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1313

  Saint François de Sales (1567-1622)

 (Vrais entretiens spirituels)

"Il faut aller à la confession purement pour nous unir à Dieu, avec une vraie détestation de nos péchés et une volonté ferme et entière de se corriger, moyennant sa grâce." 

1310

  2 Corinthiens 5, 20

"Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ, et par nous c’est Dieu Lui-même qui lance un appel : nous le demandons au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu."

1309

 saint Ambroise (340-397) 

(De la pénitence)

"Tu ne voudrais pas implorer Dieu de te pardonner, ni obtenir que le peuple saint intervienne pour appuyer ta requête ? Ici pourtant, il n'y a rien dont il faille avoir honte, sinon de ne point faire d'aveu, puisque tous, nous sommes pécheurs. Ici, le plus digne d'éloges est le plus humble ; le plus juste est celui qui a pour lui-même le plus de mépris. Que pleure pour toi l'Église notre mère, et qu'elle lave ta faute avec ses larmes !
Si le Christ a pardonné tout de suite à Pierre lui-même, c'est parce qu'il a pleuré amèrement. Si toi aussi, tu pleures amèrement, le Christ regardera vers toi, et la faute s'éloignera. Que rien donc ne te détourne de la pénitence ! Elle t'est commune avec les saints : puisses-tu imiter la façon de pleurer qui fut la leur ! "

1307

  Isaac de l'Étoile (1100-1178)

(Sermon XII)

"Il y a deux choses qui appartiennent à Dieu seul : l'honneur de recevoir la confession des péchés, et le pouvoir de remettre les péchés. Il nous revient, et de lui faire cette confession, et d'attendre de lui cette rémission. A Dieu seul revient, en effet, de remettre les péchés ; c'est donc à Lui qu'il faut les confesser."

Donc, pas besoin d'aller trouver un prêtre ?

"Mais le Tout-Puissant et Trés-Haut ayant pris une épouse faible et humble, Il a fait de sa servante une reine : l'Église. Et de même que tout ce qui est au Père est au Fils, et que ce qui est au Fils est au Père de par leur unité de nature, de même l'Époux a donné à l'épouse tout ce qui est à Lui, et Il a assumé tout ce qui était à elle, faisant l'unité entre elle, Lui et son Père.
Dès lors, l'Église ne peut rien pardonner sans le Christ, mais le Christ ne veut rien pardonner sans l'Église. L'Église ne peut rien pardonner sinon à celui qui fait pénitence, c'est à dire à celui que le Christ a d'abord touché, mais le Christ ne veut rien remettre à celui qui dédaigne l'Église : "Ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas !"
Ne sépare donc pas la tête du Corps, ce qui empêcherait le Christ d'exister tout entier ; car jamais le Christ n'est entier sans l'Église, ni l'Église sans le Christ.
Le Christ entier et complet, c'est la Tête et le Corps ; c'est cet homme-là seulement qui remet les péchés. "

1268

Bx Charles de Foucauld (1858-1916)

« Mon Dieu, pardon. Pardon de ma tiédeur, pardon de ma lâcheté, pardon de ma dissipation, pardon de mon orgueil, pardon de mon attachement à ma volonté propre, pardon de ma faiblesse et de mon inconstance, pardon du désordre de mes pensées, pardon de me souvenir si peu, parfois, que je suis en votre présence, pardon, pardon de toutes ces fautes, de toutes les fautes de ma vie et surtout de celles que j’ai commises depuis le commencement de ma conversion. »

« Merci de toutes vos grâces, mon Dieu, merci, merci, merci. Mon Dieu, secourez-moi. Secourez celui que vous avez comblé de tant de dons, mon Dieu, convertissez-moi ! Convertissez-moi, mon Dieu, au nom de Notre Seigneur Jésus Christ. Vous qui pouvez tout en moi, convertissez-moi, Seigneur. Donnez-moi le bon esprit, la sagesse, que vous avez promis de donner à ceux qui vous le demanderaient. Convertissez-moi et faites que je vous glorifie le plus possible jusqu’à mon dernier soupir et pendant l’éternité. Je vous le demande, au nom de notre Seigneur Jésus Christ. »

1263

sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897)

(Derniers Entretiens)

"On pourrait croire que c'est parce que je n'ai pas péché que j'ai une confiance si grande dans le bon Dieu. Dites bien, ma Mère, que, si j'avais commis tous les crimes possibles, j'aurais toujours la même confiance, je sens que toute cette multitude d'offenses serait comme une goutte d'eau jetée dans un brasier ardent.

