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2301

    Saint Jean de la Croix
    ( Cantique Spirituel - 1, 11)
“Sachons-le bien, le Verbe, Fils de Dieu réside en compagnie du Père et de l’Esprit-Saint dans l’âme et Il y est caché, et c’est là que le vrai contemplatif doit Le chercher… Que peux-tu désirer encore? Que cherches-tu au-dehors puisque tu possèdes en toi-même le Bien- Aimé que tu poursuis de tes recherches ? Réjouis-toi…Adore-Le en toi-même et garde-toi de Le chercher au-dehors… travaille à rester bien cachée avec Lui » … (CSB 1.6-7-8 )“ Tu sais maintenant ce que tu as à faire pour trouver l’Epoux dans la retraite de ton cœur; cherche-Le dans la Foi et dans l’Amour…La Foi et l’Amour sont les deux guides d’aveugle qui te mèneront par des chemins inconnus de toi, jusqu’aux secrets abîmes de Dieu…La Foi joue le rôle des pieds qui portent l’âme vers Dieu; l’amour est le guide qui lui montre la route”. 

2300

    Saint Jean de la Croix
    ( (Livre 2 - Montée du Carmel ch. 20, 5)
« Si je t’ai déjà tout dit dans ma parole qui est mon Fils, je n’ai maintenant plus rien à te révéler ou à te répondre qui soit plus que Lui. Fixe ton regard uniquement sur Lui, c’est en Lui que j’ai tout déposé, paroles et révélations ; En Lui, tu trouveras même plus que tu ne demandes et que tu ne désires… Si tu fixes les yeux sur Lui, tu trouveras tout cela  (paroles, visions, révélations ), d’une façon complète, parce qu’Il est toute ma Parole, toute ma réponse, toute ma vision, toute ma révélation. Or, je te l’ai déjà dit, répondu, manifesté, révélé, quand je te l’ai donné pour frère, pour maître, pour compagnon, pour rançon, pour récompense. Le jour où je suis descendu avec mon Esprit sur Lui, au Thabor, j’ai dit : Celui- ci est mon Fils Bien- aimé, en qui j’ai mis tout mon amour, écoutez- le ! ( Mat.17,5.)…Considérez comment mon Fils m’a obéi et a été affligé par amour pour moi…
Fixez seulement les yeux sur Lui et vous y trouverez les mystères les plus profonds, les trésors de la sagesse et des merveilles divines qui sont renfermés en Lui…Si vous voulez encore d’autres révélations… regardez toujours dans son Humanité, et vous trouverez dans cette Humanité beaucoup plus que vous ne pensez… En Lui habite corporellement la plénitude de la Divinité ‘(Col.2,9.) … Nous devons toujours nous en tenir à ce que le Christ nous a enseigné. Tout le reste n’est rien… »

2295

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Amis de Dieu, 148)
Dieu est notre Père
Il faut apprendre à se faire tout-petit, il faut apprendre à être enfant de Dieu. Et, au passage, il faut transmettre aux autres cet esprit qui, au milieu des faiblesses naturelles, nous rendra “ fermes dans la foi ”, féconds dans nos œuvres et sûrs dans notre chemin, de sorte que quelle que soit la nature de notre erreur éventuelle la plus désagréable, nous n’hésitions jamais à réagir et à retourner sur la voie royale de la filiation divine qui nous conduit vers les bras grands ouverts de Dieu notre Père qui nous attend.
Il veut que nous l’appelions Père, que nous savourions ce mot qui réjouit profondément notre âme.

Qui pourrait oublier les bras de son père, sans doute moins cajoleurs, moins doux et délicats que ceux de sa mère ? Or ces bras vigoureux et forts nous rassuraient lorsqu’ils nous serraient chaleureusement.
Merci Seigneur pour ces bras fermes. Merci pour ces mains fortes. Merci pour ce cœur tendre et ferme. J’allais même te remercier pour mes erreurs, non, tu ne les veux pas, tout en les comprenant, les excusant, les pardonnant. Mais tu les comprends, les excuses, les pardonnes.
Ceci dit, Dieu notre Père nous aime, chacun de nous, tels que nous sommes !
Si moi, qui ne suis qu’un pauvre homme, je vous aime chacun de vous tel que vous êtes, imaginez donc ce que doit être l’Amour de Dieu, pourvu que nous luttions, pourvu que nous nous efforcions de régler notre vie selon notre conscience bien formée.

2292

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Chemin, 431)
Ne crains pas la Justice de Dieu. La Justice est chez Dieu aussi admirable et aussi aimable que sa Miséricorde: toutes les deux sont des preuves de son Amour.

