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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


"Pour attirer les âmes et les transformer en lui, le Christ a révélé son amour infini. Son cœur est enflammé d'amour pour les âmes, un amour qui l'a poussé à monter sur la croix, à rester avec nous dans l'Eucharistie, à entrer dans nos âmes et à nous laisser en testament sa Mère, comme étant notre propre Mère !"

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

Le couronnement d'épines
"Magnifique est la route, la vraie route royale (celle de la croix) qui mène directement au Ciel. L'amour s'enflamme toujours plus lorsqu'on chemine derrières ses épines. Prie pour que moi-même je reste derrière."

673

saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


"J'ai moi-même peur de la souffrance et de l'humiliation mais je me rassure, en pensant que, même Jésus, dans le Jardin des Oliviers, n'a pas éprouvé un sentiment différent. Les grâces viennent au moment où nous en avons besoin !"

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA FLAGELLATION


"Quand nous rencontrons une difficulté que nous ne sommes pas en mesure de surmonter, ou si quelques tentations commencent à nous tourmenter avec insistance, ne nous décourageons pas, mais tournons-nous vers Marie en toute confiance tel des fils vers leur mère et elle saura nous infuser la lumière et la force nécessaires, elle nous prendra sur son cœur et adoucira les plus grandes amertumes. Il n'existe pas dans le monde un seul lieu privé de croix ; du reste sans les croix, nous ne pourrions gagner le Paradis. Ne fuyons donc pas trop la Croix mais si cela est nécessaire, prenons-la sur les épaules et portons-la volontiers par amour pour l'Immaculée."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

L'AGONIE A GETHSEMANI
"Alors ne pas oublier de dire avec Jésus dans le Jardin des Oliviers : 'Que ce ne soit pas ma volonté, mais la tienne qui se fasse'. Et si, comme cela s'est produit dans le Jardin des Oliviers, Dieu ne juge pas opportun de mettre à exécution notre demande mais nous envoie un calice à boire jusqu'à la dernière goutte, alors n'oublions pas que Jésus non seulement a souffert, mais aussi qu'Il est Ressuscité dans la Gloire. Rappelons-nous en outre que nous allons vers la résurrection aussi à travers la souffrance."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

"Que souhaiter pour moi-même et pour toi de plus sublime ? Je ne connais rien de plus sublime que ce que Jésus a dit : 'Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis.'"

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


"En effet, la prière est encore un moyen mal connu, cependant, c'est le plus efficace pour rétablir la paix dans les âmes, parce qu'elle sert à les rapprocher de l'amour de Dieu. La prière fait renaître le monde. C'est la condition indispensable pour la régénération et la vie de chaque âme."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr




"Lorsque le feu de l'amour s'allume, il ne peut se contenir dans les seules limites de notre cœur, mais il enflamme, dévore, absorbe d'autres cœurs. Gagne de plus en plus d'âmes à l'Immaculée !"

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


LES NOCES DE CANA

"Abandonne-toi chaque jour davantage dans les mains de Jésus et de l'Immaculée ! Ne sois pas bouleversé par les revers et les difficultés, mais abandonne tout à l'Immaculée. Elle peut tout, elle fera ce qu'elle veut."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA CROIX

"Le Christ t'appelle avec tant de bonté… dès le début de ton existence ! 'Si quelqu'un veut venir à ma suite, qu'il se renie lui-même qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive' : c'est la condition indispensable."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


LE RECOUVREMENT AU TEMPLE

"Marie retrouve Jésus : C'est la Vierge des événements incompréhensibles, acceptés avec la disponibilité d'un cœur contemplatif. Jésus commence sa mission, il enseigne le chemin du Ciel en se plaçant sous l'autorité de l'Immaculée Conception comme un fils envers sa mère. Et à partir de ce moment-là, personne ne peut devenir comme Jésus sans vénérer, à son exemple, l'Immaculée."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA PRESENTATION AU TEMPLE

"Marie offre Le Fils : elle est la Vierge de l'offrande totale et du don de soi. Parce qu'elle est propriété parfaite de Jésus, et que Jésus est Dieu et lui-même propriété du Père Eternel, chacune de nos offrandes, même si elle est dirigée vers le Père, se purifie à travers l'Immaculée."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

LA NATIVITE

"Marie adore le Fils de Dieu : elle est la Vierge Mère. Elle a toujours été et sera toujours pour nous tous, la Mère la plus affectueuse : durant notre vie, au moment de notre mort et pour toute l'éternité. Rappelons-nous souvent cette vérité, surtout dans les épreuves extérieures mais aussi dans les difficultés intérieures qui sont les plus dures. Ne mets pas uniquement ta confiance en toi-même mais entièrement dans l'Immaculée, Médiatrice de toutes les grâces, alors tu vaincras toujours et sûrement."

