenant vous donner un devoir à faire à la maison. Cela nous fera du bien à tous de nous arrêter devant le crucifix – vous en avez tous un à la maison – le regarder et lui dire : « Avec toi, rien n’est perdu. Avec toi, je peux toujours espérer. Tu es mon espérance ». Imaginons maintenant le crucifix et tous ensemble, disons à Jésus crucifié, disons trois fois : « Tu es mon espérance ». Tous : « Tu es mon espérance ». Plus fort : « Tu es mon espérance ». »

1048

Fabrice HADJAJ, 

Texte écrit en hommage à Jérôme Lejeune

"Qu’est-ce qu’un bienheureux ? Il ne faudrait pas en avoir une vision niaise, de facilité, de contentement, d’agrément – une vision béate et sans béance. Celui qui a vécu dans l’ignorance du souffrir, celui qui a méconnu l’horreur de son époque et réussi à s’épanouir, comme on dit, dans un confort sans morsure ni effraction, pareil à une courge bien arrosée dans son parterre, celui-là peut bien se sentir heureux, il n’est pas bien-heureux. 

Je dois le rappeler au seuil de cette réflexion : le bienheureux est très éloigné de cette aisance. Il n’a pas été épargné ni ménagé, au contraire, il a été saisi par les malheurs du temps et les a illuminés de l’intérieur – d’une présence éternelle. Il n’a pas été préservé par le drame : tout droit, il est allé tout droit sur la croix parmi les malfaiteurs, blessé, souillé – le cœur pur, cependant. 
C’est un tragique et c’est un simple."

1036

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906) 

Vie nouvelle (lettre 324) 

La miséricorde est accordée à tous comme une grâce venant de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. La Croix du Christ est donc le jugement de Dieu sur chacun de nous et sur le monde, puisqu'elle nous donne la certitude de l'amour et de la vie nouvelle.

« Si votre nature est un sujet de combat, un champ de bataille, oh, ne vous découragez pas, ne vous attristez pas. Je dirais volontiers : aimez votre misère, car c'est sur elle que Dieu exerce sa miséricorde ! Aux heures de défaillance, allez vous réfugier sous la prière de votre Maître ; oui, sur sa Croix Il vous voyait, Il priait pour vous, et cette prière est éternellement vivante et présente devant son Père. C’est elle qui vous sauvera de vos misères. Plus vous sentez votre faiblesse, plus votre confiance doit grandir, car c'est à Lui seul que vous vous appuyez… Allez chercher la force près de Celui qui a tant souffert parce qu' "Il nous a trop aimés…" »

1000

Benoît XVI, 17 février 2007, dialogue avec les prêtres

« Le christianisme nous annonce la joie, oui ; cette joie ne croît cependant que sur le chemin de l’amour et ce chemin de l’amour a un lien avec la Croix, avec la communion avec le Christ crucifié. Elle est représentée par le grain de blé tombé en terre. Lorsque nous commençons à comprendre et à accepter cela, chaque jour, parce que chaque jour nous impose quelque insatisfaction, quelque poids qui crée aussi de la douleur, lorsque nous acceptons cette école de la sequela du Christ, comme les Apôtres ont dû apprendre à cette école, alors nous devenons également capables d’aider les personnes qui souffrent.
Il est vrai que cela est toujours un peu difficile si une personne qui est plus ou moins en bonne santé ou dans de bonnes conditions doit en réconforter une autre frappée par un grand mal : que ce soit la maladie ou la perte de l’amour. Face à ces maux que nous connaissons tous, tout apparaît presque inévitablement uniquement rhétorique ou pathétique. Mais, dirais-je, si ces personnes sentent que nous sommes « com-patients », que nous voulons porter avec eux la Croix en communion avec le Christ, surtout en priant avec eux, en les assistant également avec un silence plein de sympathie, d’amour, en les aidant autant que nous pouvons, nous pouvons devenir crédibles.
Nous devons accepter, que peut-être dans un premier moment, nos paroles apparaissent comme de simples paroles. Mais si nous vivons réellement dans cet esprit de la vraie sequela de Jésus, nous trouvons également la manière d’être proches à travers notre sympathie. Sympathie, étymologiquement, signifie « com-passion » pour l’homme, en l’aidant, en priant, en créant ainsi la confiance que la bonté du Seigneur existe même dans la vallée la plus obscure. Nous pouvons ainsi ouvrir le cœur à l’Evangile du Christ lui-même, qui est le vrai consolateur ; ouvrir le cœur à l’Esprit Saint qui est appelé l’autre Consolateur, l’autre Paraclet, qui assiste, qui est présent.
Nous pouvons ouvrir le cœur non à nos paroles, mais au grand enseignement du Christ, à son être avec nous et aider ainsi à ce que la souffrance et la douleur deviennent réellement une grâce de maturité, de communion avec le Christ Crucifié et Ressuscité. » 