2291

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 64)
"Dieu n’est pas scandalisé par les hommes. Dieu n’est pas las de nos infidélités. Notre Père du Ciel pardonne n’importe quelle offense lorsque son fils revient vers Lui, qu’il se repent et lui demande pardon. Notre Seigneur est tellement Père qu’Il emboîte le pas sur nos désirs d’être pardonnés et prend les devants en nous ouvrant les bras avec sa grâce.
Sachez que je n’invente rien. Rappelez-vous cette parabole dont le Fils de Dieu s’est servi pour nous faire comprendre l’amour du Père qui est aux Cieux: la parabole de l’enfant prodigue .
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut touché de compassion; il courut se jeter à son cou et l’embrassa longuement Ce sont là les termes du Livre Saint: il l’embrassa longuement, il le dévorait de baisers. Peut-on employer langage plus humain? Y a-t-il manière plus expressive de décrire l’amour paternel de Dieu pour les hommes?
Devant un Dieu qui accourt vers nous, nous ne saurions nous taire, mais lui dire. avec saint Paul: Abba, Pater!; Père, mon Père! Car, tout Créateur de l’Univers qu’Il se passe de nos formules tonitruantes, de notre reconnaissance de sa seigneurie.
Il tient à ce que nous l’appelions Père, à ce que nous savourions ce terme qui comble notre âme de joie."

2290

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 33)
"Avant tout, primauté à la vocation. Dieu nous aime avant même que nous sachions nous adresser à Lui, et c’est Lui nous donne l’amour qui nous permet de correspondre.
La bonté paternelle de Dieu vient à notre rencontre. Notre Seigneur n’est pas seulement juste, Il est beaucoup plus que cela. Il est miséricordieux. Il n’attend pas que nous allions vers Lui; Il s’avance, avec des signes inéquivoques de son amour paternel."

2289

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 178)
"La miséricorde de Dieu 
La joie est un bien chrétien. Elle ne s’estompe qu’avec l’offense à Dieu: car le péché vient de l’égoïsme, et que l’égoïsme cause la tristesse. Ceci dit, même alors la joie demeure enfouie sous les braises de l’âme. En effet, nous savons que Dieu et sa Mère n’oublient jamais les hommes. Si nous nous repentons, s’il jaillit de notre cœur un acte de douleur, si nous nous purifions dans le saint sacrement de la pénitence, Dieu s’avance à notre rencontre et nous pardonne. Alors, il n’y a plus de tristesse: il est tout à fait juste de se réjouir puisque ton frère que voici était mort et il est revenu à la vie; il était perdu et il est retrouvé. Ces propos sont le mot de la merveilleuse fin de la parabole du fils prodigue que nous ne nous lasserons jamais de méditer: voici que le Père s’avance à ta rencontre; il inclinera sa tête sur ton épaule, il te donnera un baiser, gage d’amour et de tendresse; il te fera remettre un vêtement, un anneau et des chaussures. Tu crains encore sa remontrance: il te rend ta dignité; tu crains un châtiment: il te donne un baiser; tu as peur d’un mot de reproche: il prépare un festin à ton intention. L’amour de Dieu est insondable"

2288

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 24)
"Dieu nous a aimés; et nous invite à L’aimer et à aimer les autres avec la vérité et l’authenticité dont Il nous aime. Qui aura trouve sa vie la perdra et qui aura perdu sa vie à cause de moi la trouvera, a écrit saint Matthieu dans son Évangile, en une phrase qui semble paradoxale.
Les personnes trop attachées à elles-mêmes, agissant avant tout en vue de leur propre satisfaction, risquent leur salut éternel et ne peuvent qu’être infortunées et malheureuses. Celui-là seul qui s’oublie soi-même et qui se donne à Dieu et aux autres — et dans le mariage aussi — peut être heureux sur la terre, d’un bonheur qui est la préparation et l’anticipation de celui du ciel."

2287

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (i>Sillon, /i>658)
Dieu est avec nous
Tâchons de ne pas nous leurrer… — Dieu n’est pas une ombre, un être lointain, qui nous crée puis nous abandonne ; ce n’est pas un maître qui s’en va et ne revient plus. Bien que nous ne le percevions pas avec nos sens, son existence est beaucoup plus vraie que celle de toutes les réalités que nous touchons et voyons. Dieu est ici, avec nous, Présent, Vivant : Il nous voit, Il nous entend, Il nous dirige, et Il contemple nos moindres actions, nos intentions les plus cachées.
Nous y croyons …, or nous vivons comme si Dieu n’existait pas ! puisque nous n’avons pour Lui ni une pensée, ni un mot ; puisque nous ne Lui obéissons pas, et que nous n’essayons pas de maîtriser nos passions ; puisque nous ne Lui exprimons pas notre amour, et que nous ne tâchons pas de réparer nos fautes…
— Allons-nous toujours vivre d’une foi morte ?

