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1592

     pape François 
(28 septembre 2019- rencontre avec les jeunes hébergés du centre social du père David de Oliveira Martins de Braga au Portugal)
"La clé pour ouvrir les cœurs à l’espérance dans l’avenir et pour comprendre le sens de sa propre existence. La clé, c’est le Christ qui marche à nos côtés et nous guide : «votre voyage vous porte à regarder ensemble vers l’avenir, et non pas vous regarder vous-mêmes, seuls. Comme l’enseigne saint Paul, “le présent et l’avenir sont à vous. Mais vous êtes au Christ et le Christ est à Dieu”. Vous êtes du Christ ! C’est le sens profond de votre histoire jusqu’à aujourd’hui, mais c’est surtout la clé pour affronter le futur. Soyez toujours du Christ dans la prière, dans le soin de vos frères et sœurs plus petits. N’ayez pas peur de participer à la révolution de la tendresse, à laquelle Il vous appelle. le Christ marche avec vous et vous guide".

1581

      pape François
(Message du pape François pour le XL Meeting pour l’amitié entre les peuples - 22 août 2019) 

LE SECRET DE LA VIE : fixer notre regard sur le visage de Jésus qui fait toutes choses nouvelles (cf Ap 21,1)
"Combien de personnes oubliées ont un besoin urgent de voir le visage du Seigneur pour pouvoir se retrouver elles-mêmes ! L’homme d’aujourd’hui vit souvent dans l’insécurité, marchant comme à tâtons, étranger à lui-même ; on dirait qu’il n’a plus de consistance, tant il est vrai qu’il se laisse facilement saisir par la peur.
Mais alors, quelle espérance peut-il y avoir dans ce monde ? Comment l’homme peut-il se retrouver lui-même et reprendre espoir ? Il ne peut le faire qu’à travers un raisonnement ou une stratégie.
Voilà alors le secret de la vie, celui qui nous fait sortir de l’anonymat : fixer notre regard sur le visage de Jésus et nous familiariser avec Lui. Regarder Jésus purifie la vue et nous prépare à tout regarder avec un regard neuf.
En rencontrant Jésus, en regardant le Fils de l’homme, les pauvres et les simples se retrouvent eux-mêmes, se sentent profondément aimés d’un amour sans mesure. "Voilà alors le secret de la vie, celui qui nous fait sortir de l’anonymat : fixer notre regard sur le visage de Jésus et nous familiariser avec Lui. Regarder Jésus purifie la vue et nous prépare à tout regarder avec un regard neuf.
En rencontrant Jésus, en regardant le Fils de l’homme, les pauvres et les simples se retrouvent eux-mêmes, se sentent profondément aimés d’un amour sans mesure. "

Pour lire l'intégralité du message : https://fr.zenit.org/articles/le-secret-de-la-vie-fixer-notre-regard-sur-le-visage-de-jesus/  
Icône installée dans le sanctuaire Sainte Marie Mère de Dieu
du Foyer de Charité de Chateauneuf de Galaure - Drôme/France.

1565

   pape François 
(Angélus 11/08/2019)


"Il nous est demandé de garder « les lampes allumées », pour être en mesure d’éclairer l’obscurité de la nuit. C’est-à-dire que nous sommes invités à vivre une foi authentique et mature, capable d’éclairer les nombreuses “nuits” de la vie. Nous le savons, nous avons tous vécu des jours qui étaient de vraies nuits spirituelles. La lampe de la foi demande d’être nourrie en continu, par la rencontre Cœur à cœur avec Jésus dans la prière et dans l’écoute de sa Parole. "

1460

     Saint Jean Chrysostome
 (2ème catéchèse aux catéchumènes - paragraphe 1)
"O vous donc, qui avez reçu nos paroles et les avez mises en pratique, persévérez et avancez ! et vous qui n'avez point encore mis la main à l'oeuvre, commencez dès maintenant, et qu'à l'avenir vos efforts vous sauvent de l'accusation de négligence ! On peut toujours, si négligent qu'on ait été, on peut, avec de la diligence, réparer le temps perdu. Ecoutez le Psalmiste : Si aujourd'hui vous entendez sa voix, n'endurcissez pas vos coeurs comme au jour de la colère. (Ps. XCIV, 8.) C'est nous avertir et nous conseiller de ne (139) jamais désespérer, mais, tant que nous sommes en ce inonde, de conserver l'espérance que nous arriverons au but et que nous obtiendrons la palme de notre glorieuse vocation."

