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Marthe Robin
(« Préparation de la Pâque », p.112)

"Faites ceci en mémoire de moi" : Maintenant, la terre ne sera plus jamais sans autels... L'Eglise ne sera plus jamais sans prêtres... Et partout et toujours le corps et le sang du Christ seront offerts à Dieu en sacrifice d'adoration, de louange, d'amour, de reconnaissance et d'expiation…



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Marthe Robin

(« Chemin de Croix » éd. Les Foyers de Charité)

« Seigneur Jésus, venez aussi reposer en moi, venez y reposer et y opérer des œuvres de résurrection et de vie spirituelle, des œuvres de grâce et de vie divine ! Je veux vous garder en moi, oui, bien vivant, toujours, mais dans la paix et le silence de l’oraison, dans l’amour et la vie toute cachée en vous, dans la louange de la Trinité. »



701

Marthe Robin
(« Journal », 2 février 1930)

𝘓𝘖𝘜𝘈𝘕𝘎𝘌 À 𝘓𝘈 𝘝𝘐𝘌𝘙𝘎𝘌 𝘔𝘈𝘙𝘐𝘌
« Prier Marie, l’aimer, l’imiter en silence
Vivre auprès d’elle, appuyer sur son Cœur,
Mettre en ses mains bénies, ma filiale confiance
C’est là ma paix, ma joie et mon honneur.
Ô Vierge Sainte, ô blanche Souveraine,
Mon âme aimante, en vous s’épanche à flots.
J’irai au ciel, vers vous, Mère que j’aime
Ah ! que ne puis-je y aller aussitôt !
Quand je contemple votre éclatant visage,
Vos traits si doux, vos regards maternels,
Ah ! je voudrais dépeindre mon extase.
Divine aurore, ô beau lys immortel,
Reine des cieux, si bonne et la plus pure,
Les séraphins, pour vous, brûlent d’amour.
J’irai au ciel vous chérir sans mesure
Ah, je voudrais y aller en ce jour !
Vos suaves tendresses, ô divine Marie,
Me font, dès cet exil, respirer l’air du ciel.
Ces sublimes instants comblent mon âme ravie,
Quand pourrai-je les vivre au séjour éternel ?
Sous vos douces caresses, tout mon être palpite...
Rose mystique, Mère admirable, ô pur miroir,
J’irai au ciel vous aimer sans limite.
Ah ! que ne puis-je y aller dès ce soir ! »


687


Marthe Robin 


(« Journal », 1er janvier 1931)

« Ne rien regretter de ce qui a été ou pas été ; rien n’est inutile, tout sert à quelque chose. Je bénis et bénirai mon Dieu de tout ce que je suis, de tout ce que j’ai fait ou plutôt de tout ce qu’il a fait par moi... pour moi. »


461

Bible - Ancien Testament
Isaïe 60, 1-6
Lève-toi, Jérusalem, et resplendis ! Car ta lumière paraît, et la gloire du Seigneur s'est levée sur toi. Voici que les ténèbres couvrent la terre, et une sombre obscurité les peuples ; mais sur toi Yahweh se lève, et sa gloire se manifeste sur toi.
Les nations marchent vers ta lumière, et les rois vers la clarté de ton lever. Lève tes regards autour de toi, et vois : Tous se rassemblent, ils viennent à toi ; tes fils viennent de loin, et tes filles sont portées sur les bras.
Tu le verras alors, et tu seras radieuse ; ton cœur tressaillira et se dilatera ; car les richesses de la mer se dirigeront vers toi, les trésors des nations viendront à toi. Des multitudes de chameaux te couvriront, les dromadaires de Madian et d'Epha ; tous ceux de Saba viendront, ils apporteront de l'or et de l'encens, et publieront les louanges de Yahweh.

429

5 septembre : 10ème anniversaire du départ au ciel de Mère Teresa
saint Jean-Paul II
Homélie 19 octobre 2003, n° 5-6 (lors de la béatification de Mère Teresa de Calcutta)
Le Fils de l'homme est venu pour servir et donner sa vie en rançon pour une multitude (cf. Mc 10, 45). Mère Teresa a partagé la passion du Crucifié, de manière particulière au cours de longues années d'obscurité intérieure. Ce fut une épreuve parfois lancinante, accueillie comme un don et un privilègesinguliers.
Lors des heures les plus sombres, elle s'accrochait avec plus de ténacité à la prière devant le Saint-Sacrement. Ce dur travail spirituel l'a conduite à s'identifier toujours plus avec ceux qu'elle servait chaque jour, faisant l'expérience de leur peine et parfois même du rejet. Elle aimait répéter que la plus grande pauvreté est celle d'être indésirables, de n'avoir personne qui prenne soin de soi.
Seigneur, donne-nous ta grâce, en Toi nous espérons ! Combien de fois, comme le Psalmiste, Mère Teresa a elle aussi répété à son Seigneur, dans les moments de désespoir intérieur : En Toi, en Toi j'espère, mon Dieu !
Rendons louange à cette petite femme qui aimait Dieu, humble messagère de l'Évangile et inlassable bienfaitrice de l'humanité. Nous honorons en elle l'une des personnalités les plus importantes de notre époque. Accueillons-en le message et suivons-en l'exemple.