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DIALOGUE DE SAINTE CATHERINE DE SIENNE SUR LA PROVIDENCE
Le plan d'amour de Dieu.
Le Père éternel, avec son inexprimable bonté, tournait son regard vers Catherine et lui disait :
"Ma très chère fille, j'ai absolument décidé de faire miséricorde au monde et de secourir de toute manière l'humanité. Mais l'homme, dans son ignorance, croit voir la mort dans ce que je lui donne pour sa Vie, et il devient ainsi cruel envers lui-même. Pourtant ma Providence l'assiste toujours. Aussi, je veux que tu le saches : tout ce que je donne à l'homme provient de ma souveraine Providence.
Et c'est pourquoi, lorsque je l'ai créé par ma Providence, j'ai regardé en moi-même et j'ai été saisi d'amour par la beauté de ma créature. J'ai voulu la créer à mon image et à ma ressemblance, en y employant largement ma Providence. En outre, je lui ai donné la mémoire pour qu'elle garde le souvenir de mes bienfaits : car je voulais qu'elle participe à ma puissance de Père éternel.
Je lui ai encore donné l'intelligence, pour que, dans la sagesse de mon Fils unique, l'homme connaisse ma volonté, car c'est moi qui donne toutes les grâces avec un brûlant amour de Père. Et je lui ai donné aussi la volonté pour aimer, en participant à la douceur du Saint-Esprit, afin qu'il puisse aimer ce que son intelligence ne pouvait connaître et voir.
Voilà ce que ma douce Providence a fait, uniquement pour que l'homme soit capable de me comprendre et de me goûter avec une joie parfaite, dans l'éternelle vision qu'il aurait de moi. Et, comme je te l'ai déja dit, le ciel était fermé par la désobéissance d'Adam votre premier père. C'est de cette désobéissance que sont venus tous les maux, à travers le monde entier. ~
Afin que l'homme soit délivré de la mort amenée par cette désobéissance, ma Providence a eu la bonté de vous donner mon Fils unique pour secourir votre misère. ~ Je lui ai imposé la grande obéissance pour que le genre humain délivré du poison que la désobéissance de votre premier père avait répandu dans le monde. Aussi, comme saisi d'amour, vraiment obéissant, Il courut sans retard à la mort ignominieuse de la très sainte Croix et sa mort vous donna la Vie, par la force non pas de son humanité mais de sa divinité."
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998 - Pape François, catéchèse du 12 avril 2017

