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Maurice Zundel
Maurice Zundel, Le vrai monde n’est pas encore (Editions du Jubilé, 2011)
"Le sacrement de la Présence réelle est le refuge de la contemplation, le ferment de la charité, l’ostensoir de l’humilité, le symbole de l’unité de l’Eglise, la fontaine de miséricorde et le sceau de la paix."


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Maurice Zundel 
"
Celui qui se nourrit du silence de Dieu finit par comprendre à quelles profondeurs on peut écouter."

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6 Janvier - SAINTE RAPHAËLLE-MARIE PORRAS y AYLLON
(1850-1925)
Vierge et fondatrice de la Congrégation : « Ancelles du Sacré-Cœur »
Raphaëlle Porras y Ayllon naît le 1er mars 1850 près de Cordoue en Andalousie. A 19 ans, après la mort de son père, elle entre dans la société française de Marie-Réparatrice à Cordoue, avec sa sœur Pilar.
Elle quitte sa communauté (elle n'avait pas encore prononcé ses vœux) et part à Madrid fonder, sous le contrôle des Jésuites, « Les esclaves du Sacré-Cœur » qui prendra par la suite le nom de « Ancelles du Sacré-Cœur », dont elle est la première supérieure en 1887.
L'objectif de cette congrégation est le culte public du Saint-Sacrement associé à l'éducation des jeunes filles et à la formation des laïcs à la spiritualité.
A la suite de dissensions, Raphaëlle-Marie quitte sa charge de supérieure et se retire dans leur maison romaine pour les 32 dernières années de sa vie qu'elle passe dans le silence, l'humilité et l'oubli, jusqu'à sa mort, le 6 janvier 1925.
Raphaëlle-Marie Porras y Ayllon a été béatifiée le 18 mai 1952 à Rome par le Vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958) et canonisée à Rome, le 23 janvier 1977, par le Bx Paul VI (Giovanni Battista Montini, 1963-1978).

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22 février - FÊTE DE LA CHAIRE DE SAINT PIERRE

La fête de la Chaire de Saint Pierre était à l’origine célébrée le 18 janvier en Gaule et le 22 février à Rome même. En 1558, le pape Paul IV introduisit la fête du 18 janvier à Rome qui devint fête de la Chaire de Saint Pierre à Rome tandis que la fête du 22 février pris le titre de Chaire de Saint Pierre à Antioche.

La réforme du calendrier de saint Jean XXIII a supprimé la fête du 18 janvier dont il ne reste plus que le jour octave le 25 janvier avec la fête de la Conversion de saint Paul.

L'évêque, successeur des Apôtres, reçoit la charge de conserver et de transmettre l'annonce de l'évangile. Il le fait, entre autres, à travers sa fonction d'enseignant, que la « chaire » placée dans la cathédrale symbolise. Prendre possession du siège, ou de la chaire, est un rite propre à l'ordination épiscopale. C'est de ce siège, comme pasteur, muni du bâton pastoral que l'évêque guidera le peuple qui lui est confié et, comme enseignant, qu'il l'affermira.

Si le siège de l'évêque est porteur d'une telle signification, combien plus celui de Pierre l'apôtre, premier évêque de Rome, reçoit-il une grande charge symbolique. La tradition dit de Pierre qui fut le premier évêque d'Antioche, et jusqu'à la réforme du calendrier liturgique, l'église célébrait la fête de la « Chaire de saint Pierre à Antioche ». Mais c'est à Rome que Pierre a enseigné et a achevé sa marche au service de l'Évangile par le martyre, dont le siège de Rome reçu le plus grand honneur. Dès lors, la primauté de Pierre à faire « paître son troupeau » a rejailli sur son siège apostolique, dont toutes les églises ont reconnu le rôle particulier.

