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1546

     Marcel Van
(Prière pour la France)
« Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l’étreindre dans ton amour et lui en montrer toute la tendresse. Fais que, remplie d’amour pour Toi, elle contribue à Te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l’engagement de Te rester fidèles et de travailler d’un cœur ardent à répandre ton règne dans tout l’univers. »

1489

   Saint Jean Chrysostome 
« Respirez à la hauteur de votre dignité, mes bien-aimés ! On vous appelle fidèles, vivez la fidélité. Ne vous mêlez pas à la promiscuité de la foule des mauvais chrétiens. Écoutez ce que je vous dis : Soyez grain et non pas paille. Regardez les bons, suivez leur exemple. Qui se ressemble s'assemble ! »

1462

     Saint Jean Chrysostome
(2ème catéchèse aux catéchumènes - paragraphe 2)
"Voulez-vous savoir comment il est votre table? Comme je vis pour mon Père, dit-il, ainsi celui qui me mange vivra pour moi. N'est-il pas aussi votre demeure? Celui qui mange ma chair demeure en moi et je demeure en lui. (Jean, VI, 57, 58.) Puis il est votre racine: Je suis la vigne et vous en êtes les branches. A se nomme également votre frère, votre ami, votre époux. Je ne vous appellerai plus mes serviteurs, car vous êtes mes amis. (Jean, XV, 5, 15.) Ecoutez saint Paul: Je vous ai fiancés à votre unique époux pour vous présenter comme une vierge sans tache à Jésus-Christ. (II Cor. XI, 2.) Et encore : Afin qu'il soit lui-même le premier-né entre beaucoup de frères. (Rom. VIII, 29.) Il n'est pas même satisfait du nom de frères, nous sommes ses petits enfants : Me voici avec les petits enfants que Dieu m'a donnés. (Isaïe, VIII, 18.) Il va plus loin; nous sommes ses membres et son corps (I Cor. XII, 27) ; et comme si toutes ces grâces ne suffisaient pas pour nous convaincre de sa bonté et de son amour,il nous en donne encore une preuve et plus forte et plus touchante: il s'appelle notre tête. (Ephés. I, 22.)"

1319

  Saint Claude la Colombière (1641-1682)

 (Méditation sur la Passion)

"Il n'y a que vous, ô mon Dieu, qui soyez capable d'aimer ainsi ; on ne trouve rien de pareil parmi les hommes : on aime son plaisir, son intérêt, on aime ce qui est aimable, ou du moins ce qu'on croit aimable ; et vous, vous aimez des personnes odieuses, des personnes dont vous connaissez les vices.
Ô mon divin Sauveur, quand vous ne seriez pas aussi aimable que vous l'êtes, un amour aussi grand que le vôtre mériterait tout le mien : d'où vient donc que je vous aime si peu, quoique vous soyez si parfait, si accompli, quoique vous soyez si grand, si éclairé, si sage, si bon, si bienfaisant, si fidèle, si libéral envers vos amis, envers même vos ennemis ? "

1304

  Pape François 

( 13 octobre 2013, messe pour la journée mariale.)

"Suis-je un chrétien ’par à-coups’, ou suis-je un chrétien toujours ? La culture du provisoire pénètre aussi dans la vie de la foi. Dieu nous demande de lui être fidèles"

1273

  sainte Thérèse d'Avila (1515-1582)

« Je tâchais autant que possible de vivre en gardant en moi la présence de Jésus-Christ, notre Bien et Seigneur, et c’était là mon mode d’oraison. »

1237

Jean François de Reims (†1660) 

(la vraie perfection)

   "Si la tentation vous presse de prés, courrez promptement à cette Bonté Paternelle, si présente en vous, par une conversion amoureuse, comme ferait un enfant qui s'irait jeter entre les bras de son père à la vue de quelque chose qui l'épouvanterait."

1236

 Charles Gay (1815-1892) 

(124ème Élévation)

"Ce qui importe ici, c'est moins de lutter contre satan, que d'adhérer de toutes ses forces à Celui qu'il attaque en nous et qui sait toujours comme le vaincre. C'est demeurer invariablement en Jésus, c'est de vivre et d'être continuellement en Jésus qui ous fait communier à sa force et triompher de "l'adversaire" : de sorte que le grand secret pour combattre le Mal, c'est d'être fidèlement, amoureusement et pleinement unie au bien." 

