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390

Bx Charles de Foucauld
L'Evangile présenté aux pauvres du Sahara
L'Eucharistie ce n'est pas seulement la communion... C'est aussi le tabernacle et l'ostensoir, Jésus présent sur nos autels... vrai Emmanuel, vrai "Dieu avec nous", s'exposant à toute heure, sur toutes les parties de la terre, à nos regards, à notre adoration et à notre amour...

389

Bx Charles de Foucauld
174ème méditation sur l'Evangile
L'Eucharistie c'est Jésus, c'est tout Jésus !...
Dans la Sainte Eucharistie, vous êtes tout entier, tout vivant, mon Bien-Aimé Jésus, aussi pleinement que vous étiez dans la maison de la Sainte Famille de Nazareth... que vous étiez au milieu de vos apôtres.

374

Bible - Nouveau Testament
Luc 1, 46-55 (Magnificat)

Mon âme exalte le Seigneur,
exulte mon esprit
en Dieu, mon Sauveur !
Il s’est penché
sur son humble servante ;
désormais, tous les âges
me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi
des merveilles ;
Saint est son nom !
Son amour s’étend d’âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.
Il comble de bien les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël, son serviteur,
il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères,
en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.

Gloire au Père, et au Fils,
et au Saint-Esprit
au Dieu qui est, qui était et qui vient,
pour les siècles des siècles.
Amen.

Magníficat ánima mea Dóminum,
et exsultávit spíritus meus
in Deo salutári meo.
Quia respéxit humilitátem
ancíllæ suæ,
ecce enim ex hoc beátam
me dicent omnes generatiónes.
Quia fecit mihi magna
qui potens est,
et sanctum nomen eius.
Et misericórdia eius a progénie
in progénies
timéntibus eum.
Fecit poténtiam in bráchio suo,
dispérsit supérbos mente cordis sui.
Depósuit poténtes de sede
et exaltávit húmiles.
Esuriéntes implévit bonis,
et dívites dimísit inánes.
Suscépit Ísrael púerum suum,
recordátus misericórdiæ suæ,
sicut locútus est ad patres nostros,
Ábraham et sémini eius in sæcula.

Glória Patri et Fílio
et Spirítui Sancto.
Sicut erat in princípio et nunc et semper,
et in sæcula sæculórum.
Amen.

332

St François d'Assise
Cantique de frère soleil ou des créatures

Très haut, tout puissant et bon Seigneur,
à toi louange, gloire, honneur,
et toute bénédiction ;
à toi seul ils conviennent, ô Très-Haut,
et nul homme n'est digne de te nommer.
Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
spécialement messire frère Soleil.
par qui tu nous donnes le jour, la lumière :
il est beau, rayonnant d'une grande splendeur,
et de toi, le Très-Haut, il nous offre le symbole.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Lune et les étoiles :
dans le ciel tu les as formées,
claires, précieuses et belles.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour frère Vent,
et pour l'air et pour les nuages,
pour l'azur calme et tous les temps :
grâce à eux tu maintiens en vie toutes les créatures.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Eau,
qui est très utile et très humble,
précieuse et chaste.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour ceux
qui pardonnent par amour pour toi ;
qui supportent épreuves et maladies :
heureux s'ils conservent la paix
car par toi, le Très-Haut, ils seront couronnés.
Loué sois-tu, mon Seigneur,
pour notre sœur la Mort corporelle
à qui nul homme vivant ne peut échapper.
Malheur à ceux qui meurent en péché mortel ;
heureux ceux qu'elle surprendra faisant ta volonté,
car la seconde mort ne pourra leur nuire.
Louez et bénissez mon Seigneur,
rendez-lui grâce et servez-le
en toute humilité !

268

Michel Gasnier
Les silences de saint Joseph, chap. 26
2ème dimanche de St Joseph
Une seconde fois son cœur avait été transpercé d'un glaive, lorsque lors de la naissance de Jésus, toutes les portes de Bethléem s'étaient fermées devant lui et qu'il avait dû échouer dans une misérable étable. Tout avait fait défaut pour accueillir dignement l'Enfant-Dieu.
Mais quelle compensation de joie quand il avait pu des mains de Marie recevoir le nouveau-né, le presser sur son cœur, s'agenouiller à ses pieds en une attitude d'adoration, et voir accourir, envoyés par Dieu pour lui rendre de semblables hommages, les bergers et les Mages.

181

Bible - Nouveau Testament
Jean 4, 23-24 (Jésus et la Samaritaine)
L'heure vient - et nous y sommes - où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité, car ce sont là les adorateurs tels que les veut le Père. Dieu est esprit, et ceux qui adorent, c'est en esprit et vérité qu'ils doivent adorer.