1422

    Simone Pacot 


l'évangélisation des profondeurs - (Reviens à la Vie, tome II ; Oser la vie nouvelle, tome III.)
Pour oser la vie nouvelle offerte par le Christ, il nous faut accepter nos limites, assumer la violence, la peur, la honte engendrées par nos blessures, accueillir la consolation après la plainte (la mise en mots de nos souffrances), vivre tous ces passages que Dieu veut nous faire traverser pour nous amener à accueillir la joie paisible de la vie du Ressuscité.
"On n’entendra plus parler de violence dans ton pays,
Ni de ravages ni de ruines dans tes frontières,
Tu appelleras tes remparts « Salut »,
et tes portes « Louange »
Ton soleil ne se couchera plus
Et ta lune ne disparaîtra plus
Car le Seigneur sera pour toi LUMIÈRE ÉTERNELLE, et les jours de ton deuil seront accomplis."(Isaïe 60, 18 ; 20)


1409

   pape François 

Regina Caeli de ce Dimanche 19 mai 2019
"Jésus ouvre toujours des horizons d’espérance, son amour ouvre des horizons d’espérances. Cet amour fait de nous de nouveaux hommes, frères et soeurs dans le Seigneur, et fait de nous le nouveau Peuple de Dieu, c’est-à-dire l’Église, dans laquelle tous sont appelés à aimer le Christ et en Lui à s’aimer mutuellement.
L’amour qui s’est manifesté dans la croix de Christ et qu’Il nous appelle à vivre est la seule force qui transforme notre cœur de pierre en cœur de chair; cet amour nous rend capables d’aimer nos ennemis et de pardonner à ceux qui nous ont offensés."
pape François ce Dimanche 19 mai 2019 


1383

 Etty Hillesum
(Extrait de son journal )
" Ici, une véritable maison de fous, De quoi nous faire honte pendant trois siècles encore..
" Si toute cette souffrance n'amène pas à un élargissement de l'horizon, à une plus grande humanité, qui fasse disparaître toutes les petitesses et futilités de cette vie, tout cela aura été pour rien...
" Utilise et dépense chaque instant de ce jour, et fais-en une journée fructueuse, une solide pierre de plus dans les fondations où les jours de misère et de peur qui sont à venir pourront trouver un peu d'appui...
" Donne-moi chaque jour une petite ligne de poésie, mon Dieu, et si jamais je ne peux pas la noter faute de papier ou de lumière, alors je la dirai tout doucement, le soir, à ton ciel immense. Mais donne-moi de temps en temps une petite ligne de poésie...
" Même dans un camp, il faut bien qu'il y ait un poète pour vivre en poète cette vie-là, oui, même cette vie-là, et pouvoir la chanter...
" Je voudrais être le cœur pensant de tout un camp de concentration...
" On est "chez soi". Partout sous le ciel, on est chez soi. En chaque lieu de cette terre, on est "chez soi", lorsque l'on porte tout en soi...
" Nous avons encore tellement à faire avec nous-mêmes que nous ne devrions même pas nous préoccuper de haïr ceux que nous appelons nos ennemis. Nous sommes déjà bien assez ennemis les uns des autres... "

1372

  Saint Pio de Pietrelcina

« Tu dois élever vers Lui les chants de louange et de l’espérance, même et surtout quand tu es triste ou dépressif, ou que tu tombes par fragilité, et le remercier chaleureusement des Biens dont Il te comble. »

1342

   pape François 

(Message pour la Journée mondiale des pauvres - 18 novembre 2018)

“Les pauvres nous évangélisent, en nous aidant à découvrir chaque jour la beauté de l’Evangile. Ne passons pas à côté de cette occasion de grâce. En ce jour, considérons-nous comme leurs débiteurs. Se tendre la main les uns et les autres, c’est vivre une rencontre de salut qui soutient la foi, rend effective la charité, donne l’espérance pour avancer sur le chemin où le Seigneur vient à notre rencontre”.

1294

  Pape François 

(15 août 2013, messe de l’Assomption à Castel Gandolfo.)

