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Marthe Robin (1902-1981)
Extrait de son "journal" 10 novembre 1930

"Tout sert quand on aime, et je reconnais que, dans son infinie tendresse, mon aimable Seigneur fait en sorte que je puisse tirer profit de tout. 
Je ne m'en étonne pas, c'est l'oeuvre de Dieu et non la mienne."

455

saint Jean-Paul II
Angelus, 21 novembre 1999
La présentation de la bienheureuse Vierge Marie est l'une des fêtes les plus chères à la tradition orientale, célébrée également en Occident à partir du quatorzième siècle. Aujourd'hui, Marie nous apparaît comme le temple dans lequel Dieu a placé son salut et comme la servante qui se consacre totalement au Seigneur.

449

St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 78, 3
Il faut par ce mot de « talent » entendre tout ce par quoi chacun peut contribuer à l’avantage de son frère, soit en le soutenant de son autorité, soit en l’aidant de son argent, soit en l’assistant de ses conseils, soit en lui rendant tous les autres services qu’il est capable de lui rendre.
Et que personne ne dise en lui-même : Que puis-je faire n’ayant reçu qu’un seul talent ? Un seul talent peut vous suffire pour témoigner votre fidélité envers votre maître, et pour vous rendre agréable aux yeux de Dieu. Vous n’êtes pas plus pauvre que cette veuve de l’Evangile qui n’avait que deux petites pièces de monnaie. Vous n’êtes pas plus grossier que ne l’était saint Pierre ou que saint Jean, qui étaient des hommes sans lettres et qui sont devenus néanmoins les princes du ciel, par cette charité catholique et universelle qu’ils ont eue pour toute la terre.

348

St Louis-Marie Grignion de Montfort
Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge, 233 (consécration)
Tous les ans au moins, le même jour, ils renouvelleront la même consécration, observant les mêmes pratiques pendant trois semaines. Ils pourront même, tous les mois et tous les jours, renouveler tout ce qu'ils ont fait, par ce peu de paroles : Tuus totus ego sum, et omnia mea tua sunt : Je suis tout à vous, et tout ce que j'ai vous appartient, ô mon aimable Jésus, par Marie, votre sainte Mère.

335

Bible - Nouveau Testament
Jean 21, 15-19
Lorsqu'ils eurent mangé, Jésus dit à Simon-Pierre : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Il lui répondit : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux."
Il lui dit une seconde fois : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ?" Pierre lui répondit : "Oui, Seigneur, tu sais bien que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux."
Il lui dit pour la troisième fois : "M'aimes-tu ?" et il lui répondit : "Seigneur, tu connais toutes choses, tu sais bien que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis."
"En vérité, en vérité je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras les mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas."
Il dit cela, indiquant par quelle mort Pierre devait glorifier Dieu. Et après avoir ainsi parlé, il ajouta : "Suis-moi".

306

Michel Gasnier
Les silences de saint Joseph, chap. 26
Ainsi donc, pensait Joseph, les épreuves ne m'ont point manqué, mais Dieu pourtant m'a fait belle ma part de joies.
Il se redisait la parole que Tobie avait entendue (12, 13) : Parce que tu étais agréable à Dieu, il fallait que la tentation t'éprouve !Bien loin de protester, il avait trouvé en ces douleurs crucifiantes l'occasion d'accroître ses vertus et d'enrichir son amoureuse fidélité.
Quant à ses joies, il disait à Dieu qu'il n'en avait pas tant méritées, qu'il l'avait traité avec trop de magnificence et d'égards, et qu'il n'aurait pas assez de toute sa vie pour rendre grâces. Que, par ailleurs, il était le serviteur de ses desseins, et que s'il estimait que sa tâche était terminée, c'est avec la même soumission totale qu'il acceptait de quitter la terre...