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saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr


LA VISITATION

Marie porte Jésus : elle est la Vierge priante et la première missionnaire. L'Immaculée veut étendre à l'humanité toute entière les fruits de la Rédemption accomplie par son Fils. Son seul désir est d'élever le niveau de notre vie spirituelle jusqu'aux sommets de la sainteté. Par conséquent, il est essentiel de devenir la propriété de l'Immaculée. Seulement alors, quand nous serons parfaitement obéissants à l'Immaculée, nous deviendrons un instrument exemplaire dans ses mains apostoliques.

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saint Maximilien-Marie KOLBE 

L'ANNONCIATION

"Marie accueille la volonté du Père, la Vierge obéit par amour, librement. Elle est créature de Dieu, la propriété de Dieu, la ressemblance parfaite de Dieu. L'usage idéal des facultés et des privilèges qui lui sont accordés, permet à Marie d'accomplir exclusivement la volonté de Dieu, par amour pour la Sainte Trinité."

658


saint Augustin - le temps

(Confessions, Livre XI sur le temps, traduction de Monseigneur Moreau)
 Ces extraits symbolisent en quelque sorte, d’une très belle manière,  la quête perpétuelle de Vérité.

 [I] Eh quoi ! ce que je vous dis, l’ignorez-vous donc, ô Dieu, possesseur de l’éternité ? L’ignorez-vous, ou avez-vous besoin du temps, pour voir ce qui se passe dans le temps ? Pourquoi donc vous présenter le cours et la suite de tant de choses ? Non pour vous les apprendre, sans doute, mais pour susciter vers vous dans mon cœur et dans les cœurs qui me liront de nouvelles flammes, afin qu’un seul cri s’élève : « Le Seigneur est grand et infiniment digne de louanges » (Ps. XCV, 4).
Je l’ai dit, et je le dis encore ; c’est l’amour de votre amour qui m’a suggéré cette pensée. Nous prions, et cependant la Vérité nous dit : « Votre Père sait ce qu’il vous faut, avant même que vous lui demandiez rien » (Matthieu, VI, 8). Ainsi la confession de nos misères et de vos miséricordes dilate notre amour pour vous ; elle appelle sur nous cette grâce qui doit consommer notre délivrance et nous sortir de nous-mêmes, séjour de malheur, pour nous faire entrer en vous, souveraine béatitude. […]

[II] […] Seigneur mon Dieu, prêtez l’oreille à ma prière ; que votre clémence exauce mon désir. Ce n’est pas pour moi seul que ce cœur palpite ; il se passionne encore pour l’intérêt de ses frères. Et vous voyez dans ce cœur qu’il est ainsi. […] Retranchez en moi toute témérité, tout mensonge, par la circoncision du cœur et des lèvres. Que vos Écritures soient mes chastes délices. Que je n’y trouve ni à m’égarer, ni à égarer les autres. Voyez, Seigneur ; ayez pitié, Seigneur mon Dieu, lumière des aveugles, vertu des faibles. […]
Faites-moi largesse de temps pour méditer les secrets de votre loi ; ne la fermez pas à ceux qui frappent. Car ce n’est pas en vain que vous avez dicté tant de pages mystérieuses. […] Seigneur, amenez-moi à votre perfection ; révélez-moi ces mystères. Oh ! votre parole est ma joie ; votre voix m’est plus douce que le charme des voluptés. Donnez-moi ce que j’aime ; votre voix est mon amour, et vous m’avez donné de l’aimer. Ne soyez pas infidèle à vos dons ; ne dédaignez pas votre pauvre plante que la soif dévore.
Que je proclame à votre gloire toutes mes découvertes dans vos saints livres ! […] Que je m’enivre de vous, en considérant les merveilles de votre loi, depuis ce jour premier-né des jours où vous avez fait le ciel et la terre, jusqu’à notre avènement au royaume de votre cité sainte. […]

[XIV] Il n’y a [donc] pas eu de temps où vous n’ayez rien fait, puisque vous aviez déjà fait le temps. Et nul temps ne vous est coéternel, car vous demeurez ; et si le temps demeurait, il cesserait d’être temps. Qu’est-ce donc que le temps ? Qui pourra le dire clairement et en peu de mots ? Qui pourra le saisir même par la pensée, pour traduire cette conception en paroles ? Quoi de plus connu, quoi de plus familièrement présent à nos entretiens, que le temps ? […]