"Ne vous laissez pas voler l’espérance. Qu’on ne nous vole pas l’espérance, parce que cette force est une grâce, un don de Dieu qui nous porte en avant, en regardant le ciel"

1275

  sainte Thérèse d'Avila (1515-1582)

Lc 11,9 demandez cherchez frappez

Nous retrouvons Thérèse avec cette citation : V 8,5
« malgré les erreurs commises, celui qui a commencé à faire oraison ne doit pas y renoncer ; c’est le moyen pour lui de se guérir ; sans l’oraison, ce serait beaucoup plus difficile… Quant à ceux qui n’ont pas encore commencé, pour l’amour du Seigneur, je les conjure de ne pas se priver d’un si grand bien. Il ne s’agit pas de craindre mais de désirer… Si on persévère, je mets mon espérance en la miséricorde de Dieu, puisque nul ne l’a pris pour ami sans qu’il l’ait récompensé ; l’oraison mentale n’est rien d’autre, à mon avis, qu’un commerce d’amitié où on s’entretient souvent et intimement avec Celui dont nous savons qu’il nous aime. »

1218

Charles Gay (1815-1892) - 

Sermon du 3 août 1851

"En Jésus-Christ ressuscité, la nature humaine est déjà toute refaite, la mort est abattue, la vie a triomphé, l'âme a rejoint le corps, le corps a rejoint l'âme, et cela pour l'éternité. C'est assez : le principe est posé avec toutes ses conséquences. Le Chef vit ; les membres vivront. N'ont-ils pas commencé à vivre ?
Nous sommes déjà ressuscités en Jésus-Christ ;
nos âmes le sont, nos corps vont l'être.

Tressaille donc d'espoir et d'allégresse, ô ma chair, membre de Jésus-Christ, corps de Dieu ! Dieu t'aime comme soi-même. Tout en toi, jusqu'à tes cheveux, est sacré ; et , de ces cheveux de ta tête, il ne s'en perdra pas même un seul.
Rien ne périt pour Dieu ; rien ne se dérobe à son oeil infini ; rien ne sort de sa main ; et, nos restes fussent-ils dispersés au quatre coins du monde, les quatres coins du monde obéiront à Dieu quand viendra l'heure, et rendront fidèlement leurs débris. Nous nous retrouverons donc dans notre vérité, dans l'absolue identité de notre être spirituel et corporel, chacun demeurant absolument lui-même." 

1183

Saint Léon le Grand

sermon pour le 2ème Dimanche de Carême

"Puisque le Christ a accepté toute la faiblesse de notre pauvreté, si nous persévérons à le confesser et à l'aimer, nous sommes vainqueurs de ce qu'Il a vaincu et nous recevons ce qu'Il a promis. Qu'il s'agisse de pratiquer les commandements ou de supporter l'adversité, la voix du Père que nous avons entendue tout à l'heure doit retentir sans cesse à nos oreilles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j'ai mis tout mon amour ; écoutez-Le !"

 

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

1171

saint Cyprien (Traité sur la prière du Seigneur) 

"Les préceptes de l'Évangile, frères bien-aimés, ne sont pas autre chose que les enseignements du Maître divin. Ce sont les fondements sur lesquels bâtir l'espérance, les appuis pour consolider la foi, les aliments pour réconforter le cœur, les orientations pour diriger le voyage, les sauvegardes pour obtenir le salut. "

1057

Pape François, catéchèse du 12 avril 2017


L’espérance qui naît de la Croix

« Jésus a apporté dans le monde une espérance nouvelle et il l’a fait à la manière de la graine : il s’est fait tout petit, comme un grain de blé ; il a laissé sa gloire céleste pour venir parmi nous : il est « tombé en terre ». Mais cela n’était pas encore suffisant. Pour porter du fruit, Jésus a vécu l’amour jusqu’au bout, se laissant rompre par la mort comme une graine qui se laisse rompre sous la terre.

C’est justement là, au point extrême de son abaissement – qui est aussi le point le plus élevé de l’amour – qu’a germé l’espérance. Si quelqu’un de vous demande : « Comment naît l’espérance ? – De la croix. Regarde la croix, regarde le Christ crucifié et de là t’arrivera l’espérance qui ne disparaît plus, celle qui dure jusqu’à la vie éternelle ». Et cette espérance a germé précisément par la force de l’amour : parce que l’amour qui « espère tout, supporte tout » (1 Cor 13, 7), l’amour qui est la vie de Dieu a renouvelé tout ce qu’il a atteint. (…) Contemplons le Crucifié, source d’espérance. Petit à petit nous comprendrons qu’espérer avec Jésus, c’est apprendre à voir dès maintenant la plante dans la graine, Pâques dans la croix, la Vie dans la mort. Je voudrais maintenant vous donner un devoir à faire à la maison. Cela nous fera du bien à tous de nous arrêter devant le crucifix – vous en avez tous un à la maison – le regarder et lui dire : « Avec toi, rien n’est perdu. Avec toi, je peux toujours espérer. Tu es mon espérance ». Imaginons maintenant le crucifix et tous ensemble, disons à Jésus crucifié, disons trois fois : « Tu es mon espérance ». Tous : « Tu es mon espérance ». Plus fort : « Tu es mon espérance ». »

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 Benoît XVI - Spe salvi n° 39 (30 novembre 2007)

Où trouver la force, la capacité de souffrir ?

