Affichage des articles dont le libellé est Vie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Vie. Afficher tous les articles

1694

     Pierre de Bérulle (1575-1629)
       (Sur l'Incarnation)
" Jésus étant Lui-même notre partage, Il veut que nous ayons une part singulière en ses divers états, appropriant aux uns sa vie et aux autres sa mort, aux uns son enfance, aux autres sa puissance, aux uns sa vie cachée, aux autres sa vie publique, aux uns sa vie intérieure, aux autres sa vie extérieure, aux uns ses opprobres, aux autres ses miracles, aux uns son abaissement et aux autres son autorité. En tout ces divers états et conditions, Il se donne Lui-même à tous, Il nous donne son coeur, sa grâce et son esprit ; Il nous incorpore en Lui, Il nous rend Vivants en Lui, de Lui et par Lui, comme faisant partie de son corps, de son esprit et de Lui-même, en une manière beaucoup plus efficace et importante que les membres que nous avons ne font partie de notre propre corps et de nous-mêmes." 

1649

    saint Augustin 
(Commentaire du Psaume 41, 2)


« Cours aux sources,

Aspire aux fontaines.
En Dieu jaillit la source de la Vie,
Une Vie qui ne peut tarir.
Dans sa lumière se trouve une Lumière
que rien ne pourra obscurcir.
Que ton désir aille à cette Lumière
que tes yeux ne connaissent pas.
L'oeil intérieur se prépare à voir la Lumière,
A la Source la soif intérieure brûle de s'abreuver. »

1609

   sainte Catherine de Sienne 
(Dialogue, Hurtaud, 1913, II - page 327-328)
" Ô Trinité éternelle ! (...)Vous êtes une mer sans fond où plus je me plonge, plus je Vous trouve, et plus je Vous trouve, plus je Vous cherche encore. De Vous, jamais on peut dire : c'est assez ! L'âme qui se rassasie dans vos profondeurs Vous désire sans cesse, parce que toujours elle est affamée de Vous, Trinité éternelle ; Lumière au dessus de toute lumière ; c'est cette lumière qui communique à l'oeil de l'intelligence une clarté surnaturelle, si abondante et si parfaite que la lumière de la foi en est éclairée, cette foi, par laquelle je vois que mon âme à la Vie, et dans cette clarté Vous reçoit, Vous, la Lumière.
Par la lumière de la foi, je possède la sagesse dans la sagesse du Verbe votre Fils. Par la lumière de la foi, je suis forte, constante et persévérante. Par la lumière de la foi, j'espère et je ne me laisse pas défaillir en route. Cette lumière m'indique le chemin et, sans cette lumière, je marcherais dans les ténèbres.
C'est pourquoi je vous ai demandé, Père éternel, de m'éclairer de la lumière de la très sainte foi. Cette lumière est vraiment un océan, car elle plonge l'âme en Vous, l'Océan de paix, ô Trinité éternelle ! L'eau de cette mer n'est pas trouble ; l'âme n'y a pas peur, car elle y connaît la Vérité. Elle est transparente et laisse voir les choses qu'elle recèle en ses profondeurs. Aussi là où abonde la resplendissante lumière de la foi, l'âme a pour ainsi dire, l'évidence de ce qu'elle croît."


1602

   Victor Hugo
« Je dis que le tombeau, qui sur la mort se ferme, ouvre le firmament Et que ce qu’ici-bas nous prenons pour le terme est le commencement. »

1601

   sainte Thérèse de l'Enfant Jésus

"Je ne meurs pas, j'entre dans la Vie. "

1597

   pasteur E. Cloarec

Réussir sa vie

« Vouloir à tout prix réussir dans la vie, c’est céder au diktat du discours concurrentiel ambiant. C’est s’engager dans la folle course sociale, course aux performances, course effrénée à une dignité qui serait à conquérir, course aux possessions, à l’ostentation. Vouloir grimper l’échelle sociale pour mieux toiser les autres et les écraser de tout son poids !
Avoir pour seule ambition de réussir dans la vie, c’est dépendre du regard social et de ses performances pour espérer trouver une identité bien fragile et bien précaire.
Une telle philosophie de l’existence a pour inconvénient majeur de laisser de côté les moins performants, les faibles et les indigents.
Adopter une telle philosophie, c’est courir le risque de la frustration, de l’amertume, de l’agitation et de l’insatisfaction permanente dans la mesure où l’on peut être sûr qu’il y a toujours plus fort ou plus brillant devant soi !
’est enfin craindre, toujours, de déchoir socialement un jour. C’est une identité et une vie bâtie sur le sable !