Vous raconterez ensuite l'histoire de la pécheresse convertie qui est morte d'amour ; les âmes comprendront tout de suite, car c'est un exemple si frappant de ce que je voudrais dire, mais ces choses ne peuvent s'exprimer."

1262

Jean-Nicolas Grou (1731-1803)

(Manuel des âmes intérieures)

"La justice de Dieu est bien terrible, dit-on, et l'on doit toujours la craindre. Cela est vrai ; mais pour qui est-elle terrible ? Est-ce pour les enfants qui adorent Dieu, qui l'aiment, qui le servent comme leur Père, qui sont déterminés à ne lui rien refuser, à ne lui déplaire en rien ?

Non. Si ces enfants aiment Dieu, Dieu les aime encore plus ; Il voit que leurs fautes ne sont point des fautes de malice, mais d'imperfection et de fragilité : au premier regard d'amour et de regret qu'ils jettent sur lui, il les leur pardonne, et s'il a à les en punir, il les en punit dans ce monde d'une manière avantageuse à leur salut.

Est-ce pour les pécheurs qui reviennent sincèrement à Dieu que sa justice est terrible ?

Non. Ils éprouvent les effets de sa grande miséricorde ; et souvent ils sont traités avec tant de bonté, que les justes mêmes en conçoivent de la jalousie : témoin l'enfant prodigue, témoin Madeleine.

La justice divine n'est terrible que pour ceux qui n'ont pas recours à sa miséricorde, soit par présomption, soit par désespoir ; pour ceux qui aiment le péché, qui n'en veulent pas sortir ; pour eux dont la volonté n'est pas droite, et qui voudraient, s'il se peut, tromper Dieu.

Mais jusqu'ou doit aller la confiance en Dieu ?

Aussi loin que sa puissance et sa Bonté, aussi loin que notre faiblesse et notre misère ; c'est à dire qu'elle ne doit point avoir de bornes."

1261

 sainte Catherine de Sienne (1347-1380)

(Dialogue XXXVII)

"Si le pécheur doit être condamné, ce ne sera pas pour avoir péché, mais pour n'avoir pas cru en ma miséricorde, dit le Seigneur.

Ne pas vouloir et mépriser ma miséricorde, voilà le péché qui ne se pardonne ni ici-bas, ni dans l'au-delà, péché plus grave à mes yeux que tous ceux que ce pécheur a pu commettre. C'est pourquoi le désespoir de Judas m'a plus offensé et a été plus pénible à mon Fils que sa trahison même."


1260

 saint Augustin (354-430)

(Sermon 9)

"Ne méprise pas ces péchés parce qu'ils sont petits ; redoute-les parce qu'ils sont nombreux. Soyez attentifs, mes frères. Ces péchés sont petits, ils ne sont pas graves ? Tous les animaux n'ont pas la taille du lion, pour pouvoir égorger d'un coup de dent, mais n'arrive-t-il pas souvent aux plus faibles insectes de donner la mort quand ils sont en grand nombre ? 
Ainsi en est-il des péchés légers. Vous dites qu'ils sont légers ; songez qu'ils sont multipliés. Qu'y a-t-il de plus petit que les gouttes de pluie ? Néanmoins elles remplissent les fleuves et renversent les demeures. Ne méprisez donc pas les péchés légers" 

1259

 saint Bernard (1090-1153)

(Sermon 18 sur le Cantique des cantiques)

"Le Médecin s'approche du blessé, l'Esprit-Saint s'approche de l'âme : que doit-il d'abord faire ? Enlever la tumeur qui a pu se développer sur la plaie et empêcher sa guérison. Que la tumeur d'une coutume invétérée soit donc enlevée par le fer tranchant de la contrition ! Mais la douleur est vive : que l'onguent de la dévotion l'adoucisse, laquelle n'est autre que la joie mise dans l'espérance du pardon, provenant de la maîtrise de soi et de la victoire sur le péché. Ensuite, on applique le remède de la pénitence, le cataplasme des jeûnes, des veilles, des prières et autres exercices pénitentiels. Dans sa peine, l'âme doit se nourrir des bonnes oeuvres pour ne pas défaillir ; apprends de quelle nourriture il s'agit : "Ma nourriture, c'est de faire la volonté de mon Père" (Jn 4, 34). La nourriture excite la soif : il faut qu'elle boive. Ajoutons donc à la nourriture des bonnes oeuvres le breuvage de l'oraison, qui se mélange aux bonnes actions dans l'estomac de la conscience, et les rend agréables à Dieu." 