Ainsi le disait Irénée de Lyon, au iie siècle : « Avec cette Église, en raison de son éminente supériorité, doit s'accorder l'Église universelle, c'est-à-dire les fidèles qui sont partout. » Ce que Jérôme de Stridon confirmait à sa manière : « Je ne crois en aucun autre primat que celui du Christ ; c'est pourquoi je me mets en communion avec ta béatitude, c'est-à-dire avec la chaire de Pierre. Je sais que l'Église est édifiée sur cette pierre»

Depuis 1653, le siège est placé dans un reliquaire en bronze doré exécuté par Gian Lorenzo Bernini. Selon la tradition constante de l'Église, il s'agit d'un siège de bois, datant du ier siècle, que le sénateur romain Pudens, converti par l'apôtre Pierre, lui a offert, et où saint Pierre s'asseyait habituellement pour enseigner, durant son séjour à Rome jusqu'à son martyre. Une tradition moderne assure, toutefois, que ce siège fut offert par Charles le Chauve en 875 et utilisé ensuite par plusieurs papes5. En tout cas, cet objet très ancien est symboliquement associé à l'exercice de l'autorité pontificale.

Le pape Alexandre VII fait enfermer la chaire de Saint Pierre, supposée authentique, dans le bronze même qui constitue le chef-d’œuvre du Bernin, appelé « Gloire du Bernin », situé dans l'abside de la basilique Saint-Pierre-de-Rome.

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15 janvier - SAINT REMI
(vers 437-13 janvier 5331), né dans ce qui n'était pas encore le diocèse de Laon, fut évêque de Reims pendant soixante-quatorze ans, si on croit l'inscription à partir de 459-462 jusqu'à sa mort que fit porter sur son tombeau l'archevêque Hincmar de Reims en 852. Celui qui sera honoré du titre d'apôtre des Francs par ce même Hincmar, baptisa le roi Clovis Ier, le 25 décembre d'une année comprise entre 496 et 506, avec 3 000 guerriers francs de son entourage.
Issu d'une grande famille gallo-romaine de la région de Laon, il avait pour mère sainte Céline. A 22 ans, il est choisi comme évêque de Reims et son activité missionnaire s'étend jusqu'à la Belgique. Il fonde les diocèses de Thérouanne, Laon et Arras, crée tout un réseau d'assistance pour les pauvres et joue un rôle de médiateur auprès des Barbares. Quand le chef franc Clovis prend le pouvoir, saint Rémi lui envoie un message "Soulage tes concitoyens, secours les affligés, protège les veuves, nourris les orphelins."saint Remi baptisant Clovis
La reine sainte Clotilde, tout naturellement, se tournera vers saint Rémi et vers un autre évêque contemporain, saint Vaast, pour acheminer le roi vers la foi. Après le baptême de Reims, saint Rémi restera, jusqu'à sa mort, l'un des conseillers écoutés du roi et sera l'un des artisans, en Gaule, du retour à la vérité catholique des Burgondes après le bataille de Dijon et des Wisigoths à Vouillé, deux populations contaminées par l'arianisme.
Au 13 janvier au martyrologe romain nous pouvons lire : À Reims, vers 530, la naissance au ciel de saint Remi, évêque, qui, après avoir lavé le roi Clovis dans la fontaine baptismale et l’avoir initié aux sacrements de la foi, il convertit au Christ le peuple des Francs. Il quitta cette vie, célèbre par sa sainteté après plus de soixante ans d’épiscopat. (En France, sa mémoire est célébrée le 15, jour de sa mise au tombeau.)
"Secourez les malheureux, protégez les veuves, nourrissez les orphelins… Que votre tribunal reste ouvert à tous et que personne n’en sorte triste ! Toutes les richesses de vos ancêtres, vous les emploierez à la libération des captifs et au rachat des esclaves. Admis en votre palais, que nul ne s’y sente étranger ! Plaisantez avec les jeunes, délibérez avec les vieillards !"
Lettre de saint Rémi au roi Clovis - 482 - Martyrologe romain
Fête : le 15 janvier en France, le 13 janvier au martyrologe romain. Dans le diocèse de Reims, il est fêté le 1er octobre conformément à une tradition locale remontant à la fin du Vème siècle.