[XXII] Mon esprit brûle de connaître cette énigme profonde. Je vous en conjure, Seigneur mon Dieu, mon bon père, je vous en conjure au nom du Christ, ne fermez pas à mon désir l’accès d’une question si ordinaire et si mystérieuse. Laissez-moi pénétrer dans ses replis ; que la lumière de votre miséricorde les éclaire, Seigneur ! À qui m’adresser ? À quel autre confesser plus utilement mon ignorance qu’à vous, ô Dieu, qui ne désapprouvez pas le zèle ardent où m’emporte l’étude de vos Écritures ?
Donnez- moi ce que j’aime. Car j’aime, et vous m’avez donné d’aimer. Donnez-moi mon amour, ô Père qui savez ne donner que de vrais biens à vos fils (Matthieu, VII, 2). Donnez-moi de connaître cette vérité que je poursuis. C’est une porte fermée à tous mes labeurs, si vous ne l’ouvrez vous-même. Par le Christ, au nom du Saint des saints, je vous en conjure, que nul ne me trouble ici. Je crois, « et ma foi inspire ma parole » (Ps. CXV, 1). J’espère et je ne vis qu’à l’espérance de contempler les délices du Seigneur. Et vous avez fait mes jours périssables, et ils passent (Ps.

 XXXVIII, 6). Et comment ? je l’ignore. Et nous avons sans cesse à la bouche ces mots : époque et temps. […]

*XXIII+ *…+ mais qu’est-ce que le temps ? Ce temps, mesure du mouvement solaire, que nous dirions moindre de moitié, si douze heures avaient suffi au parcours de l’espace accoutumé. En comparant cette différence de temps, ne dirions-nous pas que l’un est double de l’autre, où même que la course du soleil d’orient en orient serait tantôt plus longue, tantôt plus courte de moitié ? Qu’on ne vienne donc plus me dire : le temps, c’est le mouvement des corps célestes. Quand le soleil s’arrêta à la prière d’un homme (Josué, X, 13), pour lui laisser le loisir d’achever sa victoire, le temps s’arrêtât-il avec le soleil ? Et n’est-ce point dans l’espace de temps nécessaire que le combat se continua et finit ? Je vois donc enfin que le temps est une sorte d’étendue. Mais n’est-ce pas une illusion ? Suis-je bien certain de le voir ? Ô vérité, ô lumière ! Éclairez-moi.

[XXV] Et je vous le confesse, Seigneur, j’ignore encore ce que c’est que le temps ; et pourtant, Seigneur, je vous le confesse aussi, je n’ignore point que c’est dans le temps que je parle, et qu’il y a déjà longtemps que je parle du temps, et que ce longtemps est une certaine teneur de durée. Eh ! comment donc puis-je le savoir, ignorant ce que c’est que le temps ? Ne serait-ce point que je ne sais peut-être comment exprimer ce que je sais ? Malheureux que je suis, j’ignore même ce que j’ignore ! Mais vous êtes témoin, Seigneur, que le mensonge est loin de moi. Mon cœur est comme ma parole. « Allumez ma lampe, Seigneur mon Dieu, éclairez mes ténèbres » (Ps. XVII, 25).

[XXVI] […] Est-il donc vrai, mon Dieu, que je le mesure, sans connaître ce que je mesure ? […] C’est bien le temps que je mesure, j’en suis certain ; mais ce n’est point l’avenir, qui n’est pas encore ; ce n’est point le présent, qui est inétendu ; ce n’est point le passé, qui n’est plus. Qu’est-ce donc que je mesure ? Je l’ai dit ; ce n’est point le temps passé, c’est le passage du temps.
[XXVII] Courage, mon esprit ; redouble d’attention et d’efforts ! Dieu est notre aide : « nous sommes son ouvrage et non pas le nôtre » (Ps. XCIX, 3). […]

[XXIX] Mais « votre miséricorde vaut mieux que toutes les vies » (Ps. LXII, 4) ; et toute ma vie à moi n’est qu’une dissipation ; et votre main m’a rassemblé en mon Seigneur, fils de l’homme, médiateur en votre unité et nous, multitude, multiplicité et division, « afin qu’en lui j’appréhende celui qui m’a appréhendé par lui » ; et que ralliant mon être dissipé au caprice de mes anciens jours, je demeure à la suite de votre unité, sans souvenance de ce qui n’est plus, sans aspiration inquiète vers ce qui doit venir et passer, mais recueilli « dans l’immutabilité toujours présente », et ravi par un attrait sans distraction à la poursuite de cette « palme que votre voix me promet dans la gloire » (Philip. III, 12–14) où j’entendrai l’hymne de vos louanges, où je contemplerai votre joie sans avenir et sans passé. […]

Et vous, ô ma consolation, ô Seigneur, ô mon Père ! vous êtes éternel. Et moi je suis devenu la proie des temps, dont l’ordre m’est inconnu ; et ils m’ont partagé ; et les tourmentes de la vicissitude déchirent mes pensées, ces entrailles de mon âme, tant que le jour n’est pas venu où, purifié de mes souillures et fondu au feu de votre amour, je m’écoulerai tout en vous.