2286

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Quand le Christ passe, 59)
"Considérez, avec moi, cette merveille de l’amour de Dieu: le Seigneur vient à notre rencontre. Il attend, Il se place au bord du chemin pour que nous ne puissions pas ne pas le voir. Et Il nous appelle, personnellement, en nous parlant de nos affaires, qui sont aussi les siennes, en éveillant notre conscience au repentir intime, en l’ouvrant à la générosité, en imprimant dans nos âmes le désir ardent d’être fidèles, de pouvoir nous compter parmi ses disciples. Il suffit de percevoir ces appels intérieurs de la grâce, qui sont souvent comme un affectueux reproche, pour percevoir qu’Il ne nous a pas oubliés, durant tout ce temps où, par notre faute, nous ne l’avons pas vu. Le Christ nous aime, de l’amour inépuisable dont déborde son Cœur de Dieu.
Voyez comme Il insiste: Au temps favorable, je t’ai exauce; au jour du salut, je t’ai secouru. Puisqu’Il te promet la gloire, son amour, et qu’Il te les donne, le moment venu; puisqu’Il t’appelle, que vas-tu , quant à toi, donner au Seigneur ? Comment répondras-tu, comment répondrai-je, moi aussi, à cet amour de Jésus qui passe ?" 

2284

    Saint Josémaria Escriva (1902-1975)
     (Discours sur l'Université, 8)
Le Dieu de notre Foi n’est pas un être lointain qui contemplerait dans l’indifférence le sort des hommes. C’est un Père qui aime ardemment ses enfants, un Dieu Créateur débordant d’amour pour ses créatures et qui accorde à l’homme le grand privilège d’être en mesure d’aimer en transcendant ainsi l’éphémère et le transitoire.

2244

    Charles de Condren (1588-1641)
(Lettre 76)
"Nous devons aller à la Sainte Communion, d'abord pour que Jésus Christ soit en nous tout ce qu'il doit y être, et que y cessions nous-mêmes d'êtres ce que nous sommes.
Nous devons aller à la communion par obéissance au désir qu'à Jésus-Christ de nous recevoir en Lui dans son être et dans sa vie, et de nous faire devenir ce qu'Il est, c'est à dire Vie, Vérité, Amour et vertu pour Dieu. Nous devons encore y aller par obéissance à la volonté qu'Il a de nous avoir pour membres, dans lesquels Il puisse vivre pour son Père, et par lesquels Il continue sa Vie divine sur la terre. 
Dans la Communion, Notre Seigneur se remplit de nous et y développe sa Vie et son être propre. Nous Lui faisons donc tort quand nous ne communion pas, tandis que rien ne nous empêcherait légitimement de le faire, un tort aussi réel que celui que nous ferions à l'âme de l'enfant auquel nous enlèverions sa nourriture, et que nous empêcherions ainsi de croître : car par là même nous lui ôterions la faculté de se développer et de se servir du corps dans toute l'étendue dont il était capable.

Et c'est ainsi que nos communions permettent l'extension universelle du sacrifice que Jésus Christ offre à son Père "pour la gloire de Dieu et le salut du monde :
L'âme qui a reçu le Fils de Dieu par la communion est vraiment un autel qui contient Jésus Christ et qui l'offre à Dieu continuellement, non seulement d'intention et de désir, comme on peut le faire sans le recevoir sacramentellement, mais réellement et en vérité en elle-même." 

2222

    Concile Vatican II
      (Lumen Gentium)
"Le Seigneur Jésus a envoyé l'Esprit Saint sur tous ses disciples, pour qu'Il les meuve de l'intérieur à aimer Dieu de tout leur coeur, de toute leur âme, de tout leur esprit et de toutes leurs forces, et pour qu'ils s'aiment mutuellement comme le Christ les a aimés." 

2195

    Christiane Singer
   (Terres)
Chacun veut son Dieu.
Chacun veut placer Dieu dans son camp.
Chacun veut être l’unique serviteur de Dieu.
Chacun veut Dieu dans sa patrie.
Quelle redoutable puissance lorsqu’on peut agir,
parler et décider au Nom de Dieu!
Alors il est possible de mettre le monde entier à genoux.
Tout devient excusable, même l’horreur et l’exécution,
l’exclusion et l’inquisition se transforment en geste d’adoration,
on peut même entreprendre des guerres
pour purifier la terre de ses déchets diaboliques
et établir le prétendu règne de Dieu !
Quand les hommes annexent Dieu, c’est pour justifier leur inhumanité
et leur irrépressible volonté d’imposer un ordre qui les arrange.
C’est pour manipuler leurs frères.
Dieu n’est à personne
Aucun groupe, aucune religion, aucune Eglise ne peut mettre la main sur Dieu.
Dieu se dérobe toujours, il garde ses distances afin qu’on le cherche
et qu’en le cherchant on soit lentement transfiguré à sa Lumière.
Je suis «ton Dieu»
n’est pas un titre de propriété privée.
C’est un mot d’amour et d’alliance adressé
pour toujours à tous les Vivants de partout !  