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31 janvier - Saint Jean Bosco, (Giovanni Bosco)
prêtre et fondateur (1815-1888) - mém.
Fondateur de la « Congrégation salésienne (SDB) »
et de l'Institut des « Filles de Marie-Auxiliatrice (FMA) »
Jean (Giovanni) Bosco naît le 16 août 1815 aux Becchi, groupe de petites fermes du hameau de Castelnuovo d’Asti (maintenant Castelnuovo Don Bosco), au Piemont.
Ses parents étaient de pauvres paysans ; mais sa mère, demeurée veuve avec trois enfants, était une sainte femme. Le caractère jovial de Jean lui donnait une grande influence sur les enfants de son âge. Il les attirait par ses manières aimables et il entremêlait avec eux les divertissements et la prière. Doué d'une mémoire extraordinaire, il se plaisait à leur répéter les sermons qu'il avait entendus à l'église. C'étaient là les premiers signes de sa vocation apostolique. Son cœur, soutenu par celui de sa mère et d'un bon vieux prêtre, aspirait au sacerdoce. La pauvreté, en l'obligeant au travail manuel, semblait lui interdire l'étude. Mais, par la grâce de Dieu, son courage et sa vive intelligence surmontèrent tous les obstacles.
En 1835, il était admis au grand séminaire. « Jean, lui dit sa mère, souviens-toi que ce qui honore un clerc, ce n'est pas l'habit, mais la vertu. Quand tu es venu au monde je t'ai consacré à la Madone ; au début de tes études je t'ai recommandé d'être son enfant ; sois à elle plus que jamais, et fais-la aimer autour de toi. »
Au grand séminaire, comme au village et au collège, Jean Bosco préludait à sa mission d'apôtre de la jeunesse et donnait à ses condisciples l'exemple du travail et de la vertu dans la joie.
Prêtre le 5 juin 1841, il vint à Turin. Ému par le spectacle des misères corporelles et spirituelles de la jeunesse abandonnée, il réunit, le dimanche, quelques vagabonds qu'il instruisait, moralisait, faisait prier, tout en leur procurant d'honnêtes distractions. Mais cette œuvre du dimanche ne suffisait pas à entretenir la vie chrétienne, ni même la vie corporelle, de ces pauvres enfants.
Jean Bosco, bien que dépourvu de toute ressource, entreprit donc d'ouvrir un asile aux plus déshérités. Il acheta pour 30.000 francs une maison payable dans la quinzaine. « Comment ! lui dit sa mère devenue son auxiliaire, mais tu n'as pas un sou vaillant ! » - « Voyons ! reprit le fils, si vous aviez de l'argent, m'en donneriez-vous ? Eh bien, mère, croyez-vous que la Providence, qui est infiniment riche, soit moins bonne que vous ? »
Voilà le trésor divin de foi, d'espérance et de charité dans lequel Jean Bosco, malgré toutes les difficultés humaines, ne cessa de puiser, pour établir ses deux Sociétés Salésiennes de religieux (SDB 1859) et de religieuses (FMA 1872), avec des établissements charitables multipliés aujourd'hui dans le monde entier.
Don Bosco, épuisé par le travail, rejoint la Maison du Père le 31 janvier 1888 ; il laisse, à son successeur don Michele Rua (béatifié le 29 octobre 1972), 773 Salésiens et 393 Filles de Marie-Auxiliatrice.
Giovanni Bosco fut béatifié le 2 juin 1929 et canonisé le 1er avril 1934, dimanche de Pâques, par Pie XI (Ambrogio Damiano Ratti, 1922-1939).

