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Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
301. Sous quelles formes s’exprime la pénitence dans la vie chrétienne ?
La pénitence s’exprime sous des formes très variées, en particulier par le jeûne, la prière, l’aumône. Ces formes de pénitence, et d’autres encore, peuvent être pratiquées par le chrétien dans sa vie quotidienne, notamment pendant le temps du Carême et le vendredi, qui est jour de pénitence.
Source : www.vatican.va

279

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
106. Que nous révèlent les tentations de Jésus au désert ?
Les tentations de Jésus au désert récapitulent celle d’Adam au paradis et celles d’Israël dans le désert. Satan tente Jésus dans son obéissance à la mission confiée par son Père. Le Christ, nouvel Adam, résiste et sa victoire annonce celle de la passion, obéissance suprême de son amour filial. L’Église s’unit à ce Mystère tout particulièrement dans le temps liturgique du Carême.
Source : www.vatican.va

262

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 407
La doctrine sur le péché originel – liée à celle de la Rédemption par le Christ – donne un regard de discernement lucide sur la situation de l’homme et de son agir dans le monde. Par le péché des premiers parents, le diable a acquis une certaine domination sur l’homme, bien que ce dernier demeure libre. Le péché originel entraîne " la servitude sous le pouvoir de celui qui possédait l’empire de la mort, c’est-à-dire du diable " (Cc. Trente : DS 1511 ; cf. He 2, 14).
Ignorer que l’homme a une nature blessée, inclinée au mal, donne lieu à de graves erreurs dans le domaine de l’éducation, de la politique, de l’action sociale (cf. CA 25) et des mœurs.
Source : www.vatican.va

248

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
350. Pourquoi la famille chrétienne est-elle aussi appelée Église domestique ?
Parce que la famille manifeste et révèle la nature de l’Église comme famille de Dieu, qui est d’être communion et famille. Chacun de ses membres, selon son rôle propre, exerce le sacerdoce baptismal, contribuant à faire de la famille une communauté de grâce et de prière, une école de vertus humaines et chrétiennes, le lieu de la première annonce de la foi aux enfants.
Source : www.vatican.va

202

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 1471
La doctrine et la pratique des indulgences dans l’Église sont étroitement liées aux effets du sacrement de Pénitence.
Qu’est-ce que l’indulgence ?
" L’indulgence est la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle bien disposé obtient à certaines conditions déterminées, par l’action de l’Église, laquelle, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue et applique par son autorité le trésor des satisfactions du Christ et des saints " (Paul VI, const. ap. " Indulgentiarum doctrina ", Norme 1).
" L’indulgence est partielle ou plénière, selon qu’elle libère partiellement ou totalement de la peine temporelle due pour le péché " (ibid, Norme 2). " Tout fidèle peut gagner des indulgences pour soi-même ou les appliquer aux défunts " (CIC, can. 994).
Source : www.vatican.va

200

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique

(210). Qu’est-ce que le purgatoire ?
Le purgatoire est l’état de ceux qui meurent dans l’amitié divine, mais qui, tout en étant assurés de leur salut éternel, ont encore besoin de purification pour entrer dans la béatitude du ciel.
(211). Comment pouvons-nous contribuer à la purification des âmes du
purgatoire ?
En vertu de la communion des saints, les fidèles qui sont encore en pèlerinage sur la terre peuvent aider les âmes du purgatoire, en offrant pour elles des prières de suffrage, en particulier le Sacrifice eucharistique, mais aussi des aumônes, des indulgences et des œuvres de pénitence.
Source : www.vatican.va

198

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
206. Que signifie mourir dans le Christ Jésus ?
Cela signifie mourir dans la grâce de Dieu, sans péché mortel. Celui qui croit au Christ et qui suit son exemple peut ainsi transformer sa mort en acte d’obéissance et d’amour envers le Père. « Cette parole est sûre : si nous mourons avec lui, avec lui nous vivrons » (2 Tm 2,11).
Source : www.vatican.va