332

St François d'Assise
Cantique de frère soleil ou des créatures

Très haut, tout puissant et bon Seigneur,
à toi louange, gloire, honneur,
et toute bénédiction ;
à toi seul ils conviennent, ô Très-Haut,
et nul homme n'est digne de te nommer.
Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
spécialement messire frère Soleil.
par qui tu nous donnes le jour, la lumière :
il est beau, rayonnant d'une grande splendeur,
et de toi, le Très-Haut, il nous offre le symbole.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Lune et les étoiles :
dans le ciel tu les as formées,
claires, précieuses et belles.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour frère Vent,
et pour l'air et pour les nuages,
pour l'azur calme et tous les temps :
grâce à eux tu maintiens en vie toutes les créatures.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Eau,
qui est très utile et très humble,
précieuse et chaste.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour ceux
qui pardonnent par amour pour toi ;
qui supportent épreuves et maladies :
heureux s'ils conservent la paix
car par toi, le Très-Haut, ils seront couronnés.
Loué sois-tu, mon Seigneur,
pour notre sœur la Mort corporelle
à qui nul homme vivant ne peut échapper.
Malheur à ceux qui meurent en péché mortel ;
heureux ceux qu'elle surprendra faisant ta volonté,
car la seconde mort ne pourra leur nuire.
Louez et bénissez mon Seigneur,
rendez-lui grâce et servez-le
en toute humilité !

297

St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 65, 4
Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, amis pour servir et donner sa vie pour la rédemption de plusieurs. Ainsi, je ne me suis pas contenté de souffrir la honte et l’ignominie, mais j’ai donné ma vie même pour la rédemption de plusieurs. Car qui sont ceux pour qui je suis mort, sinon les païens et les idolâtres ? Quand vous vous humiliez vous autres, c’est pour vous-mêmes. Mais quand je me suis humilié, ce n’était point pour moi, mais pour vous.
Ne craignez donc pas, mes frères, que votre humilité vous déshonore. Vous ne sauriez jamais, quoi que vous fassiez, vous humilier autant que votre Maître. Et néanmoins son humiliation est devenue son plus grand honneur et le comble de sa gloire. Avant qu’il se fût fait homme, il n’était connu que des anges. Mais depuis qu’il s’est revêtu de notre corps, et qu’il est mort sur une croix, non-seulement il n’a pas perdu cette première gloire, mais il y a encore ajouté celle de se faire connaître et adorer de toute la terre.
Après cela, n’appréhendez point de vous abaisser en vous humiliant. C’est ainsi au contraire que vous vous relèverez davantage, parce que l’humilité est une source d’honneur et la porte du royaume. Craignons plutôt qu’en prenant une voie tout opposée pour nous élever, nous ne nous combattions nous-mêmes dans cette injuste prétention. Car on ne devient pas grand en désirant de l’être. Mais celui qui veut être le plus grand de tous, deviendra au contraire le dernier de tous.

291

Michel Gasnier
Les silences de saint Joseph, chap. 26
5ème dimanche de St Joseph
La prédication de Syméon n'allait pas tarder à se réaliser lors de la fuite en Egypte. Ce serait sa cinquième souffrance. Précipitamment, pour soustraire son Jésus à la fureur d'Hérode, il avait dû s'engager sur le chemin de l'exil.
Mais c'était un bonheur de se dépenser et de s'épuiser au service de Jésus et de Marie, et de remplir près d'eux la fonction dont Dieu l'avait chargé. Son exil devait être un désert fleuri.

240

St Hilaire de Poitiers
De la Trinité, 1, 37
J'en ai conscience, Père, Dieu tout-puissant : c'est à toi que je dois consacrer l'occupation principale de ma vie. Que toutes mes paroles et mes pensées s'entretiennent de toi.
Car ce don de la parole que tu m'as accordé ne peut pas me rapporter un plus grand bienfait que celui-ci : te servir par la prédication et montrer qui tu es, le Père, celui du Fils unique de Dieu. Je dois le montrer soit au monde qui l'ignore, soit à l'hérétique qui le refuse.
Ma volonté n'a pas d'autre raison d'être ; du reste, je dois implorer la grâce de ton asistance et de ta miséricorde, pour que tu gonfles du souffle de ton Esprit les voiles déployées par notre foi et par notre profession de cette foi, et que tu nous pousses dans cette course de la prédication. Car il n'est pas infidèle à sa promesse, celui qui a dit : Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira.
Étant pauvres, nous demanderons ce dont nous sommes dépourvus ; nous fournirons un effort acharné pour scruter les paroles de tes prophètes et de tes Apôtres, nous frapperons à tous les accès d'une compréhension qui nous est fermée. Mais c'est à toi d'exaucer la demande, d'accorder ce qu'on cherche, d'ouvrir la porte fermée.