2184

    Saint François de Sales 
      (Lettre à la Mère de Chastel 1619-1621 n°2044)
Je vois que votre cœur a toujours un grand désir de bien faire et une crainte de l’imprudence ; mais ne le tourmentez point, je vous prie, ce cœur bien-aimé, redressez-le doucement pour l’amour de Dieu à qui il est dédié, qui le bénira et favorisera en tout ce qui sera pour sa gloire. » 

2172

    Saint François de Sales 
      (Lettre à la Mère de Monthoux 1622)
« Aimez bien Dieu, et, pour l’amour de Dieu, toutes les créatures… »

2168

    Saint François de Sales 
      (IVD 3, XLI)
«Conservez votre amour le plus délicatement que vous pourrez pour cet Epoux divin qui, étant la pureté même, n’aime rien tant que la pureté, et à qui les prémices de toutes choses sont dues, mais principalement celles de l’amour. » 

2152

    François Varillon
      (Extraits de ses conférences "Joie de croire, joie de vivre", p. 58)
"« Avoir une âme de pauvre c’est être dépossédé de soi, donc se laisser mettre en question par l’autre.»
Il ne s’agit évidemment pas de traduire les pauvres d’esprit ! « En esprit » veut dire : à la racine même, au cœur de l’être. La pauvreté en esprit est intérieure à l’amour.
L’amour sans pauvreté n’est pas l’amour (ceci est inintelligible si vous n’en faites pas l’expérience !). C’est pourquoi Dieu même est pauvre : il est étranger à l’avoir (Dieu n’a rien), car son mode d’exister c’est d’aimer. 
Avoir une âme de pauvre (au sens où l’on parle de l’âme d’un violon : c’est sans doute la meilleure traduction de « pauvre en esprit »), c’est être dépossédé de soi, donc se laisser mettre en question par l’autre d’une part, et, d’autre part, se fier à lui pour son bonheur à soi.
Les deux phrases qui définissent le pauvre sont celles-ci : « Je te fais crédit » (Credo) – c’est la foi – et « je te charge de ma béatitude » – c’est l’espérance.
Appuyé sur la foi et sur l’espérance, le pauvre vit dans la charité : il peut servir, se mettre au service de l’autre et des autres, car il est désentravé.
La béatitude de pauvreté domine tout l’Évangile.
D’un bout à l’autre de la Bible, le pauvre de Yahvé est le serviteur de Yahvé : il est donc dans le Royaume : heureux ceux qui ont une âme de pauvre, car le Royaume des cieux est à eux. Etes-vous entrés dans cette expérience, dans ce style, dans ce type d’existence ? Si oui, le Royaume est à vous.
Pour les autres, Jésus vous invite : si vous dites oui, le Royaume deviendra vôtre, c’est-à-dire la relation d’intimité avec Dieu.
La béatitude de pauvreté domine tout l’Évangile. Elle serait impensable si Dieu lui-même n’était pas pauvre, c’est-à-dire absolument étranger à l’avoir : Dieu n’a rien, Il est tout. Celui qui est tout n’a rien. Et ce tout qu’Il est, est un tout donné, Il n’est qu’Amour."

2130

  Sainte Térésa de Calcutta
« On devrait fortement appuyer l’adoration perpétuelle avec exposition. Jésus s’est fait Pain de Vie pour nous donner la vie. Nuit et jour. II est là. Si vous voulez vraiment grandir en amour, revenez à l’Eucharistie, revenez à l’adoration eucharistique. Il nous faut tisser nos vies autour de l’Eucharistie… fixer les yeux sur Lui qui est lumière; placez vos cœurs près de son Divin Cœur; demandez-Lui de vous accorder la grâce de Le connaître, l’amour de L’aimer, le courage de Le servir. Cherchez-Le avec ferveur. Par Marie, cause de notre joie, vous découvrez que nulle part au monde êtes-vous mieux accueillis, nulle part au monde êtes-vous mieux aimés que par Jésus vivant et vraiment présent au Très Saint-Sacrement… Il est vraiment là en Personne, à vous attendre. »

2127

  Marthe Robin (1902-1981)
(Journal - conseils pour avancer dans la voie de la perfection)
19. Nous nous rendons indignes de l’amour de Dieu toutes les fois que nous laissons aller notre cœur à la colère, toutes les fois que nous fermons la porte à la charité et au pardon.  

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)