Affichage des articles dont le libellé est Faiblesse. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Faiblesse. Afficher tous les articles

1054

Pape François 

Gaudete et exsultate (paragraphe 107)

« Qui désire réellement se sanctifier… »
« Celui qui veut vraiment rendre gloire à Dieu par sa vie, celui qui désire réellement se sanctifier pour que son existence glorifie le Saint, est appelé à se consacrer, à s’employer, et à s’évertuer à essayer de vivre les oeuvres de miséricorde. C’est ce qu’a parfaitement compris sainte Teresa de Calcutta : « Oui, j’ai beaucoup de faiblesses humaines, beaucoup de misères humaines […] Mais il s’abaisse et il se sert de nous, de vous et de moi, pour que nous soyons son amour et sa compassion dans le monde, malgré nos péchés, malgré nos misères et nos défauts. Il dépend de nous pour aimer le monde, et lui prouver à quel point il l’aime. Si nous nous occupons trop de nous-mêmes, nous n’aurons plus de temps pour les autres » 

1051

Pape François 

Gaudete et exsultate (paragraphe 61)

« Le visage du Père et celui du frère »
 « Dans l’épaisse forêt de préceptes et de prescriptions, Jésus ouvre une brèche qui permet de distinguer deux visages : celui du Père et celui du frère. Il ne nous offre pas deux formules ou deux préceptes de plus. Il nous offre deux visages, ou mieux, un seul, celui de Dieu qui se reflète dans beaucoup d’autres. Car en chaque frère, spécialement le plus petit, fragile, sans défense et en celui qui est dans le besoin, se trouve présente l’image même de Dieu. En effet, avec cette humanité vulnérable considérée comme déchet, à la fin des temps, le Seigneur façonnera sa dernière œuvre d’art. Car « qu’est-ce qui reste, qu’est-ce qui a de la valeur dans la vie, quelles richesses ne s’évanouissent pas ? Sûrement deux : le Seigneur et le prochain. Ces deux richesses ne s’évanouissent pas » (homélie du 13 novembre 2016) » 

1035

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)

Offre de salut (lettre 252)

« Vous souvenez-vous de ce beau défi de l'Apôtre : "Qui me séparera de la charité du Christ ?" Ah ! c'est qu'il avait sondé le Cœur de son Maître, il savait quels trésors de miséricorde y étaient enfermés, et dans l'élan de sa confiance il s'écriait : "Je me glorifie dans mes infirmités, car lorsque je suis faible la force de Jésus-Christ habite en moi". »

1034

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)

Visage de miséricorde (lettre 24)

Jésus de Sainte Faustine
« Ne vous laissez jamais abattre par la pensée de vos misères. Le grand saint Paul dit : "Où le péché abonde, la grâce surabonde." Il me semble que l'âme la plus faible, même la plus coupable, est celle qui a le plus lieu d'espérer, et cet acte qu'elle fait pour s'oublier et se jeter dans les bras de Dieu le glorifie et lui donne plus de joie que tous les retours sur elle-même et tous les examens, qui la font vivre avec ses infirmités, tandis qu'elle possède au centre d'elle-même un Sauveur qui veut à toute minute la purifier. »

1032

sainte Elisabeth de la Trinité (1880-1906)
lettre 172
« Il est Sauveur, sa mission est de pardonner… faisons-nous toutes petites, nous laissant porter, comme l'enfant dans les bras de sa mère, par Celui qui est notre Tout. Oui, nous sommes bien faibles, mais Il le sait bien, Il aime tant nous pardonner, nous relever, puis nous emporter en Lui, nous relever, puis nous emporter en Lui, en sa pureté, en sa sainteté infinies… »


1006

Marthe Robin - (1902-1981)
Marthe Robin (1902-1981)
26 novembre 1930
"Ô Jésus ! je compte sur vous, parce que je me confie en vous, je m'abandonne à vous. Ô Coeur d'amour, je crains tout de ma faiblesse, mais j'espère tout de votre puissance. Un Dieu ne peut abandonner le faible ouvrage de ses mains ; un père ne peut oublier son enfant, un sauveur ne peut laisser perdre le prix de son sang. 
Jésus, mon Dieu, soyez en mon âme un gardien fidèle... un puissant défenseur. Soutenez ma faiblesse dans les adversités ; gardez mon âme contre toutes pensées mauvaises qui pourraient l'effleurer ; je vous en supplie, Seigneur."