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30 avril - Saint Pie V, (1504-1572)
pape o.p. (225e) de 1556 à 1572
(né le 17 janvier 1504 à Bosco Marengo dans le Piemont-
mort le 1er mai 1572 à Rome)
Deux religieux dominicains cheminaient un jour à travers la Lombardie. Dans un village, ils rencontrèrent un petit pâtre nommé Antonio Ghislieri, d'une noble famille ruinée par les guerres civiles. La physionomie ouverte et spirituelle de l'enfant, ses questions, ses réponses, frappèrent vivement les bons religieux, qui lui proposèrent de l'emmener pour le faire entrer dans leur Ordre. Ce jour-là, la Providence avait accompli, de la manière la plus simple, un merveilleux dessein, car cet enfant devait être saint Pie V.
Les Dominicains du couvent de Sainte-Sabine, le voyant arriver avec un extérieur négligé, lui firent mauvais accueil ; le supérieur alla même jusqu'à lui dire avec raillerie : « Que venez-vous chercher ici, mon Père ? Venez-vous voir si le collège des cardinaux est disposé à vous faire Pape ? » Le religieux peu charitable ne se doutait pas qu'il prédisait l'avenir. Le cardinal Giovanni Pietro Carafa jugea autrement le jeune inquisiteur ; sous cet extérieur modeste, il reconnut une grande âme destinée par Dieu à combattre vaillamment l'hérésie ; et plus tard, quand il fut devenu Pape sous le nom de Paul IV, il eut hâte de donner un évêché à Michele Ghislieri, qui dut l'accepter malgré ses larmes.
Entré chez les dominicains à l'âge de 14 ans, il est ordonné prêtre en 1528, après de brillantes études. Le jeune Antonio (nom en religion Michele) devint lui-même, à vingt ans, un professeur distingué. Il enseigne la philosophie et la théologie pendant 16 ans au sein de l'ordre, et devient maître des novices.
En 1556 Paul IV le nomme évêque de Sutri et inquisiteur de la foi à Milan et en Lombardie.C'est dans cette fonction épineuse qu'il se créa, en défendant les droits de l'Église, des ennemis implacables. Il dut aller à Rome justifier sa conduite.
Au sein du Sacré Collège, il s'oppose vigoureusement mais en vain au successeur de Paul IV, mort en 1559, le pape Pie IV, qui entend y admettre le fils du grand-duc de Toscane, Ferdinand de Médicis, âgé d'à peine 13 ans, ainsi qu'à l'empereur Maximilien II, qui, influencé par les idées luthériennes, veut autoriser le mariage des prêtres. Il tombe en disgrâce.
En 1546, il entre au Saint-Office. Son activité à Côme et Bergame attire l'attention du cardinal Carafa, futur Paul IV, qui le nomme commissaire général de l'Inquisition à Rome en 1551.
En 1557, il reçoit le chapeau de cardinal au titre de Santa Maria sopra Minerva créé à cette occasion par Paul IV et est fait grand inquisiteur en 1558 par le même pape.
En 1559 il est transféré au diocèse de Mondovi. Il y mène une intense activité pastorale. Il se bat contre le duc de Savoie pour maintenir les privilèges de l'Église et protège les Barnabites, de fondation récente (1553).
Pendant le concile de Trente, il reste fidèle au clan Carafa.
Dès lors on vit briller en lui toutes les vertus apostoliques, surtout l'amour des pauvres et des humbles. Peu de temps après, l'évêque était cardinal. Il n'accepta des exigences de sa dignité que ce qu'il ne pouvait éviter ; son palais ressemblait à un couvent, sa vie à celle d'un moine. Jamais plus grande violence ne lui fut faite que quand on lui imposa de force la charge du souverain pontificat, à la mort de Pie IV, le 7 janvier 1566 et couronné le 19. Le conclave n'a duré que 18 jours. Il prit le nom de Pie V.
Dès son élection, il s'emploie à réduire le luxe et la dissipation à la cour pontificale. Sa première cible est la collection de statues gréco-romaines du Belvédère, qu'il considère comme des idoles. Les statues sont cachées au public et les plus sensuelles transférées au Capitole.
Il entreprend également de réformer la Curie romaine. Il modifie la daterie, chargée de la concession des bénéfices ecclésiastiques, et la Pénitencerie apostolique. En 1569, Il met fin à la controverse sur la primauté de construction des deux basiliques du Latran et du Vatican en accordant celle-ci à l'église du Latran.
Peu de Papes ont vu autour d'eux le rayonnement de plus grands saints et de plus grands hommes ; c'était le temps où vivaient les saints Jean l'Aumônier, Thomas de Villeneuve, Jean de Dieu, Jean de la Croix, François de Borgia, Louis de Gonzague, Stanislas Kostka, Charles Borromée et sainte Thérèse d’Avila.
Le grand événement de son règne fut la victoire de Lépante, dont il eut la révélation à l'heure même où elle fut remportée.
Pie V meurt le 1er mai 1572 de la maladie de la pierre. Ses réformes ont engagé l'Église sur une voie nouvelle et opéré un redressement moral de l'institution ecclésiale.
Il sera béatifié par Clément X en 1672 et canonisé par Clément XI le 4 août 1712.