1213

Esprit Valentin Fléchier (1632-1710)

(Sermon du 19 mars 1682)

Saint Joseph, homme du jeûne, de la sobriété et de la discrétion :
"Quoiqu'il comptât des rois pour ses ancêtres, et qu'il descendit de ces souverains que Dieu lui-même avait mis sur le trône, il se vit sans chagrin dans une condition basse et cachée, et ne demanda point de sortir de la voie qui lui avait été marquée. Il fut, sans murmurer, tributaire de ceux dont, par le droit de sa naissance, il aurait pu prétendre d'être le maître. La pauvreté ne lui parut pas honteuse, quand c'était Dieu qui l'avait permise. Il était convenable qu'il portât la ressemblance d'un Dieu infirme et humilié, dont il devait être regardé comme le gouverneur et le père. Comme il devait servir à cacher le mystère de l'Incarnation jusqu'au temps qu'il fallut le manifester au monde, il fallait qu'il fût caché dans l'obscurité de sa condition, et qu'il devint lui-même comme un mystère de la Providence." 

1209  

Bx Columba Marmion (1858-1923)

(Le Christ, Vie de l'âme)


Quand nous sommes fidèles à consacrer chaque jour un temps plus ou moins long, suivant nos aptitudes et nos devoirs d'état, à nous entretenir avec notre Père céleste, à recueillir ces inspirations et à écouter ces "rappels" de l'Esprit, alors les paroles du Christ, les "Verba Verbi (les paroles de Celui qui est Parole) comme les nomme saint Augustin, vont se multipliant, inondant l'âme de Lumière divine, et ouvrant en elle, pour qu'elle puisse toujours s'y abreuver, des sources de Vie. Ainsi se réalise la promesse du Christ Jésus : "Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive ; celui qui croit en moi, de son sein couleront des sources d'Eau Vive". Et, ajoute saint Jean, "Il disait cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croient en Lui." (Jn 7, 37-38)
"L'âme, en retour, traduit constamment ses sentiments en actes de foi, de repentir, de confiance, d'amour, de complaisance, d'abandon à la volonté du Père céleste ; elle se meut comme dans une atmosphère qui l'entretient de plus en plus dans l'union avec Dieu ; l'oraison devient comme sa respiration, sa vie ; l'âme est remplie de l'esprit d'oraison. L'oraison devient alors un état, et l'âme peut trouver son Dieu quand elle veut, même au milieu de toutes ses occupations.
Les moments que, dans la journée, l'âme consacre exclusivement à l'exercice formel de l'oraison ne sont que l'intensification de cet état, dans lequel elle reste habituellement, mais doucement, unie à Dieu, pour lui parler intérieurement et écouter elle-même la Voix d'en haut.
Cet état est plus que la simple Présence de Dieu ; c'est un entretien intérieur, plein d'amour dans lequel l'âme parle à Dieu, parfois des lèvres, le plus souvent du coeur, et lui reste intimement unie, en dépit de la variété des travaux et des occupations de la journée; Il y a bien des âmes simples et droites, qui, fidèles à l'attrait du Saint-Esprit, arrivent à cet état si désirables." 

1208      

saint François de Sales (1567-1622)

(Vrais Entretiens spirituels)

"Il faut avoir une grande détermination de n'abandonner jamais l'oraison, pour aucune difficulté qui s'y puisse rencontrer, et d'y aller sans aucune préoccupation ni désirs d'y être consolé et satisfait ; car c'est une chose certaine que notre oraison ne sera pas moins agréable à Dieu, ni à nous moins utile, pour être faite avec plus de difficulté."

1162

Ambroise de Lombez (1708-1778) -
Traité de la paix intérieure

“D’ailleurs, elles produisent toujours de bons effets dans les âmes fidèles : elles les humilient, elles excitent leur vigilance, elles exercent leur patience et leur courage, elles entretiennent leur ferveur en les ramenant souvent à Dieu, et les rendent compatissantes aux infirmités du prochain.

1159

pape François
"Carême pour tous - Hors série n°21 Ma Prière - 2019-année C"

"Mais en aucun cas, je n'accorde du prix à ma vie, pourvu que j'achève ma course et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus : rendre témoignage à l'Evangile de la grâce de Dieu (Ac 20, 24)

"Et ainsi Jésus nous enseigne que la conversion, la transformation du coeur et la réforme de l'Eglise sont et seront toujours d'un point de vue missionnaire, car cela présuppose que l'on cesse de voir et de rechercher ses propres intérêts pour regarder et rechercher les intérêts du Père. La conversion de nos péchés, de nos égoïsmes n'est pas et ne sera jamais une fin en soi, mais vise principalement à faire grandir dans la fidélité et dans la disponibilité pour embrasser la mission."


1157

pape François
"Carême pour tous - Hors série n°21 Ma Prière - 2019-année C"

Ainsi l'homme qui jeûne à cause de ses péchés, puis y retourne et recommence : qui écoutera sa prière ? A quoi lui aura servi sa pénitence ? (Si 34, 31)

"Apprendre à regarder dans la même direction que le Seigneur, à être là où le Seigneur désire que nous soyons, à convertir notre coeur en sa Présence. Pour cela la prière et la pénitence nous aideront. J'invite tout le saint peuple fidèle de Dieu à l'exercice pénitentiel de la prière et du jeûne, (...) pour réveiller notre conscience, notre solidarité et notre engagement en faveur d'une culture (...) du "jamais plus" à tout type et forme d'abus."