976

Benoît XVI - (13 juin 2012)

« Dans la mesure où notre union avec le Seigneur croît et où notre prière se fait intense, nous aussi nous allons à l’essentiel et nous comprenons que n’est pas la puissance de nos moyens, de nos vertus, de nos capacités qui réalise le Royaume de Dieu, mais que c’est Dieu qui opère des merveilles précisément à travers notre faiblesse, notre inaptitude à la tâche. Nous devons donc avoir l’humilité de ne pas nous reposer sur nos seules forces, mais de travailler, avec l’aide du Seigneur, dans la vigne du Seigneur, en nous confiant à Lui comme de fragiles « vases d’argile ». « Dans un monde où nous risquons de nous fier uniquement à l’efficacité et à la puissance des moyens humains, dans ce monde nous sommes appelés à redécouvrir et à témoigner de la puissance de Dieu qui se communique dans la prière, avec laquelle nous grandissons chaque jour en configurant notre vie à celle du Christ, qui - comme l’affirme Paul - a été crucifié à cause de sa faiblesse, mais il est vivant à cause de la puissance de Dieu. Et nous, nous sommes faibles en union avec lui. Mais nous serons bien Vivants avec lui à cause de la puissance de Dieu à votre égard » (2 Co 13, 4)
» 

970

de saint Ignace de Loyola (1491-1556) 
Lettre du 17/11/1555
"Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiets de tout, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir.
L’anxiété et l’inquiétude de l’esprit ne plaisent point à Dieu. Le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance ; il veut nous voir croire que sa bonté peut suppléer à l’imperfection de nos moyens.
Ceux qui se chargent d’affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s’affliger s’ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient. A condition toutefois qu’ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience.
Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s’armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire : Il ne veut pas davantage que l’homme s’afflige de ses limites. Pourvu que l’on donne satisfaction à Dieu,- ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes – il n’est pas nécessaire de se fatiguer outre mesure.
Bien plus, lorsqu’on s’est efforcé d’agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à celui qui a le pouvoir d’accomplir tout ce qu’il veut. "
Plaise à la divine Bonté de nous communiquer toujours la lumière de la Sagesse, pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir, en nous et dans les autres… pour que nous acceptions de sa main ce qu’il nous envoie, en faisant cas de ce qui a le plus d’importance : la patience, l’humilité, l’obéissance et la charité…
Que Jésus Christ soit seulement en nos âmes avec ses dons spirituels ! Amen. "

L’image contient peut-être : 1 personne, gros plan

792

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face (1873-1897)

« Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est Juste, c’est-à-dire qu’Il tient compte de nos faiblesses, qu’Il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? » (MS, A 83)

824

saint François de Sales

« Bienheureux les coeurs pliables, car ils ne rompront jamais! » (Entretiens, I)

Les durcissements ou la dureté avec laquelle il arrive que des chrétiens affrontent certaines contradictions et contrariétés, évènements, souffrances, oppositions ou encore épreuves, sont finalement bien plus révélateurs de fragilité et de faiblesse que de vertu et d’intelligence, tandis que la souplesse et la capacité d’adaptation aux circonstances révèlent au contraire une attitude qui découle réellement de l’action du Saint-Esprit dans une âme (cf. Gal 5, 22).

693


Marthe Robin 

(« Journal », 19 janvier 1931)

« Nul ne donne sa mesure par un autre ; il faut donner par soi avec l’aide de Dieu.
Dieu veut de nous de la volonté dans la faiblesse, du renoncement dans le besoin, de l'amour dans nos douleurs, de la patience dans l'adversité.  »


676

saint Maximilien-Marie KOLBE (1894-1941) prêtre et martyr

"Chers enfants, dans les difficultés, les ténèbres, les faiblesses, les découragements, rappelons-nous que le Paradis ... est en train de s'approcher. Courage ! Marie nous attend au Ciel pour nous serrer contre son Cœur. En outre, n'écoute pas le diable s'il veut te faire croire que le Paradis n'existe pas pour toi. Même si tu avais commis tous les péchés possibles, un seul acte d'amour parfait laverait tout au point qu'aucune ombre ne subsisterait."

551

Saint Ignace de Loyola(1491-1556)
Prêtre et fondateur de la « Compagnie de Jésus » (Jésuites)
Lettre du 17/11/1555



« Faire avec calme ce que l'on peut », disait saint Ignace.

Voici un extrait de lettre écrite par saint Ignace de Loyola.
« Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiets de tout, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir. L’anxiété et l’inquiétude de l’esprit ne plaisent point à Dieu.

Le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance; il veut nous voir croire que sa bonté peut suppléer à l’imperfection de nos moyens. Ceux qui se chargent d’affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s’affliger s’ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient. À condition toutefois qu’ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience.

Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s’armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire : Il ne veut pas davantage que l’homme s’afflige de ses limites. Pourvu que l’on donne satisfaction à Dieu – ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes – il n’est pas nécessaire de se fatiguer outre mesure. Bien plus, lorsque l’on s’est efforcé d’agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à celui qui a le pouvoir d’accomplir tout ce qu’il veut.