1257

  Tertullien (160-220)

(De la Pénitence)

"Lorsque tu tends les mains vers les genoux de tes frères, c'est le Christ que tu touches, c'est le Christ que tu implores. Et quand, de leur côté, tes frères versent des larmes sur toi, c'est le Christ qui souffre, c'est le Christ qui supplie son Père."

1256

  Tertullien (160-220)

(De la Pénitence)

"Beaucoup se dérobent au devoir de la pénitence ou le diffèrent de jour en jour, parce qu'ils redoutent de s'afficher en public. Ils ont plus de souci de la honte que de leur salut. Mais dis-donc, toi, le pudibond, quand il s'agissait de pécher tu gardais le front haut, tu le baisses quand il s'agit d'apaiser Dieu !" 

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

1155

pape François
"Carême pour tous - Hors série n°21 Ma Prière - 2019"

"Quiconque ne fera pas pénitence ce jour-là sera retranché de son peuple... (Lv 23,29)

" Nous sommes si habitués à nous dire : "Nous sommes pécheurs". Mais cela ne suffit pas. Ce qui compte, c'est que chacun de nous devant le Seigneur vive la honte, puis l'émerveillement de se sentir sauvé. Nous devons nous convertir. Nous devons faire pénitence.


1135

saint Pio de Pietrelcina
Le Charisme de Padre Pio...
La clairvoyance est un charisme spécial, donné principalement aux saints, qui permet de connaître des faits obscurs ou de prévoir des événements. Ce charisme permet également de voir et d’entendre à distance, dans l’espace et dans le temps, sans le concours des sens ou des facultés. Chez Padre Pio, ce don était si développé qu’il pouvait littéralement lire dans les âmes.
Tout comme père Charbel, Padre Pio se confessait au moins une fois par semaine. Il considérait que le fait d'aller fréquemment en confession était quelque chose de nécessaire pour grandir dans la vie spirituelle.
Une dame a raconté:
«En 1945, ma mère m’emmena à San Giovanni Rotondo pour rencontrer Padre Pio et me confesser à lui. Il y avait beaucoup de monde! En attendant mon tour, j’eus beau méditer ce que j’allais dire, une fois face à Padre Pio, je ne me rappelais plus de rien ! Voyant ma timidité, le bon prêtre me dit en souriant: «Veux-tu que je parle à ta place?» Puis, à ma stupéfaction, il articula, mot pour mot, tout ce que j’avais préparé! Je me sentais en paix, remerciant secrètement Padre Pio de m’avoir fait bénéficier de l’un de ses extraordinaires charismes. Je lui confiai la santé de mon âme et de mon corps et il me répondit: «Je serai toujours ton père spirituel!» En le quittant, j’éprouvai une joie immense et, dans le train, sur le chemin du retour, je perçus un intense parfum de fleurs que je n’oublierai jamais!»
Padre Pio disait :"Si nous mettons dans la confession toute notre bonne volonté et que nous avons l'intention d’avouer toutes nos erreurs. Tout ce que l’on sait ou dont on se rappelle ..La miséricorde de Dieu est si grande qu'il inclut et efface même les péchés dont nous ne nous souvenons pas ou que nous ne connaissons pas."

1093

pape François 
Conseils aux confesseurs du monde entier (extraits)
aleteia.org 22/03/2015