155

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 843
L’Église reconnaît dans les autres religions la recherche, "encore dans les ombres et sous des images", du Dieu inconnu mais proche puisque c’est Lui qui donne à tous vie, souffle et toutes choses et puisqu’il veut que tous les hommes soient sauvés. Ainsi, l’Église considère tout ce qui peut se trouver de bon et de vrai dans les religions "comme une préparation évangélique et comme un don de Celui qui illumine tout homme pour que, finalement, il ait la vie" (Lumen Gentium 16 ; cf. Nostra Aetate 2 ; Evangelii Nuntiandi 53).
Source : www.vatican.va 

154

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 842
Le lien de l’Église avec les religions non-chrétiennes est d’abord celui de l’origine et de la fin communes du genre humain :
"En effet, tous les peuples forment une seule communauté ; ils ont une seule origine, puisque Dieu a fait habiter toute la race humaine sur la face de la terre ; ils ont aussi une seule fin dernière, Dieu, dont la providence, les témoignages de bonté et les desseins de salut s’étendent à tous, jusqu’à ce que les élus soient réunis dans la cité sainte" (Nostra Aetate 1).
Source : www.vatican.va

153

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 841
Les relations de l’Église avec les musulmans. "Le dessein de salut enveloppe également ceux qui reconnaissent le Créateur, en tout premier lieu les musulmans qui, en déclarant qu’ils gardent la foi d’Abraham, adorent avec nous le Dieu unique, miséricordieux, juge des hommes au dernier jour" (Lumen Gentium 16 ; cf. Nostra Aetate 3).
Source : www.vatican.va

098

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
535. Pourquoi y a-t-il un appel universel à la prière ?
Parce que Dieu, en tout premier lieu par la création, appelle tout être du néant. Et même après la chute, l’homme continue d’être capable de reconnaître son Créateur, gardant en lui le désir de celui qui l’a appelé à l’existence. Toutes les religions, et particulièrement toute l’histoire du salut, témoignent de ce désir de Dieu chez l’homme. Mais c’est Dieu le premier qui attire inlassablement chaque personne à la rencontre mystérieuse de la prière.
Cf. Catéchisme, 2566-2567
Source : www.vatican.va

095

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 450
Dès le commencement de l’histoire chrétienne, l’affirmation de la seigneurie de Jésus sur le monde et sur l’histoire (cf. Ap 11, 15) signifie aussi la reconnaissance que l’homme ne doit soumettre sa liberté personnelle, de façon absolue, à aucun pouvoir terrestre, mais seulement à Dieu le Père et au Seigneur Jésus-Christ : César n’est pas "le Seigneur" (cf. Mc 12, 17 ; Ac 5, 29). "L’Église croit (...) que la clé, le centre et la fin de toute histoire humaine se trouve en son Seigneur et Maître" (GS 10, § 2 ; cf. 45, § 2).
Source : www.vatican.va

091

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 448
Très souvent, dans les Évangiles, des personnes s’adressent à Jésus en l’appelant "Seigneur". Ce titre exprime le respect et la confiance de ceux qui s’approchent de Jésus et qui attendent de lui secours et guérison (cf. Mt 8, 2 ; 14, 30 ; 15, 22 ; e.a.). Sous la motion de l’Esprit Saint, il exprime la reconnaissance du mystère divin de Jésus (cf. Lc 1, 43 ; 2, 11). Dans la rencontre avec Jésus ressuscité, il devient adoration : "Mon Seigneur et mon Dieu !" (Jn 20, 28). Il prend alors une connotation d’amour et d’affection qui va rester le propre de la tradition chrétienne : "C’est le Seigneur !" (Jn 21, 7).
Source : www.vatican.va

090

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 2729
La difficulté habituelle de notre prière est la distraction. Elle peut porter sur les mots et leur sens, dans la prière vocale ; elle peut porter, plus profondément, sur Celui que nous prions, dans la prière vocale (liturgique ou personnelle), dans la méditation et dans l’oraison. Partir à la chasse des distractions serait tomber dans leurs pièges, alors qu’il suffit de revenir à notre cœur : une distraction nous révèle ce à quoi nous sommes attachés et cette prise de conscience humble devant le Seigneur doit réveiller notre amour de préférence pour lui, en lui offrant résolument notre cœur pour qu’il le purifie. Là se situe le combat, le choix du Maître à servir (cf. Mt 6, 21. 24).
Source : www.vatican.va  

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)