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09 janvier- Bienheureuse ALIX LE CLERC
vierge et co-fondatrice (1576-1622)
Congrégation de Notre-Dame
(Chanoinesses de Saint-Augustin)
Alix, en religion Marie-Thérèse de Jésus, naît le 2 fevrier 1576 à Remiremont, ville des Vosges dans le duché de Lorraine, alors indépendant de la France. Son père, Jean Le Clerc, seigneur de Roville-aux-Chênes, avait épousé Anne Sagay, descendante d'une ancienne famille d'Épinal, et Alix sera leur seule enfant. C'était une belle jeune fille, elle était riche et passait sa jeunesse dans la joie et l'insouciance, aimant danser et se divertir : « J’avais tant de compagnie de vanité et de jeunesse… J’aimais fort à danser. »
Vers ses 18 ans, elle quitte sa ville natale avec ses parents pour un petit village d'Hymont dépendant de la cure de Mattaincourt. Toujours insatisfaite, mais déterminée, elle se confie au jeune nouveau curé arrivé, le 1er juin 1597. C’était St Pierre Fourier. « Il me tombait toujours en l’esprit qu’il faudrait faire une nouvelle maison de filles pour y pratiquer tout le bien que l’on pourrait. » Elle entraîne avec elle quatre amies. Elles désirent donner leur vie à Dieu : elles vont s’essayer à vivre ensemble, prier et faire l’école aux petites filles dont, en ce temps, personne ne s’occupe.
Le Concile de Trente s’était clos en 1563. De la volonté de rénovation pastorale et sociale de Pierre et de l’intuition créatrice d’Alix, la Congrégation Notre-Dame naît à Noël 1597, à Mattaincourt.
Durant vingt-cinq ans, avec Pierre Fourier, Alix connaît les difficultés des premières fondations, lutte pour maintenir l’esprit du projet d’origine, participe à l’élaboration des constitutions de la congrégation, vivant elle-même une intense expérience spirituelle, séjournant dans les maisons qui s’ouvrent, proche de ses sœurs, leur souhaitant en fin de lettre : « Que Dieu soit votre amour entier. »
Elle meurt le 9 janvier 1622 au monastère de Nancy, récemment fondé.
Marie-Thérèse de Jésus a été béatifiée le 4 mai 1947 par le vénérable Pie XII (Eugenio Pacelli, 1939-1958).
Quand Pierre Fourier est canonisé, en 1897, on dénombre 31 monastères-écoles de Notre-Dame en Europe. Puis ce sont les fondations au Brésil, au Vietnam, en RD Congo, à Hong Kong, au Mexique.
Avec Vatican II, les sœurs ont revisité le charisme éducatif de leurs fondateurs. Elles offrent de partager ce trésor aux nombreux laïcs rencontrés dans leur vie de religieuses apostoliques : enfants, jeunes, éducateurs, animateurs, enseignants, parents, collaborateurs, associés, et tant d’autres, proches et amis. En 1987 Rome approuve les nouvelles constitutions.
Source principale : eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/(« Rév. x gpm »).
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Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)