« Cette capacité de souffrir dépend du genre et de la mesure de l’espérance que nous portons en nous et sur laquelle nous construisons. »
« Certainement, dans nos multiples souffrances et épreuves nous avons toujours besoin aussi de nos petites ou de nos grandes espérances – d’une visite bienveillante, de la guérison des blessures internes et externes, de la solution positive d’une crise, et ainsi de suite. Dans les petites épreuves, ces formes d’espérance peuvent aussi être suffisantes. Mais dans les épreuves vraiment lourdes, où je dois faire mienne la décision définitive de placer la Vérité avant le bien-être, la carrière, la possession, la certitude de la véritable, de la grande espérance, dont nous avons parlé, devient nécessaire. Pour cela nous avons aussi besoin de témoins, de martyrs, qui se sont totalement donnés, pour qu’ils puissent nous le montrer – jour après jour. »

1052

Pape François 

Gaudete et exsultate (paragraphes 63 et 74)

 Il vaut mieux toujours être doux »
« Il peut y avoir de nombreuses théories sur ce qu’est la sainteté, d’abondantes explications et distinctions. Cette réflexion pourrait être utile, mais rien n’est plus éclairant que de revenir aux paroles de Jésus et de recueillir sa manière de transmettre la vérité. Jésus a expliqué avec grande simplicité ce que veut dire être saint, et il l’a fait quand il nous a enseigné les béatitudes (cf. Mt 5, 3-12 ; Lc 6, 20-23). Elles sont comme la carte   d’identité du chrétien. Donc, si quelqu’un d’entre nous se pose cette question, “comment fait-on pour parvenir à être un bon chrétien ?”, la réponse est simple : il faut mettre en oeuvre, chacun à sa manière, ce que Jésus déclare dans le sermon des béatitudes. La douceur est une autre expression de la pauvreté intérieure de celui qui place sa confiance seulement en Dieu. En effet, dans la Bible on utilise habituellement le même mot anawin pour désigner les pauvres et les doux. Quelqu’un pourrait objecter : “Si je suis trop doux, on pensera que je suis stupide, que je suis idiot ou faible”. C’est peut-être le cas, mais laissons les autres penser cela. Il vaut mieux toujours être doux, et nos plus grands désirs s’accompliront : les doux « possèderont la terre », autrement dit, ils verront accomplies, dans leurs vies, les promesses de Dieu. En effet, les doux, indépendamment des circonstances, espèrent dans le Seigneur, et les humbles possèderont la terre et jouiront d’une grande paix (cf. Ps 37, 9.11). En même temps, le Seigneur leur fait confiance : « Celui sur qui je porte les yeux, c’est le pauvre et l’humilié, celui qui tremble à ma parole » (Is 66, 2). 
Réagir avec une humble douceur, c’est cela la sainteté ! » 

1006

Marthe Robin - (1902-1981)
Marthe Robin (1902-1981)
26 novembre 1930
"Ô Jésus ! je compte sur vous, parce que je me confie en vous, je m'abandonne à vous. Ô Coeur d'amour, je crains tout de ma faiblesse, mais j'espère tout de votre puissance. Un Dieu ne peut abandonner le faible ouvrage de ses mains ; un père ne peut oublier son enfant, un sauveur ne peut laisser perdre le prix de son sang. 
Jésus, mon Dieu, soyez en mon âme un gardien fidèle... un puissant défenseur. Soutenez ma faiblesse dans les adversités ; gardez mon âme contre toutes pensées mauvaises qui pourraient l'effleurer ; je vous en supplie, Seigneur."

1004

Marthe Robin - (1902-1981)
20 février 1932
" J'ai toujours compté, mais plus maintenant que jamais, sur la toute miséricordieuse puissance de Jésus qui jamais, jamais n'a déçu l'espérance illimitée que j'ai mise en son amour. Je compte sur Lui sans cesse, assurée que s'Il me trouve chaque jour fidèle au degré d'humilité et d'amour où Il me veut, Il me sera lui-même très fidèle jusqu'à la fin."

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)