C’est tout autre chose…
C’est prendre conscience que la dignité de l’homme n’est pas à conquérir, que sa valeur ne dépend pas de ses performances, de son positionnement ou de son pedigree social.
Selon la Bible, c’est réaliser que l’homme tient sa dignité d’un Dieu qui l’aime profondément tel un père qui aime chacun de ses enfants. Le petit, le moyen, le grand, le brillant et le délinquant !
C’est prendre conscience que chaque être humain, quelles que soient ses forces ou ses faiblesses, son statut et ses richesses, est créé à l’image de Dieu.
Celui qui prend conscience que sa valeur est ancrée en Dieu porte un regard différent sur l’existence et sur les autres. Il est délivré du piège de la performance et de la course à l’insatisfaction. Il est en sécurité éternelle. Il n’a rien à prouver ou à conquérir mais son seul désir est de vivre paisiblement et humblement devant son Dieu, au service de son prochain et au service des siens.
Il ne dépend que du regard d’amour et d’acceptation totale de Dieu. Il avance en paix, avec une force tranquille car son identité est fondée sur le roc.
Il donne le meilleur de lui-même, avec constance et application. Il met ses biens, son énergie, ses talents et son temps au service du bien commun, dans sa famille, par son travail, par ses engagements associatifs et citoyens. C’est une fontaine paisible et rafraichissante pour les autres, qui prend sa source à la rivière éternelle et ne s’assèche jamais quelles que soient les circonstances ou quelle que soit la rigueur du climat.
ça ne vous tente pas ? »


1557

   Pape François 
(13 mai 2017 - pour le centenaire des apparitions à Fatima)

"Le Seigneur nous précède toujours : quand nous passons par quelque croix, il y est déjà passé. Dans sa Passion, il a pris sur lui toutes nos souffrances. Jésus sait ce que signifie la souffrance, il nous comprend, il nous console, et il nous donne la force. (...)Voilà le mystère de l’Eglise : l’Eglise demande au Seigneur de consoler les affligés et il vous console, même de manière cachée ; il vous console dans l’intimité du cœur et il vous console par sa force.
(...) Chers malades, vivez votre existence comme un don et dites à la Vierge, comme les pastoureaux, que vous voulez vous offrir à Dieu de tout votre cœur. Ne vous considérez pas seulement comme des bénéficiaires de la solidarité caritative, mais sentez-vous pleinement participants de la vie et de la mission de l’Eglise. 
Votre présence silencieuse mais plus éloquente que beaucoup de paroles, votre prière, l’offrande quotidienne de vos souffrances unies à celles de Jésus crucifié pour le salut du monde, l’acceptation patiente et même joyeuse de votre condition sont une ressource spirituelle, un patrimoine pour chaque communauté chrétienne. N’ayez pas honte d’être un trésor précieux de l’Eglise."

1554

     Benoît XVI 
(Homélie -Messe inaugurale du pontificat du pape Benoît XVI - dimanche 24 avril 2005) 
"Il en va ainsi: nous existons pour montrer Dieu aux hommes. Seulement là où on voit Dieu commence véritablement la vie. Seulement lorsque nous rencontrons dans le Christ le Dieu vivant, nous connaissons ce qu’est la vie. Nous ne sommes pas le produit accidentel et dépourvu de sens de l’évolution. Chacun de nous est le fruit d’une pensée de Dieu. Chacun de nous est voulu, chacun est aimé, chacun est nécessaire."

1538

     Platon 
"La vraie tragédie de la vie,
c'est quand les hommes ont peur de la lumière "

1527

  Saint François Xavier (1506-1552)
"l’absence de la Croix, c’est l’absence de la vie."

1522

  un religieux, anonyme
Un religieux, vers la fin de sa vie, alors qu’il était atteint d’un zona facial, maladie qui est assez douloureuse, répondait : 
"à quoi pourrait servir la vie si l’on ne pouvait croître en amour". 
Par cela, il disait la façon dont il assumait sa souffrance en la dépassant par l’offrande de lui-même. C’est alors que l’âme grandit.

1483

   Fénelon (1651-1715)
Entretien affectif pour le Samedi Saint)

"Ô Sauveur, je vous adore, je vous aime dans le tombeau, je m'y enferme avec vous. Je ne veux plus que le monde me voie, je ne veux plus me voir moi-même, je descends dans les ténèbres et jusque dans la poussière ; je ne suis plus du nombre des vivants ; je suis mort, et la Vie qui m'est préparée sera cachée avec Jésus Christ en Dieu."

