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Guillaume de Saint-Thierry (1085-1148)

(Oraison méditative VI)

"Depuis l'origine des siècles, les Mystères étaient cachés dans le ciel de ton secret, Seigneur, et à la fin des siècles, tu les as montrés au monde qui les désiraient, quand tu as ouvert au ciel la porte que tu es toi-même, Tu l'as ouverte lorsque ta grâce est apparue à tous les hommes et nous a instruits, lorsque ta bonté et ton humanité sont apparues, non pas du fait des oeuvres de justice que nous aurions accomplies, mais en raison de ta miséricorde qui nous sauve. 
Alors, le ciel une fois ouvert, tout son bien, toute sa gloire, toute sa douceur se sont répandues sur la terre ; alors s'est fait ouvertement connaître à tous l'abondance de ta bonté pour nous, ô Dieu qui n'a pas épargné ton propre Fils, mais l'a livré pour nous tous (Rm 9, 32)." 

1203

Saint Léon le Grand 390-461)

Sermon sur le jeûne du dixième mois

"Dieu, dans son Amour, nous a reformés à son image, et afin de retrouver en nous les traits de sa bonté, il nous donne ce qu'il faut pour que nous puissions nous-mêmes faire ce qu'Il fait. Il allume pour cela les lumières de nos esprits et nous enflamme du feu de la charité, afin que nous l'aimions, Lui, et aussi tout ce qu'Il aime. 
Trois pratiques, surtout, nous concernent ici : la prière, le jeûne et le partage. Elles sont possibles en tout temps, mais de tradition apostolique, cette période qui y est consacrée demande que l'on s'y applique davantage.
Par la prière, on se rend Dieu propice, par le jeûne, on réfrène les mauvais désirs de la chair, par les aumônes, on efface les péchés : par cette triple observance, l'image de Dieu en nous se trouve renouvelée, pour peu que nous soyons toujours prêts à chanter ses louanges, que nous soyons continuellement attentifs à nous rendre purs et que nous nous appliquions sans faiblir à aider notre prochain."

1074


Marthe Robin 
 (« Journal », 22 janvier 1930)
« C’est si bon de penser du bien de son prochain. Toutes les créatures sont bonnes, elles sont toutes bonnes ; c’est Dieu qui les a créées, et il les a créées à son image. Mais Dieu les a créées pour nous servir, pour leur servir, non pour nous asservir. »
@QuestionsdeFoi 

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sainte Térésa de Calcutta 

 Soyez bons et miséricordieux. Que personne ne vienne à vous sans repartir meilleur et plus joyeux. Soyez la vivante expression de la bonté de Dieu. Bonté sur votre visage, bonté dans vos yeux, bonté dans votre sourire, bonté dans votre accueil plein de chaleur.


1000

Benoît XVI, 17 février 2007, dialogue avec les prêtres

« Le christianisme nous annonce la joie, oui ; cette joie ne croît cependant que sur le chemin de l’amour et ce chemin de l’amour a un lien avec la Croix, avec la communion avec le Christ crucifié. Elle est représentée par le grain de blé tombé en terre. Lorsque nous commençons à comprendre et à accepter cela, chaque jour, parce que chaque jour nous impose quelque insatisfaction, quelque poids qui crée aussi de la douleur, lorsque nous acceptons cette école de la sequela du Christ, comme les Apôtres ont dû apprendre à cette école, alors nous devenons également capables d’aider les personnes qui souffrent.
Il est vrai que cela est toujours un peu difficile si une personne qui est plus ou moins en bonne santé ou dans de bonnes conditions doit en réconforter une autre frappée par un grand mal : que ce soit la maladie ou la perte de l’amour. Face à ces maux que nous connaissons tous, tout apparaît presque inévitablement uniquement rhétorique ou pathétique. Mais, dirais-je, si ces personnes sentent que nous sommes « com-patients », que nous voulons porter avec eux la Croix en communion avec le Christ, surtout en priant avec eux, en les assistant également avec un silence plein de sympathie, d’amour, en les aidant autant que nous pouvons, nous pouvons devenir crédibles.
Nous devons accepter, que peut-être dans un premier moment, nos paroles apparaissent comme de simples paroles. Mais si nous vivons réellement dans cet esprit de la vraie sequela de Jésus, nous trouvons également la manière d’être proches à travers notre sympathie. Sympathie, étymologiquement, signifie « com-passion » pour l’homme, en l’aidant, en priant, en créant ainsi la confiance que la bonté du Seigneur existe même dans la vallée la plus obscure. Nous pouvons ainsi ouvrir le cœur à l’Evangile du Christ lui-même, qui est le vrai consolateur ; ouvrir le cœur à l’Esprit Saint qui est appelé l’autre Consolateur, l’autre Paraclet, qui assiste, qui est présent.
Nous pouvons ouvrir le cœur non à nos paroles, mais au grand enseignement du Christ, à son être avec nous et aider ainsi à ce que la souffrance et la douleur deviennent réellement une grâce de maturité, de communion avec le Christ Crucifié et Ressuscité. » 

