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St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 22, 2
Votre Père sait que vous avez besoin de toutes ces choses (Mt 6, 32). Il ne dit pas, Dieu sait ; mais votre Père sait, afin que ce mot de "Père" leur infuse une confiance plus ferme et plus assurée. Car s'il est Père, leur dit-il, et quel Père !, il ne pourra pas sans doute laisser tomber ses enfants quand il les verra nécessiteux, puisque les pères d’ici-bas n’ont pas cette dureté à l’égard de leurs enfants.

342

St Jean Chrysostome
Sur la vaine gloire et l'éducation des enfants, 20
Si la bonne doctrine s'imprime dans l'âme quand celle-ci est encore tendre, une fois consolidée plus rien ne sera capable de l'en arracher.

333

Jeanne-Marie Kegelin
Fillette de 11 ans disparue le jour de la fête du Sacré-Cœur de Jésus (juin 2004), et sauvagement assassinée, qui écrivait dans un petit journal insoupçonné retrouvé après sa disparition :

Jésus, je te remercie parce que tu m'as donné la force d'être bonne et que tu as été crucifié pour nous sauver. Aide-moi à faire beaucoup de sacrifices et que je reste dans la joie.

Avec nos prières pour sa famille et notre soutien, du fond du cœur.
Source : jeanne-marie.over-blog.fr

252

Ste Angèle Mérici
Testament spirituel
Efforcez-vous, avec l'aide de Dieu, d'acquérir et de conserver en vous de telles convictions et de Si bons sentiments que, dans l'exercice de votre charge, vous ne vous laissiez mouvoir que par le seul amour de Dieu et par le zèle pour le salut des âmes.
Toutes vos activités et tout l'exercice de votre autorité, ainsi enracinés dans cette double charité, ne pourront produire que des fruits bons et salutaires. Car, selon les paroles de notre Sauveur, l'arbre bon, c'est-à-dire le cœur et l'esprit informés par la charité, ne peuvent produire que des œuvres bonnes et saintes. D'où encore cette parole de saint Augustin : Aie l'amour et la charité, et ensuite, fais ce qui te plaît, comme s'il disait tout simplement : la charité ne peut pécher.
Je vous en supplie : ayez le souci de toutes vos filles, les tenant présentes dans votre esprit et gravées dans votre cœur, une à une, et non seulement avec leurs noms, mais aussi leur condition, leur tempérament, leur état et tout ce qui les concerne. Cela ne vous sera pas difficile, si vous les enveloppez d'une vive charité. Car on voit que les mères selon la nature, quand bien même elles auraient mille enfants, les porteraient tous fixés dans leur cœur individuellement ; car c'est ainsi qu'agit le véritable amour. Il semble même que, plus ils sont nombreux, plus aussi grandissent l'amour et la sollicitude de la mère pour chacun d'eux. À plus forte raison, peut-il et doit-il en être ainsi pour les mères spirituelles, l'amour spirituel étant incomparablement plus puissant que l'amour naturel. (...)
En toute chose, soyez aimables. Écoutez Jésus Christ qui dit : Apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur. Et de lui, il est écrit : qu'il dispose et gouverne toutes choses avec force et douceur. Et Jésus Christ dit encore : Mon joug est doux et mon fardeau léger. Vous devez donc vous efforcer d'agir ainsi et d'user de l'affabilité possible. Par-dessus tout, gardez-vous de vouloir obtenir quoi que ce soit par la force, car Dieu a donné à chacun le libre arbitre, et il ne veut faire violence à personne ; mais seulement il propose, invite et conseille.

248

Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique
350. Pourquoi la famille chrétienne est-elle aussi appelée Église domestique ?
Parce que la famille manifeste et révèle la nature de l’Église comme famille de Dieu, qui est d’être communion et famille. Chacun de ses membres, selon son rôle propre, exerce le sacerdoce baptismal, contribuant à faire de la famille une communauté de grâce et de prière, une école de vertus humaines et chrétiennes, le lieu de la première annonce de la foi aux enfants.
Source : www.vatican.va