[XXX] Et alors en vous, dans votre vérité, type de mon être, je serai ferme et stable ; et je n’aurai plus à essuyer les questions des hommes, frappés, par la déchéance, de cette hydropisie de curiosité qui demande : Que faisait Dieu avant de créer le ciel et la terre ? ou Comment, lui est venu la pensée de faire quelque chose, puisqu’il n’avait jamais rien fait jusque-là ?

Inspirez-leur, ô mon Dieu, des pensées meilleures que leurs paroles ! Qu’ils reconnaissent que JAMAIS ne saurait être où le TEMPS n’est pas ! Ainsi dire qu’on n’a jamais rien fait, n’est-ce pas dire que rien ne se fait que dans le temps ? Hommes, concevez donc qu’il ne peut y avoir de temps sans œuvre, et voyez l’inanité de votre langage ! [Qu’ils comprennent que vous êtes avant tous les temps, Créateur éternel de tous les temps.] Qu’ils fixent leur attention, Seigneur, « sur ce qui demeure présent devant eux » (Philip. III, 13).


657

     Marthe Robin
(Journal - 5 avril 1930)

« Le Seigneur envoie par toute la terre des anges pour recueillir toutes les prières que nous faisons au nom de l’Eglise, pour les offrir à Dieu en hommage, en expiation, en reconnaissance. »



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Padre Pio à propos de la réception de la Communion

Jean 6:54-55 - « Jésus leur dit donc: En vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez Son sang, vous n'aurez pas la vie en vous. Celui qui mange Ma chair, et boit Mon sang, a la vie éternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour. »

Padre Pio fut interrogé à propos de la réception de la communion. Il répondit :« C’est une compassion interne et externe. Une étreinte. »

  • Question : « Quand Jésus arrive, ne visite-t-il que l’âme ? »
  • Padre Pio : « L’être entier. »
  • Question : « Que fait Jésus lors de la Communion ? »
  • Padre Pio : « Il trouve la joie dans Ses créatures. »
  • Question : « Est-ce que la Communion est une incorporation ? »
  • Padre Pio : « C’est une fusion. Comme deux bougies qui fondent toutes les deux et ne peuvent plus être distinguées. » [239]
Padre Pio, Lettre, à un enfant spirituel sur la réception de la Communion : « Continuez à recevoir la Communion, et ne vous inquiétez pas du fait de ne pas pouvoir recevoir le Sacrement de Pénitence. Jésus vous récompensera de votre bonne volonté. Souvenez-vous de ce que je vous ai souvent dit : tant que nous ne sommes pas certains d’être en état de péché mortel, nous n’avons pas besoin de nous abstenir de la Communion. » [240] « À moins que vous ne soyez certain d’être en état de péché mortel, vous devez recevoir la Communion tous les jours. » [241]
Padre Pio : « Mon cœur est comme aspiré par un pouvoir plus grand avant d’être uni avec Lui dans le Saint Sacrement. J’ai une telle faim et soif avant de Le recevoir qu’il n’en faudrait pas beaucoup plus pour que je meurs d’attendre… Et plutôt que d’être rassasié après avoir reçu le Sacrement, cette faim et cette soif augmentent encore plus. Au moment même où je suis en possession du plus haut des biens, alors oui, la plénitude de douceur est si intense que je suis sur le point de dire à Jésus : Assez ! Je n’en peux plus ! J’oublie même que je fais partie du monde. L’esprit et le cœur n’ont besoin de rien de plus… Parfois je me demande s’il y a vraiment des âmes qui ne ressentent pas leur poitrine brûler du feu divin, surtout au moment où elles se trouvent devant Lui dans le Saint Sacrement. Ça me paraît impossible, surtout si la personne est un prêtre ou un religieux. » [242]


 [239] The Mystery of the Cross…, p. 50.
[240] The Mystery of the Cross…, p. 51.
[241] Padre Pio: The True Story, p. 138.
[242] The Life of Padre Pio, p. 181.


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)