1482

   Charles Gay (1818-1892)
( 90ᵉ Élévation)
"Un jour, dans votre histoire, ô Dieu, vous avez eu un tombeau sur la terre, et selon cette nature que vous nous aviez empruntée, justement pour y pouvoir et souffrir et mourir, ce tombeau vous a renfermé.
Ce corps n'était point du tout un cadavre ; car pour défait qu'il fût et déchiré par tant d'affreux supplices, ce corps ne subissait ni ne pouvait subir l'ombre d'une corruption. La mort avait bien eu licence de frapper Jésus d'un premier coup, et c'est de Jésus même qu'elle avait reçu cette permission, mais, parce que là finissait sa fonction, là aussi s'arrêtait son pouvoir. La victime une fois immolée, le tombeau où on la déposait devenait un vrai tabernacle.
Etait-ce donc un lieu de mort que ce tombeau de Jésus ?
Tout tombeau est un lieu de mort. Mais au fond, en réalité, pour la foi qui est la vraie Lumière, était-ce la vie ou la mort qu'abritait cette tombe ?
C'était la Vie, une vie silencieuse.
Si l'on veut, une vie cachée et comme semée, attendant son moment pour éclore et paraître au monde, mais c'était bien la Vie, et quelle Vie ! Une vie haute, pleine, royale, maîtresse absolue d'elle-même, et qui, éclipsée trois jours pour l'avoir librement voulu, allait tout à l'heure éclater au dehors et peu à peu tout envahir, plus forte que le temps, plus vaste que l'espace, plus profonde que l'enfer.
oui, ce qui est mort en vous, ô mon Dieu, est plus vivant que tout le reste qui vit au ciel et sur la terre. Le grain de froment va refleurir en épi ; ce n'est pas même seulement un épi qu'il devient, c'est une moisson immense devant remplir la terre, persister jusqu'au dernier jour et nourrir divinement toute notre pauvre humanité.
Toute la vie de l'Église jusqu'à la fin des temps, toute vie surnaturelle donnée aux créatures, jaillit de ce rocher creusé où votre sacré corps a reposé trois jours : votre sépulcre est le grand baptistère où tous les enfants d'Adam se plongent pour en renaître enfants de Dieu.

1474

   Julien Haineuve (1588-1663)
Méditations sur la vie de Jésus Christ
"Au même temps et à la même heure que le monde pensait au moyen de se défaire de notre Sauveur afin qu'on n'en entendit plus parler, Lui, tout au contraire, par l'excès de son Amour, établissait le moyen d'y demeurer toujours pour le grand bien de ceux qui s'en voudraient servir, en nous donnant son corps, son âme et sa vie sous les espèces du pain et du vin, jusqu'à la fin du monde.
Considérez que notre Seigneur nous donnant son Corps à manger, Il donne à chacun de nous, autant de fois que nous le voulons recevoir, sa vie, son âme, ses mérites, et en un mot tout ce qu'Il est et tout ce qu'Il possède, comme Il s'est donné une fois à tous les hommes par son incarnation et par sa mort. La Messe et la Commmunion est une nouvelle naissance, une nouvelle vie et une nouvelle mort du Sauveur de nos âmes, ou plutôt c'est sa naissance sa vie et sa mort continuée dans nos coeurs."

1469                                             

   saint François de Sales (1567-1622)
 sermon du 15 août 1602
"Notre Seigneur souffrit infiniment en son âme et en son corps ; ses douleurs ne reçoivent point de comparaison en ce monde. Voyez les afflictions de son coeur, voyez les passions de son corps, considérez, je vous supplie, et voyez qu'il n'y a point de douleurs égales aux siennes ; mais néanmoins toutes ces douleurs, toutes ces afflictions, tous ces coups de main, de roseau, d'épines, de fouet, de marteaux, de lance, ne pouvaient Le faire mourir ; la mort n'avait pas assez de force pour se rendre victorieuse sur une telle vie, elle n'y avait point accès." -

1454

     père Ranièro Cantalamessa
homélie pour la Nativité de saint Jean Baptiste année C (24 juin 2002)