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Benoît XVI
Message 8 déc 2006, n. 1 (pour la Journée mondiale de la Paix du 1er janvier 2007)
Au début de la nouvelle année, je voudrais adresser aux Gouvernants des Nations, ainsi qu'à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté, mes vœux de paix. Je les adresse en particulier à ceux qui sont dans la douleur et dans la souffrance, à ceux qui vivent menacés par la violence et par la force des armes ou encore à ceux qui, bafoués dans leur dignité, attendent leur réintégration humaine et sociale. Je les adresse aussi aux enfants, qui, par leur innocence, enrichissent l'humanité de bonté et d'espérance et qui, par leurs souffrances, nous incitent tous à être des artisans de justice et de paix. Pensant précisément aux enfants, spécialement à ceux dont l'avenir est compromis par l'exploitation et par la méchanceté d'adultes sans scrupules, j'ai voulu, à l'occasion de la Journée mondiale de la Paix, que l'attention commune se focalise sur le thème: Personne humaine, cœur de la paix. Je suis en effet convaincu qu'en respectant la personne on promeut la paix et qu'en bâtissant la paix on jette les bases d'un authentique humanisme intégral. C'est ainsi que se prépare un avenir serein pour les nouvelles générations.

100

Ste Teresa de Calcutta
Intervention, §7-8
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)
D'autre part, lorsque les familles sont fortes et unies, les enfants sont en mesure de voir dans l'amour de leur père et mère l'amour très spécial que Dieu a pour eux et peuvent ainsi arriver à faire de leur pays un endroit où l'on aime et où l'on prie. L'enfant est le plus beau don que Dieu puisse faire à la famille : il a besoin de son père aussi bien que de sa mère parce que l'un et l'autre manifestent l'amour de Dieu d'une façon spéciale. Une famille qui prie ensemble reste ensemble, et s'ils restent ensemble, ils s'aimeront les uns les autres comme Dieu les a aimés, tous et chacun d'entre eux. Et les œuvres de l'amour sont toujours des œuvres de paix.
Aussi, gardons tous en nos cœurs la joie d'aimer et partageons cette joie avec tous ceux qui se trouvent sur notre chemin. La prière que j'adresse à Dieu est que tous les délégués, et que toutes les femmes que la Conférence de Pékin cherche à aider, que toutes et chacune d'entre elles, dis-je, en arrivent à faire leur l'humilité et la pureté de Marie afin de pouvoir vivre en paix et en amour les uns avec les autres, faisant ainsi de nos familles et de notre monde un lieu de beauté pour Dieu. Ce qu'il faut, c'est la prière.
Tout pour la gloire de Dieu et le bien des âmes. Que Dieu vous bénisse tous !

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Ste Teresa de Calcutta
Intervention, §6
lors de la IVe Conférence mondiale de l'ONU sur la Femme (Pékin, 30.VIII-15.IX 1995)

Au lieu de la souffrance et de la mort, apportons la paix et la joie au monde. À cette fin, nous devons demander à Dieu le don de la paix et apprendre à nous aimer et à nous accepter comme frères et sœurs, enfants de Dieu. Nous savons que l'endroit où l'enfant peut le mieux apprendre à aimer et à prier est la famille, en étant témoin de l'amour et de la prière de son père et de sa mère. Lorsqu'il y a rupture ou désunion dans la famille, les enfants, en grand nombre, grandissent sans savoir ce que c'est que d'aimer et de prier. Un pays où nombreuses sont les familles détruites de cette façon ne peut qu'être exposé à de nombreux problèmes. J'ai souvent été témoin, surtout dans les pays riches, du fait que les enfants cherchent refuge dans la drogue ou autres choses lorsqu'ils en sont réduits à faire face à l'indifférence ou au rejet de leur famille.

049

Ste Teresa de Calcutta
Dans "Béatification", Jean-Paul II, Homélie 19-X-2003 (vatican.va)
Si vous entendez dire qu'une femme ne veut pas garder son enfant et désire avorter, essayez de la convaincre de m'apporter cet enfant. Moi, je l'aimerai, voyant en lui le signe de l'amour de Dieu.
Source : www.vatican.va

046

Réginald Garrigou-Lagrange
Les trois âges de la vie intérieure, vol. I, p.472 et 493
Éd. du Cerf, Paris, 1938-1939
Il y a deux êtres qui se cachent : le criminel qui fuit le châtiment, et le saint qui par humilité veut rester inconnu (p. 472, note 1).
Il y a deux êtres simples, l’enfant, qui ne connaît pas encore le mal, et le vieillard sanctifié qui l’a oublié à force de le vaincre. Aussi le vieillard aime l’enfant et en est aimé (p. 493, note 1).



Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)