410

Benoît XVI
Angelus, dimanche 17 juillet 2005 (Les Combes, Val d'Aoste)
Les vacances sont, en outre, des jours pendant lesquels on peut se consacrer plus longuement à la prière, à la lecture et à la méditation sur les significations profondes de la vie, dans le cadre serein de sa famille et de ses proches. Le temps des vacances offre des opportunités uniques de s'arrêter devant les spectacles suggestifs de la nature, merveilleux "livre" à la portée de tous, grands et petits. Au contact de la nature, la personne retrouve sa juste dimension, elle redécouvre qu'elle est une créature, petite mais dans le même temps unique, en mesure "d'accueillir Dieu" car intérieurement ouverte à l'infini. Poussée par la demande de sens, qui est pressante dans son cœur, celle-ci perçoit dans le monde environnant l'empreinte de la bonté, de la beauté et de la providence divine et elle s'ouvre presque naturellement à la louange et à la prière.

281

St Augustin
Lettre 118, 22
Je ne voudrais pas que, pour aller à la vérité, vous cherchiez d'autres voies que les voies ouvertes par Celui qui, étant Dieu, a vu la faiblesse de nos pas. La première de ces voies c'est l'humilité ; la seconde, l'humilité ; la troisième, l'humilité ; toutes les fois que vous m'interrogerez, je vous répondrai la même chose. Ce n'est pas qu'il n'y ait d'autres préceptes ; mais si l'humilité ne précède, n'accompagne et ne suit tout ce que nous faisons de bien ; si elle n'est pas comme un but vers lequel se portent nos regards, si elle n'est pas près de nous pour que nous nous attachions à elle, et au-dessus de nous pour nous réprimer dans la satisfaction de quelque bonne action, l'orgueil nous arrache tout de la main. Les autres vices naissent des péchés ; l'orgueil est redoutable dans le bien même : ce qu'on a fait de louable est perdu par le désir de la louange. De même donc qu'un illustre orateur, à qui on demandait quel était le premier précepte à observer dans l'éloquence, répondit que c'était la prononciation ; interrogé sur le second précepte, il répondit encore : la prononciation ; et comme on lui demandait quel était le troisième, il dit qu'il n'y en avait pas d'autre que la prononciation ; ainsi chaque fois que vous m'interrogerez sur les préceptes de la religion chrétienne, je voudrais répondre qu'il n'y en a pas d'autre que l'humilité.

259

Michel Gasnier
Les silences de saint Joseph, chap. 26
1er dimanche de St Joseph
Les chrétiens qui se plaisent à contempler le mystère de Joseph découvrent dans sa vie comme dans celle de Marie une série de sept douleurs et de sept allégresses..., par le moyen desquelles Dieu a buriné son âme.
La première indicible angoisse lui était venue lorsqu'il avait aperçu chez sa fiancée les signes d'une prochaine maternité.Son cœur s'etait déchiré de devoir se séparer d'elle. Mais quand l'ange l'avait rassuré en lui annonçant que la fécondité de Marie était l'ouvrage de l'Esprit Saint, l'affreux cauchemar s'était métamorphosé en un chant de louange et en un redoublement de respect et de tendresse.

193

St Augustin
Confessions, 1, 1
« Tu es grand, Seigneur, et infiniment louable (Ps, CXLIV, 3) ; grande est ta puissance, et il s n’est point de mesure à ta sagesse (Ps. CXLVI, 5). » Et c’est Toi que l’homme veut louer, chétive partie de ta création, être de boue, promenant sa mortalité, et par elle le témoignage de son péché, et la preuve éloquente que Tu résistes, Dieu que Tu es, aux superbes (I Petr. V, 5) ! Et pourtant il veut te louer, cet homme, chétive partie de ta création ! Tu l’excites à se complaire dans tes louanges ; car Tu nous as faits pour Toi, Seigneur, et notre coeur est inquiet jusqu'à ce qu'il repose en Toi.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)