" Nous avons une idée très réductive et juridique de la personne, qui engendre une grande confusion dans le débat sur l’avortement. Il semble qu’un enfant acquière la dignité de personne au moment où les autorités humaines la lui reconnaissent. Pour la Bible, une personne est celle qui est connue de Dieu et que Dieu appelle par son nom ; et Dieu, nous est-il dit, nous connaît depuis le sein maternel, il nous voyait alors que nous étions « encore inachevés », dans le sein maternel. La science nous dit que l’embryon renferme tout l’homme en devenir, projeté dans les plus infimes détails ; la foi ajoute qu’il ne s’agit pas uniquement d’un projet inconscient de la nature mais d’un projet d’amour du Créateur. La mission de Jean-Baptiste est entièrement tracée avant sa naissance : « Toi aussi, petit enfant, tu seras appelé prophète du Très-Haut ; car tu marcheras devant le Seigneur, pour lui préparer les voies ».
L’Eglise a estimé que Jean-Baptiste a déjà été sanctifié dans le sein maternel, par la présence du Christ ; c’est pour cette raison qu’elle célèbre la fête de sa naissance. Ceci nous donne l’occasion d’évoquer une question délicate, qui a pris aujourd’hui une importance particulière à cause des millions d’enfants qui, surtout en raison de la diffusion effrayante de l’avortement, meurent sans avoir reçu le baptême. Que dire de ces enfants ? Sont-ils eux aussi d’une certaine manière sanctifiés dans le sein maternel ? Il y a-t-il un salut pour eux ? 
Sans hésiter je réponds : bien sûr que le salut existe pour eux. Jésus ressuscité dit également d’eux : « Laissez venir à moi les petits enfants ». L’idée selon laquelle les enfants non baptisés étaient destinés aux Limbes, un lieu intermédiaire dans lequel on ne souffre pas mais dans lequel on ne jouit pas non plus de la vision de Dieu, s’est répandue à partir du Moyen-âge. Mais il s’agit d’une idée qui n’a jamais été définie comme vérité de foi de l’Eglise. Il s’agissait d’une hypothèse des théologiens qu’à la lumière du développement de la conscience chrétienne et de la compréhension des Ecritures, nous ne pouvons plus maintenir.
Cette opinion, que j’exprimai, il y a quelque temps, dans l’un de ces commentaires de l’Evangile, fut l’objet de réactions diverses. Certains exprimèrent de la reconnaissance pour cette prise de position qui leur ôtait un poids sur le cœur, d’autres me reprochèrent de donner trop de poids à la doctrine traditionnelle et de diminuer ainsi l’importance du baptême. La discussion est aujourd’hui close car récemment, la Commission théologique internationale, qui travaille pour la congrégation pour la Doctrine de la foi a publié un document affirmant précisément cela.
Il me semble utile de revenir sur ce thème à la lumière de cet important document pour expliquer certaines des raisons qui ont conduit l’Eglise à tirer cette conclusion. Jésus a institué les sacrements comme moyens ordinaires pour le salut. Ceux-ci sont donc nécessaires et celui qui, alors qu’il peut les recevoir, les refuse contre sa conscience ou les néglige, compromet sérieusement son salut éternel. Mais Dieu ne s’est pas lié à ces moyens. Il peut sauver également à travers des chemins extraordinaires, lorsque la personne, sans aucune faute de sa part, est privée du baptême. Il l’a fait par exemple avec les Saints Innocents, morts eux aussi sans baptême. L’Eglise a toujours admis la possibilité d’un baptême de désir et d’un baptême de sang, et tant de ces enfants ont vraiment connu un baptême de sang, même s’il est de nature différente… Je ne crois pas que la clarification de l’Eglise encourage l’avortement ; si c’était le cas, ce serait véritablement tragique et il faudrait se préoccuper sérieusement, non pas du salut des enfants non baptisés mais de celui des parents baptisés. Ce serait se moquer de Dieu. Cette déclaration donnera en revanche un peu de soulagement aux croyants qui, comme chacun, s’interrogent, effarés, sur le sort atroce de tant d’enfants dans le monde aujourd’hui."

1442

    Hippocrate

"Avant de guérir quelqu'un, demandez-lui s'il est prêt à abandonner les choses qui le rendent malades."

«ce sont nos souffrances qu'Il (le Christ) a portées, C’est de nos douleurs qu’Il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais Il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. » (Is 53, 4-5)

"c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris".

Jésus dit :«Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. » (Mt 28,18)

« Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr.
Moi, (dit Jésus), je suis venu pour que les brebis aient la Vie, la Vie en abondance. » Jn 10:10

Jésus est venu pour nous guérir et nous donner la Vie éternelle,
Aujourd'hui Il vient, et Il veut nous guérir...
mais nous, le désirons-nous ? le voulons-nous ?
Accueillons-nous cette guérison offerte ?
acceptons-nous d'abandonner les choses qui nous rendent malades ?


1299

  Pape François 

(26 septembre 2013, messe à la Maison Sainte-Marthe.)

"On ne peut pas connaître Jésus ’en première classe’ ou dans la tranquillité, encore moins en bibliothèque. Jésus on ne le connaît que sur le chemin quotidien de la vie", 

1292

  Pape François 

(27 juillet 2013, veillée de prière des Journées mondiales de la jeunesse, Rio de Janeiro.)

"Chers jeunes, s’il vous plaît, ne regardez pas la vie du balcon, mettez-vous en elle, Jésus n’est pas resté au balcon, il s’est immergé ; immergez-vous en elle comme l’a fait Jésus", 

1291

  Pape François 

(26 juillet 2013, Angélus, Rio de Janeiro..)

 "Les enfants et les personnes âgées construisent l’avenir des peuples ; les enfants parce qu’ils feront avancer l’histoire, les personnes âgées parce qu’elles transmettent l’expérience et la sagesse de leur vie", 

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)