Plaise à la divine Bonté de nous communiquer toujours la lumière de la Sagesse, pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir, en nous et dans les autres, pour que nous acceptions de sa main ce qu’il nous envoie, en faisant cas de ce qui a le plus d’importance : la patience, l’humilité, l’obéissance et la charité… Que Jésus Christ soit seulement en nos âmes avec ses dons spirituels! Amen. »

Saint Ignace de Loyola (1491-1556) – 

@QuestionsdeFoi

544

Marthe Robin (1902-1981)

Marthe n'ignore pas que l'être humain puisse être corrompu par le mal, mais elle voit surtout, au-delà de ce mal, l'extraordinaire Miséricorde de Dieu :
"Ô mon Jésus, que de péchés ! 
Mais votre miséricorde est infinie."
Ses paroles vont plus loin qu'une simple invitation à l'optimisme. Marthe entraîne dans un mouvement de confiance et d'espérance qui s'enracine dans la certitude que Dieu est le Maître de l'impossible et qu'il peut triompher du mal le plus grand :
"Les miséricordes de Dieu surpassent toutes ses œuvres, et c'est avec les plus grandes misères humaines qu'il opère ses plus beaux chefs d'œuvre d'amour."


440

St Jérôme
Lettre à un malade, §1
Je suis persuadé que vous n'avez pas besoin de la consolation des autres, puisque la force de votre esprit soutient la faiblesse d'un corps abattu et exténué. Cependant l'on cherche et l'on désire naturellement des secours dans l'adversité, des remèdes dans la maladie, des consolations dans l'inquiétude et une planche dans le naufrage. La consolation que reçoit un frère de son frère est sans doute un des plus puissants remèdes, et la satisfaction que l'on retire des paroles et de la douceur de l'entretien apporte du soulagement aux personnes accablées. Quoiqu'elle n'agisse sur aucune des parties du corps, néanmoins elle rétablit intérieurement un homme par une vertu secrète ; elle rend la santé comme un médecin, et aide les forces naturelles à résister à la violence de la douleur. C'est pourquoi il est écrit : Un frère sera élevé pour avoir assisté son frère.

423

St Jean Cassien
Collationes Vl, XVII
Ne pensez pas que ceux qui se perdent sont victimes d'un échec subit ; chacun d'eux s'est égaré au début de son parcours, ou a négligé son âme pendant longtemps, si bien que la force de ses vertus s'étant affaiblie progressivement, et celle des vices ayant au contraire grandi petit a petit, il s'est lamentablement effondré... Une maison ne s'écroule pas d'un seul coup à la suite d'un accident imprévisible : ou bien ses fondations étaient déjà défectueuses, ou bien l'incurie de ceux qui y habitaient s'est prolongée trop longtemps, de sorte que les détériorations, très petites au début, ont attaqué progressivement la solidité de la charpente ; du coup, quand l'orage est survenu ou que les pluies torrentielles ont redoublé, la maison s'est irrémédiablement effondrée, mettant en évidence que la négligence venait de loin.

403

St Jean de la Croix
Sentences spirituelles, 4
Il vaut mieux être chargé de peines en la compagnie de celui qui a de grandes forces, que déchargé de souffrances en la compagnie de celui qui a beaucoup de faiblesse. Lorsque vous souffrez, vous êtes proche de Dieu, qui est votre force, car il est près de ceux qui ont le cœur affligé (Ps XXXIII, 19). Mais lorsque vous êtes exempt de croix, vous êtes très-proche de vous-même, qui êtes votre propre faiblesse, parce que la vertu et la force de l'âme s'augmentent et s'affermissent dans les afflictions les plus dures.

1500

Professeur Jérôme Lejeune

"Il faut dire clairement les choses : la qualité d'une civilisation se mesure au respect qu'elle porte au plus faible de ses membres. Il n'y a pas d'autre critère de jugement."


386

Bible - Ancien Testament
Isaïe 41, 10-13
Ne crains point, car, je suis avec toi ; ne regarde pas avec inquiétude, car je suis ton Dieu ; je t'ai saisi fortement, et je t'aide, et je te soutiens par la droite de ma justice.
Voici qu'ils seront confondus et couverts de honte ; tous ceux qui sont enflammés contre toi ; ils seront semblables au néant, ils périront, ceux qui disputent contre toi !
Tu les chercheras et tu ne les trouveras plus ; ceux qui te querellent ; ils seront semblables au néant, réduits à rien, ceux qui te font la guerre.
Car moi, Yahweh, ton Dieu, je te prends par la main droite, je le dis : "Ne crains point, c'est moi qui viens à ton aide."

362

Bible - Nouveau Testament
Romains 8, 26-28
De même aussi l'Esprit vient en aide à notre faiblesse, car nous ne savons pas ce que nous devons, selon nos besoins, demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même prie pour nous par des gémissements ineffables ; et celui qui sonde les cœurs connaît quels sont les désirs de l'Esprit ; il sait qu'il prie selon Dieu pour des saints.
Nous savons d'ailleurs que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son éternel dessein.

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)