970

de saint Ignace de Loyola (1491-1556) 
Lettre du 17/11/1555
"Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiets de tout, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir.
L’anxiété et l’inquiétude de l’esprit ne plaisent point à Dieu. Le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance ; il veut nous voir croire que sa bonté peut suppléer à l’imperfection de nos moyens.
Ceux qui se chargent d’affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s’affliger s’ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient. A condition toutefois qu’ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience.
Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s’armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire : Il ne veut pas davantage que l’homme s’afflige de ses limites. Pourvu que l’on donne satisfaction à Dieu,- ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes – il n’est pas nécessaire de se fatiguer outre mesure.
Bien plus, lorsqu’on s’est efforcé d’agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à celui qui a le pouvoir d’accomplir tout ce qu’il veut. "
Plaise à la divine Bonté de nous communiquer toujours la lumière de la Sagesse, pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir, en nous et dans les autres… pour que nous acceptions de sa main ce qu’il nous envoie, en faisant cas de ce qui a le plus d’importance : la patience, l’humilité, l’obéissance et la charité…
Que Jésus Christ soit seulement en nos âmes avec ses dons spirituels ! Amen. "

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945

Psaume 99 (100), 5
Oui, le Seigneur est bon,
éternel est son Amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.

944

Lettre aux Ephésiens 2, 4-9
Dieu est riche en miséricorde ;
à cause du grand Amour dont Il nous a aimés,
nous qui étions des morts par suite de nos fautes,
Il nous a donné la Vie avec le Christ :
c’est bien par grâce que vous êtes sauvés.
Avec Lui, Il nous a ressuscités
et Il nous a fait siéger aux cieux,
dans le Christ Jésus.
Il a voulu ainsi montrer, au long des âges futurs,
la richesse surabondante de sa grâce,
par sa bonté pour nous dans le Christ Jésus.
C’est bien par la grâce que vous êtes sauvés,
et par le moyen de la foi.
Cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu.
Cela ne vient pas des actes : personne ne peut en tirer orgueil.

905

de saint Vincent de Paul

«La divine bonté demande de nous que nous ne fassions pas le bien pour nous rendre considérables, mais que nous la regardions toujours directement, immédiatement en toutes nos actions. Fuyons, autant qu'il nous sera possible, de paraître, et ne faisons jamais rien par respect humain. Il vaudrait mieux être jeté pieds et mains liés parmi des charbons ardents, que de faire une action pour plaire aux hommes»

903

de saint Vincent de Paul

«L'espérance naît de la foi et lui est proportionnelle. Qui connaît Dieu et croit en lui, ne peut espérer qu'en lui, ne s'appuyer que sur lui. Ce qu'est à la foi la vue de la vérité divine, dégagée de toute considération humaine, la vue de la seule bonté de Dieu l'est à l'espérance, qui, dédaignant les hommes et les ressources terrestres, ne peut plus se confier, se reposer qu'en la Providence divine»

710

Marthe Robin 
(« Journal », 29 mars 1930)

« Je veux que tout autour de moi et en moi rayonne l’harmonie, le saint contentement, la joie et l’immense bonté de cœur. L’apprentissage de la gaieté dans la maladie n’est pas moins nécessaire que celui de la résignation.
Être toujours gaie, toujours joyeuse, même dans l’affliction... C’est si bon ! C’est de là que j’ai compris la valeur d’un sourire accueillant, le bénéfice d’une sérénité habituelle transformant mélancolie et tristesse en saint contentement. »








709

Marthe Robin 

 (« Journal », 13 décembre 1930)

« Ô Vierge pleine de bonté, douce compagne de ceux qui pleurent, qu’avec vous je sois un peu la consolatrice des affligés.
Une parole de bonté est une caresse à l’âme. Je suis bien pauvre, mais le trésor de ma Mère est un trésor incomparable. Je lui tends la main comme une petite mendiante au riche compatissant, et la supplie, au nom de Jésus, de me donner quelque chose. »


696


Marthe Robin

(« Journal », 12 janvier 1930)

« Dieu est Bon. Dieu est Père. Dieu nous aime. Dieu compatit et adoucit toutes nos souffrances. Si nous le laissons faire, il saura remplacer, et remplacer au centuple, tout ce que nous avons perdu, tout ce qu’il a voulu nous prendre, par des biens immensément meilleurs.
Toutes nos douleurs, Jésus les partage. Toutes nos croix, il veut les fleurir. »
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688


Marthe Robin 

(« Journal », 8 août 1930)

« Ne tremble pas, mon âme, Jésus t’appelle ; va au-devant de lui avec la plus grande confiance, la plus profonde humilité, le plus profond repentir de l’avoir contristé, lui qui est toute bonté pour toi et tout amour. »

Site Officiel : www.martherobin.com


665

saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA CROIX

"Le Christ t'appelle avec tant de bonté… dès le début de ton existence ! 'Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive' : c'est la condition indispensable."


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)