998

Pape François, 
Audience Générale du 12 avril 2017
« Quand nous choisissons l’espérance de Jésus, nous découvrons petit à petit que la manière gagnante de vivre est celle de la graine, celle de l’amour humble. Il n’y a pas d’autre voie pour vaincre le mal et donner l’espérance au monde. Mais vous pouvez me dire : « Non, c’est une logique perdante ! » C’est ce qu’il semble, que ce soit une logique perdante, parce que qui aime perd le pouvoir. Avez-vous pensé à cela ? Qui aime perd le pouvoir, qui donne se dépossède de quelque chose et aimer est un don. En réalité, la logique de la graine qui meurt, de l’amour humble, est la voie de Dieu et elle seule donne du fruit. (…) Certes, cet amour vrai passe à travers la croix, le sacrifice, comme pour Jésus. La croix est le passage obligatoire, mais elle n’est pas le but, elle est un passage : le but est la gloire, comme nous le montre Pâques. Et là, une autre très belle image vient à notre aide, celle que Jésus a laissée à ses disciples pendant la dernière Cène. Il dit : « La femme qui enfante est dans la peine parce que son heure est arrivée. Mais, quand l’enfant est né, elle ne se souvient plus de sa souffrance, tout heureuse qu’un être humain soit venu au monde » (Jn 16,21). Voilà : donner sa vie, ne pas la posséder. Et c’est ce que font les mamans : elles donnent une autre vie, elles souffrent, mais ensuite elles sont joyeuses, heureuses parce qu’une autre vie est venue au monde. Cela donne de la joie ; l’amour donne la vie au monde et il donne même du sens à la souffrance. L’amour est le moteur qui fait avancer notre espérance. Je le répète : l’amour est le moteur qui fait avancer notre espérance. Et chacun de nous peut se demander : « Est-ce que j’aime ? Ai-je appris à aimer ? Est-ce que j’apprends tous les jours à aimer plus ? », parce que l’amour est le moteur qui fait avancer notre espérance. »

994

Saint Jean-Paul II, Salficici Doloris n°22
La Résurrection du Christ a révélé « la gloire du siècle à venir » et en même temps elle a confirmé « l’exaltation de la Croix » : cette gloire qui est comprise dans la souffrance même du Christ, telle qu’elle s’est bien souvent reflétée et qu’elle se reflète encore dans la souffrance de l’homme comme expression de sa grandeur spirituelle. Il faut rendre témoignage de cette gloire non seulement aux martyrs de la foi mais aussi aux nombreux autres hommes qui parfois, sans avoir la foi au Christ, souffrent et donnent leur vie pour la vérité ou pour une juste cause. Dans leurs souffrances à tous est confirmée d’une manière particulière la haute dignité de l’homme. » 

961

Lettre de saint Paul aux Ephésiens - Ep 2, 15-17
Ainsi, à partir des deux, le juif et le païen, Il a voulu créer en Lui un seul Homme nouveau en faisant la paix, et réconcilier avec Dieu les uns et les autres en un seul Corps par le moyen de la Croix ; en sa Personne, Il a tué la haine. 
Il est venu annoncer la bonne nouvelle de la PAIX.

955

pape François
Extrait du message pour la journée missionnaire mondiale : dimanche 21 octobre 2018
"Grâce à la foi, j’ai trouvé le fondement de mes rêves et la force de les réaliser. J’ai vu beaucoup de souffrance, beaucoup de pauvreté défigurer les visages de tant de frères et sœurs. Pourtant, pour celui qui vit avec Jésus, le mal est une provocation à aimer toujours plus. Beaucoup d’hommes et de femmes, beaucoup de jeunes se sont généreusement donnés eux-mêmes, parfois jusqu’au martyre, par amour de l’Evangile, au service de leurs frères. 
De la croix de Jésus, découvrons la logique divine de l’offrande de nous-mêmes (cf. 1 Co 1, 17-25) comme annonce de l’Evangile pour la vie du monde (cf. Jn 3, 16). 
Etre enflammés de l’amour du Christ consume celui qui brûle et fait grandir, illumine et réchauffe celui qu’on aime (cf. 2 Co 5, 14). 

835

saint Jean-Gabriel Peyboyre (1902-1940)
prêtre et martyr

LE DÉSIR

Dans le Crucifix, l’Évangile et l’Eucharistie, nous trouvons tout ce que nous pouvons désirer. Il n’y a pas d’autre voie, d’autre vérité, d’autre vie.

822

saint François de Sales

« Le mérite de la Croix ne consiste pas dans sa pesanteur, mais dans la manière avec laquelle nous la portons. » (Sermon 10)



Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)