209

St Thomas d'Aquin
Somme de Théologie, II-II, q.82, a.1, c
Dévotion vient de « dévouer » et l’on appellera « dévots » ceux qui, en quelque sorte, « vouent » à Dieu leur propre personne par un assujettissement total. C’est ainsi que l’antiquité païenne désignait par ce terme ceux qui se « dévouaient » aux idoles, en se livrant à la mort pour le salut de leur armée, comme Tite-Live le raconte des deux Decius. On voit par là ce qu’est la dévotion : rien autre qu’une volonté de se livrer promptement à ce qui concerne le service de Dieu. Ainsi est-il dit dans l’Exode (35, 23) : « Toute l’assemblée des fils d’Israël, d’une âme très prompte et dévote, offrit les prémices au Seigneur. » Ce vouloir, portant sur le prompt accomplissement de ce qui tient au service divin, est manifestement un acte spécial. Donc la dévotion est un acte spécial de la volonté.

182

Concile Vatican II
Lumen gentium, n. 42
"Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui" (I Jn 4, 16). Or Dieu a répandu son amour dans nos cœurs par l'Esprit-Saint qui nous a été donné (cf. Rom. 5, 5) ; voilà pourquoi le don primordial et souverainement nécessaire est la charité, par laquelle nous aimons Dieu par-dessus toute chose et le prochain par amour pour lui. Mais pour que la charité, comme le bon grain, croisse et produise des fruits, chacun des fidèles doit s'ouvrir à la parole de Dieu et, avec l'aide de la grâce, accomplir effectivement la volonté divine, recevoir fréquemment les sacrements, surtout l'Eucharistie, et participer souvent aux célébrations liturgiques. Ils s'appliqueront constamment à la prière, à l'abnégation d'eux-mêmes, à servir assidûment leurs frères et à la pratique de toutes les vertus. La charité, en effet, en tant que lien de la perfection et accomplissement de la loi (cf. Col. 3. 14; Rom. 13, 10), règle, informe et conduit à leur fin tous les moyens de sanctification (12). Ainsi la charité envers Dieu et envers le prochain est-elle la marque distinctive qui caractérise le vrai disciple du Christ.

165

St Vincent de Paul
Entretien avec les Filles de la Charité
Il ne faut pas de retardement en ce qui est du service des pauvres. Si, à l'heure de votre oraison, le matin, vous devez allez porter une médecine, oh ! allez-y en repos; offrez à Dieu votre action, unissez votre intention à l'oraison qui se fait à la maison, ou ailleurs, et allez-vous-en sans inquiétude. Si, quand vous serez de retour, votre commodité vous permet de faire quelque peu d'oraison ou de lecture spirituelle, à la bonne heure ! Mais il ne vous faut point inquiéter, ni croire avoir manqué, quand vous la perdrez ; car on ne la perd pas quand on la quitte pour un sujet légitime. Et s'il y a sujet légitime, mes chères filles, c'est le service du prochain.
Ce n'est point quitter Dieu que quitter Dieu pour Dieu, c'est-à-dire une œuvre de Dieu pour en faire une autre, ou de plus grande obligation, ou de plus grand mérite. Vous quittez l'oraison ou la lecture, ou vous perdez le silence pour assister un pauvre, oh ! sachez, mes filles, que faire tout cela, c'est le servir. Car, voyez-vous, la charité est par-dessus toutes les règles, et il faut que toutes se rapportent à celle-là. C'est une grande dame. Il faut faire ce qu'elle commande. Allons donc, et nous employons avec un nouvel amour à servir les pauvres, et même cherchons les plus pauvres et les plus abandonnés; reconnaissons devant Dieu que ce sont nos seigneurs et nos maîtres. et que nous sommes indignes de leur rendre nos petits services.