176

St Josémaria Escriva
Saint Rosaire, au lecteur
Réciter le Saint Rosaire, en considérant les différents mystères, en répétant les Notre Père et les Je vous salue Marie, en chantant les louanges de la Très Sainte Trinité, et en invoquant constamment la Mère de Dieu, représente un continuel acte de foi, d'espérance et d'amour, d'adoration et de réparation (Rome, le 9 janvier 1973).

126

Saint Jean-Paul II
Lettre Apostolique Rosarium Virginis Mariae (16-X-2002), n. 10
La contemplation du Christ trouve en Marie son modèle indépassable. Le visage du Fils lui appartient à un titre spécial. C'est dans son sein qu'il s'est formé, prenant aussi d'elle une ressemblance humaine qui évoque une intimité spirituelle assurément encore plus grande. Personne ne s'est adonné à la contemplation du visage du Christ avec autant d'assiduité que Marie. Déjà à l'Annonciation, lorsqu'elle conçoit du Saint-Esprit, les yeux de son cœur se concentrent en quelque sorte sur Lui ; au cours des mois qui suivent, elle commence à ressentir sa présence et à en pressentir la physionomie. Lorsque enfin elle lui donne naissance à Bethléem, ses yeux de chair se portent aussi tendrement sur le visage de son Fils tandis qu'elle l'enveloppe de langes et le couche dans une crèche (cf. Lc 2, 7).
À partir de ce moment-là, son regard, toujours riche d'un étonnement d'adoration, ne se détachera plus de Lui. Ce sera parfois un regard interrogatif, comme dans l'épisode de sa perte au temple : "Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ?" (Lc 2, 48) ; ce sera dans tous les cas un regard pénétrant, capable de lire dans l'intimité de Jésus, jusqu'à en percevoir les sentiments cachés et à en deviner les choix, comme à Cana (cf.Jn 2, 5) ; en d'autres occasions, ce sera un regard douloureux, surtout au pied de la croix, où il s'agira encore, d'une certaine manière, du regard d'une "femme qui accouche", puisque Marie ne se limitera pas à partager la passion et la mort du Fils unique, mais qu'elle accueillera dans le disciple bien-aimé un nouveau fils qui lui sera confié (cf. Jn 19, 26-27) ; au matin de Pâques, ce sera un regard radieux en raison de la joie de la résurrection et, enfin, un regard ardent lié à l'effusion de l'Esprit au jour de la Pentecôte (cf. Ac 1, 14).

112

Réginald Garrigou-Lagrange
Les trois âges de la vie intérieure, vol. I, p. 553
Éd. du Cerf, Paris, 1938-1939
Cette oblation intérieure toujours vivante au cœur du Christ est donc bien pour ainsi dire l’âme du sacrifice de la Messe. Elle est la continuation de celle par laquelle Jésus s’offrit comme victime en entrant en ce monde et dans tout le cours de son existence terrestre, surtout sur la Croix. Quand le Sauveur était sur la terre, cette oblation était méritoire ; maintenant elle continue sans cette modalité du mérite. Elle continue sous forme d’adoration réparatrice et de supplication pour nous appliquer les mérites passés de la Croix. Même lorsque la dernière Messe sera achevée à la fin du monde, et qu’il n’y aura plus de sacrifice proprement dit, mais sa consommation, l’oblation intérieure du Christ à son Père durera, non plus sous forme de réparation et de supplication, mais sous forme d’adoration et d’action de grâces. C’est ce que nous fait prévoir le Sanctus, Sanctus, Sanctus, qui donne quelque idée du culte des bienheureux dans l’éternité.

091

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 448
Très souvent, dans les Évangiles, des personnes s’adressent à Jésus en l’appelant "Seigneur". Ce titre exprime le respect et la confiance de ceux qui s’approchent de Jésus et qui attendent de lui secours et guérison (cf. Mt 8, 2 ; 14, 30 ; 15, 22 ; e.a.). Sous la motion de l’Esprit Saint, il exprime la reconnaissance du mystère divin de Jésus (cf. Lc 1, 43 ; 2, 11). Dans la rencontre avec Jésus ressuscité, il devient adoration : "Mon Seigneur et mon Dieu !" (Jn 20, 28). Il prend alors une connotation d’amour et d’affection qui va rester le propre de la tradition chrétienne : "C’est le Seigneur !" (Jn 21, 7).
Source : www.vatican.va

029

St François d'Assise
Lettre à tous les fidèles
Qu'ils sont heureux et bénis ceux qui aiment le Seigneur et font ce qu'il dit lui-même dans l'Evangile : "Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme, et ton prochain comme toi-même". Aimons donc Dieu et adorons-le avec pureté de cœur et d'esprit, car c'est là ce qu'il cherche par-dessus tout quand il dit : "Les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité"; car tous ceux qui l'adorent doivent l'adorer en esprit et en vérité. Adressons-lui des louanges et des prières, jour et nuit, en disant : " Notre Père qui es aux cieux ! Car il nous faut toujours prier et ne cesser jamais".


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)