1148

Sainte Elisabeth de la Trinité
« Laisse-toi aimer plus que ceux-ci, c’est ta vocation, c’est en y étant fidèle que tu me rendras heureux. »

1046

saint Léon le Grand

Semaine Sainte 

« Adorons, prosternés de corps et d'âme, la grâce de Dieu répandue sur toutes les nations ; prions le Père miséricordieux et le Rédempteur riche en bienfaits (cf. Ep II,4), de faire qu'avec leur secours nous puissions, jour après jour, échapper à tous les dangers de cette vie. Le rusé tentateur est, en effet, partout présent, et ne permet que rien demeure exempt de ses pièges. Il faut lui résister fidèlement et persévéramment, avec l'aide de la miséricorde divine qui nous est offerte au milieu de nos adversités : ainsi, bien qu'il ne cesse jamais ses attaques, il ne trouvera personne qu'il puisse vraincre. 
Faisons tous notre profit, bien-aimés, des jeûnes pieusement célébrés et que la bienfaisante abstinence, utile, comme nous l'avons éprouvé, et pour l'âme, et pour le corps, ne soit viciée par aucun excès. Nous célébrons, en effet, avec plus d'application en ces jours tout ce qui concerne la sobriété et l'abstinence, afin qu'une courte pratique les fasse passer en une longue habitude ; que l'on se consacre aux oeuvres de miséricorde, ou que l'on s'applique à la modération dans la nourriture, qu'il n'y ait pas de temps perdu pour les fidèles ; car, tandis que les jours s'ajoutent aux jours et que le temps s'écoule, nous devons accumuler les gains de nos bonnes oeuvres, et non pas perdre nos mérites. Puisse la miséricorde de Dieu seconder nos pieux efforts et nos religieux désirs en nous faisant obtenir ce qu'il nous fait convoiter. »

Saint Léon le GrandSermon XVII sur la Passion, in Sermons tome III, SC 74, Editions du Cerf, Paris, 1961.

1042

sainte Elisabeth de la Trinité

La confiance

Consentir, quelle que soit l'épaisseur des ténèbres, à l'Amour inouï de Dieu. Accepter de se laisser aimer, de croire davantage à la puissance de cet Amour qu'à celle de nos péchés.
« Mère vénérée... quand même vous n'auriez rien fait pour attirer cette grâce sinon ce que fait la créature : œuvres de péchés et de misères (...) Il vous aime ainsi (...) Il fera tout en vous. » « Aux heures où vous ne sentirez que l'écrasement, la lassitude, vous Lui plairez encore si vous êtes fidèle à croire qu'Il opère encore, qu'Il vous aime quand même. »

1037


sainte Elisabeth de la Trinité
(1880-1906) 

Réconciliation (laisse-toi aimer 2)

 Dieu est toujours prêt au pardon et ne se lasse jamais de l'offrir de façon toujours nouvelle et inattendue :
« Ecoutez ce que le Maître vous dit : Laisse-toi aimer plus que ceux-ci ! C'est-à-dire sans craindre qu'aucun obstacle n'y soit obstacle, car je suis libre d'épancher mon amour en qui il me plaît ! "Laisse-toi aimer plus que ceux-ci", c'est ta vocation, c'est en y étant fidèle que tu me rendras heureux, car tu magnifieras la puissance de mon amour. Cet amour saura refaire ce que tu aurais défait… »

1006

Marthe Robin - (1902-1981)
Marthe Robin (1902-1981)
26 novembre 1930
"Ô Jésus ! je compte sur vous, parce que je me confie en vous, je m'abandonne à vous. Ô Coeur d'amour, je crains tout de ma faiblesse, mais j'espère tout de votre puissance. Un Dieu ne peut abandonner le faible ouvrage de ses mains ; un père ne peut oublier son enfant, un sauveur ne peut laisser perdre le prix de son sang. 
Jésus, mon Dieu, soyez en mon âme un gardien fidèle... un puissant défenseur. Soutenez ma faiblesse dans les adversités ; gardez mon âme contre toutes pensées mauvaises qui pourraient l'effleurer ; je vous en supplie, Seigneur."

1004

Marthe Robin - (1902-1981)
20 février 1932
" J'ai toujours compté, mais plus maintenant que jamais, sur la toute miséricordieuse puissance de Jésus qui jamais, jamais n'a déçu l'espérance illimitée que j'ai mise en son amour. Je compte sur Lui sans cesse, assurée que s'Il me trouve chaque jour fidèle au degré d'humilité et d'amour où Il me veut, Il me sera lui-même très fidèle jusqu'à la fin."

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)