136

Benoît XVI
Prière au pied de la "Mariensäule", samedi 9 septembre 2006 (Marienplatz, Munich)
Sainte Mère du Seigneur,
Nos ancêtres, dans une période de difficultés, ont élevé ici ta statue, au cœur de la ville de Munich, pour te confier la ville et le pays. Sur les routes de leur vie quotidienne, ils voulaient Te rencontrer toujours à nouveau et apprendre de Toi comment vivre de la manière juste leur existence humaine ; apprendre de Toi comment pouvoir trouver Dieu et trouver ainsi l'harmonie entre eux. Ils t'ont donné la couronne et le sceptre, qui étaient alors le symbole de la seigneurie sur le pays, car ils savaient qu'ainsi le pouvoir et la domination auraient été entre de bonnes mains - entre les mains de la Mère.
Ton Fils, peu avant l'heure du congé, a dit à ses disciples : "Celui qui veut devenir grand sera votre serviteur. Celui qui veut être le premier sera l'esclave de tous" (Mc 10, 43sq). Toi, à l'heure décisive de ta vie, Tu as dit : "Je suis la servante du Seigneur" (Lc 1, 38) et Tu as vécu toute ton existence comme un service. C'est ce que Tu continues à faire au cours des siècles de l'histoire. De même qu'autrefois, à Cana, Tu as intercédé silencieusement et avec discrétion pour les époux, Tu agis toujours ainsi : Tu te charges de toutes les préoccupations des hommes et Tu les apportes devant le Seigneur, devant ton Fils. Ton pouvoir est la bonté. Ton pouvoir est le service.
Enseigne-nous - grands et petits, dominateurs et serviteurs - à vivre notre responsabilité de cette manière. Aide-nous à trouver la force pour la réconciliation et pour le pardon. Aide-nous à devenir patients et humbles, mais également libres et courageux, comme Tu l'as été à l'heure de la Croix. Tu portes Jésus dans tes bras, l'Enfant qui bénit, l'Enfant qui est aussi le Seigneur du monde. De cette façon, en portant Celui qui bénit, tu es toi-même devenue une bénédiction. Bénis-nous, bénis cette ville et ce pays ! Montre-nous Jésus, le fruit béni de ton sein ! Prie pour nous pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen !

503

Ste Thérèse de l'Enfant Jésus

« Il ne faut pas faire attendre pour rendre service. »

033

saint Jean-Paul IIHomélie, Dimanche 15 août 2004, n. 4
Prairie de la Ribère (Lourdes)
Après le Magnificat vient le silence; rien n’est dit des trois mois de la présence de Marie aux côtés de sa cousine Élisabeth. Ou peut-être il nous est dit la chose la plus importante : le bien ne fait pas de bruit, la force de l’amour s’exprime dans la tranquille discrétion du service quotidien.

031

Bible - Nouveau Testament
1 Pierre 2, 13-19
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute institution humaine : soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Car c'est la volonté de Dieu qu'en faisant le bien vous fermiez la bouche à l'ignorance des insensés. Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde, aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le roi. Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c'est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement.

019

Ste Catherine de Sienne
Le Dialogue, chap. 136
Je suis le bon et parfait Médecin, qui connaît ce qui est nécessaire à votre faiblesse et ce qui est utile à votre salut ; je vous rendrai une santé parfaite et je vous la conserverai. Ma providence ne fera jamais défaut à celui qui voudra la recevoir et qui placera toute son espérance en moi. Celui qui espère en moi, qui frappe et qui appelle véritablement, non seulement avec la parole mais avec l'élan et la lumière d'une sainte foi, celui-là me goûte dans ma providence, mais non celui qui frappe et m'appelle en disant seulement : Seigneur, Seigneur.
Celui qui me cherche ainsi et me demande sans autre mérite, je ne le connaîtrai pas dans ma miséricorde, mais dans ma justice. Tu sais que l'homme ne peut espérer en deux choses opposées ; la Vérité incarnée a dit dans l'Evangile : "Nul ne peut servir deux maîtres, car, s'il en sert un, il méprisera l'autre" (S. Luc. XVI,13). On ne peut servir sans espérance : le serviteur qui sert son maître le fait dans l'espoir de lui plaire ou dans l'attente de quelque récompense, de quelque avantage. Il ne servira jamais l'ennemi de son maître, parce qu'il ne peut en retirer quelque profit, et parce qu'il perdrait même ce qu'il a droit d'attendre de celui dont il est le serviteur. Apprends, ma fille bien-aimée, qu'il en arrive ainsi pour l'âme.

015

Concile Vatican II
Gaudium et spes, n. 31, §3
...pour que tous le citoyens soient poussés à participer à la vie des différents groupes qui constituent le corps social, il faut qu’ils trouvent en ceux-ci [les pouvoirs publics] des valeurs qui les attirent et qui les disposent à se mettre au service de leurs semblables. On peut légitimement penser que l’avenir est entre les mains de ceux qui auront su donner aux générations de demain des raisons de vivre et d’espérer.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)