Confession : La repentance est terre sacrée

N’oublions jamais, autant comme pénitent que comme confesseur, qu’il n’existe aucun péché que Dieu ne puisse pardonner ! Aucun ! Seul ce qui est soustrait à la Divine Miséricorde ne peut être pardonné, de même que quiconque se soustrait au soleil ne peut être ni illuminé ni réchauffé.
(...)
Tous devraient sortir du confessionnal avec le bonheur dans le cœur et le visage rayonnant d’espérance, même si parfois – nous le savons – il est mouillé par les larmes de la conversion et de la joie qui en dérive. Le sacrement (…) doit être une rencontre libératrice et riche d’humanité, à travers laquelle on puisse éduquer à la miséricorde, ce qui n’exclut pas, et même comporte, le juste engagement de réparer, autant que possible, le mal commis.
(...)
La miséricorde signifie se charger du frère ou de la sœur et les aider à marcher (…) et qui peut faire cela ? Le confesseur qui prie, le confesseur qui pleure, le confesseur qui se sait plus pécheur que le pénitent. Et s’il n’a pas fait cette chose laide que confesse le pénitent, c’est simplement par la grâce de Dieu. Miséricordieux, c’est être proche et accompagner le processus de conversion.
(...)
Combien de fois il nous arrive d’écouter des confessions qui nous édifient ! Des frères et des sœurs qui vivent une authentique communion personnelle et ecclésiale avec le Seigneur et un amour sincère pour les frères. Des âmes simples, des âmes pauvres en esprit, qui s’abandonnent totalement au Seigneur, qui font confiance à l’Église et donc, aussi au confesseur. Il nous est aussi souvent donné d’assister à de vrais miracles de conversion. Des personnes qui depuis des mois, voire des années, sont sous la domination du péché et qui, comme l’enfant prodigue, font un retour sur eux-mêmes et décident de se relever et de retourner à la maison du Père pour implorer le pardon.
(...)
L’Église est appelée à « initier ses membres – prêtres, personnes consacrées et laïcs – à cet "art de l’accompagnement", pour que tous apprennent toujours à ôter leurs sandales devant la terre sacrée de l’autre » (Evangelii Gaudium, 169). Même le plus grand pécheur qui vient devant Dieu pour demander pardon est « terre sacrée », et moi-même, qui dois lui pardonner au nom de Dieu, je peux faire des choses plus laides que celles qu’il a faites. Tout fidèle repentant qui s’approche du confessionnal est « terre sacrée », terre sacrée à cultiver avec dévouement, soin et attention pastorale.
Confions-nous à l’intercession de Marie, Mère de Miséricorde et refuge des pécheurs. Elle sait comment nous aider, nous les pécheurs. (...) Qu’elle nous enseigne cet art !

1021

Evagre le Pontique - (345 - 399)
(Une pensée par jour - les pères spirituels d'Orient)
" Prie d'abord pour recevoir le don des larmes, afin d'amollir par le deuil la dureté inhérente à ton âme, et, en confessant contre toi ton iniquité au Seigneur, obtenir de Lui le pardon.

415

St Jean-Marie Vianney
Sermon sur l'examen de consciencie
En second lieu, je dis que nous avons bien besoin des lumières du Saint-Esprit pour connaître nos péchés, parce que notre cœur est le siège de l'orgueil, qui ne cherche que les moyens de nous les faire connaître moindres qu'ils ne sont. Vous voyez que nous avons absolument besoin des secours du Saint-Esprit pour connaître nos péchés tels qu'ils sont.

323

Benoît XVI
Audience générale, 12 avril 2006, §5
Chers frères et sœurs, pour une célébration fructueuse de Pâques, l'Eglise demande aux fidèles de s'approcher au cours de ces journées du sacrement de la Pénitence, qui est comme une espèce de mort et de résurrection pour chacun de nous. (...) se préparer à Pâques avec une bonne confession reste une pratique qu'il faut pleinement valoriser parce qu'elle nous offre la possibilité de recommencer à nouveau notre vie et de connaître véritablement un nouveau début dans la joie du Ressuscité et dans la communion du pardon qu'il nous a donné. Conscients d'être des pécheurs, mais confiants dans la miséricorde divine, laissons-nous réconcilier par le Christ pour goûter plus intensément la joie qu'Il nous communique avec sa résurrection.

202

Catéchisme de l'Église Catholique
n. 1471
La doctrine et la pratique des indulgences dans l’Église sont étroitement liées aux effets du sacrement de Pénitence.
Qu’est-ce que l’indulgence ?
" L’indulgence est la rémission devant Dieu de la peine temporelle due pour les péchés dont la faute est déjà effacée, rémission que le fidèle bien disposé obtient à certaines conditions déterminées, par l’action de l’Église, laquelle, en tant que dispensatrice de la rédemption, distribue et applique par son autorité le trésor des satisfactions du Christ et des saints " (Paul VI, const. ap. " Indulgentiarum doctrina ", Norme 1).
" L’indulgence est partielle ou plénière, selon qu’elle libère partiellement ou totalement de la peine temporelle due pour le péché " (ibid, Norme 2). " Tout fidèle peut gagner des indulgences pour soi-même ou les appliquer aux défunts " (CIC, can. 994).
Source : www.vatican.va

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)