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1387

 Notre Dame de Fatima 

Au printemps 1916, l'Ange se manifesta de nouveau (la première fois en 1915) ; mais cette fois aux trois petits pastoureaux : Lucie, François et sa sœur Jacinthe ;
Ce jour là, ils étaient monté sur le versant de la colline avec leurs brebis.Jouant depuis un certain temps, voici qu'un vent assez fort secoua les arbres. Levant les yeux, les enfants virent au dessus des oliviers une chose d'une forme humaine s'approcher d'eux. Plus distinctement, cette fois on peut décrire que cette « chose » avait l'apparence d'un jeune garçon de 15 ans tout au plus, vêtu d'un blanc pur, que le soleil rendait transparent comme s'il était en cristal.
En arrivant près des trois enfants, l'Ange dit :
« Ne craignez pas !. Je suis l'Ange de la Paix. Priez avec moi ! »
Puis s'agenouillant à terre, il courba le front jusqu'au sol. Les enfants firent de même, et répétèrent les paroles qu'ils entendirent :
Mon Dieu,
je crois, j'adore, j'espère et je Vous aime.
Je Vous demande pardon
pour ceux qui ne croient pas,
qui n'adorent pas,
qui n'espèrent pas,
et qui ne Vous aiment pas.
Il répéta trois fois cette prière puis il se releva en disant :
« Priez ainsi. Les Cœurs de Jésus et de Marie sont attentifs à la voix de vos supplications », puis il disparut.
Par ces mots, l'Ange nous apprend que le Cœur de Marie conduit infailliblement au Cœur de Jésus. Ces deux Cœurs ne se séparent pas : qui trouve l'un, trouve l'autre...
Notre Dame de Fatima,
priez pour nous


1378

      Marthe Robin 
       (de son Journal - 15 février 1932)

« Le Cœur de mon bien-aimé bat dans mon cœur ! 
Puissante merveille et tellement vraie ; plus vraie que tout ce que je connais, sais et vois... que tout ce que j'en pourrais dire. »


1209  

Bx Columba Marmion (1858-1923)

(Le Christ, Vie de l'âme)


Quand nous sommes fidèles à consacrer chaque jour un temps plus ou moins long, suivant nos aptitudes et nos devoirs d'état, à nous entretenir avec notre Père céleste, à recueillir ces inspirations et à écouter ces "rappels" de l'Esprit, alors les paroles du Christ, les "Verba Verbi (les paroles de Celui qui est Parole) comme les nomme saint Augustin, vont se multipliant, inondant l'âme de Lumière divine, et ouvrant en elle, pour qu'elle puisse toujours s'y abreuver, des sources de Vie. Ainsi se réalise la promesse du Christ Jésus : "Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi et qu'il boive ; celui qui croit en moi, de son sein couleront des sources d'Eau Vive". Et, ajoute saint Jean, "Il disait cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croient en Lui." (Jn 7, 37-38)
"L'âme, en retour, traduit constamment ses sentiments en actes de foi, de repentir, de confiance, d'amour, de complaisance, d'abandon à la volonté du Père céleste ; elle se meut comme dans une atmosphère qui l'entretient de plus en plus dans l'union avec Dieu ; l'oraison devient comme sa respiration, sa vie ; l'âme est remplie de l'esprit d'oraison. L'oraison devient alors un état, et l'âme peut trouver son Dieu quand elle veut, même au milieu de toutes ses occupations.
Les moments que, dans la journée, l'âme consacre exclusivement à l'exercice formel de l'oraison ne sont que l'intensification de cet état, dans lequel elle reste habituellement, mais doucement, unie à Dieu, pour lui parler intérieurement et écouter elle-même la Voix d'en haut.
Cet état est plus que la simple Présence de Dieu ; c'est un entretien intérieur, plein d'amour dans lequel l'âme parle à Dieu, parfois des lèvres, le plus souvent du coeur, et lui reste intimement unie, en dépit de la variété des travaux et des occupations de la journée; Il y a bien des âmes simples et droites, qui, fidèles à l'attrait du Saint-Esprit, arrivent à cet état si désirables." 

1205

saint François de Sales (1567-1622) - Introduction à la vie dévote

"Le premier moyen pour se mettre en présence de Dieu consiste en une vive et attentive prise de conscience de ce que Dieu est en tout et partout, et qu'Il n'y a aucun lieu ni aucune chose en ce monde où Il ne soit d'une très aimable Présence. Certes, nous savons bien qu'Il est Présent à toutes choses, mais tant que nous n'y pensons pas, c'est tout comme si nous ne le savions point. C'est pourquoi, au moment de prier, il faut toujours inviter notre âme à y penser et à y réfléchir.
Le second moyen de se mettre en présence de Dieu, c'est de penser que non seulement Il est là où vous vous trouvez, mais qu'Il est très particulièrement en votre coeur et au fond de votre esprit, que c'est Lui qui le fait vivre et qui l'anime par sa divine Présence, s'y trouvant comme le coeur de votre coeur et l'esprit de votre esprit.
le troisième moyen, c'est de considérer notre Sauveur,, lequel en son humanité regarde depuis le ciel toutes les personnes qui sont au monde, mais particulièrement les chrétiens qui sont ses enfants, et plus spécialement encore ceux qui sont en prière.
La quatrième façon consiste à se servir simplement de notre imagination, en nous représentant le Sauveur en son humanité sacrée comme s'il était près de nous.
Vous userez donc de l'un de ces quatre moyens pour mettre votre âme en la présence de Dieu au début de votre oraison ; et il ne faut pas les vouloir employer tous ensemble, non seulement un à la fois, et cela brièvement et simplement." 


Citationschretiennes.com

1192

saint Ambroise (340-397)

Que ta porte soit ouverte à Celui qui vient ; ouvre ton âme, élargis les capacités de ton esprit, afin de découvrir les richesses de la simplicité, les trésors de la paix, la douceur de la grâce. Dilate ton cœur ; cours à la rencontre du soleil de la Lumière éternelle.

1189

Marthe Robin 

 (Journal - 12 avril 1930)

"Après les touchantes paroles de mon père spirituel je dis encore : Jésus je ne suis pas digne que vous vous donniez tout à moi, mais dites seulement une Parole et mon âme sera guérie. Jésus doit la prononcer cette parole car je le sens et quand mon père prend la divine Hostie et l'élève à portée de mes yeux en prononçant les saintes paroles, alors mon coeur se fond, mes yeux contemplent, ravis par un pouvoir qui est hors de moi, je sens que mon âme voudrait s'échapper de mon enveloppe. Mais Jésus a pitié de sa petite victime exauçat ses prières et ainsi ne permettant pas qu'il se passe rien d'extraordinaire. Je suis bien clouée à la Croix ; mais c'est avec Toi, ô divin Crucifié, l'Amour est le puissant levier qui soulève de terre.

1181

prière attribuée à saint Thomas d'Aquin 
Adoro Te devote (Je T'adore)

Je T'adore dévotement, Dieu caché, Qui, sous ces apparences, vraiment prends corps, À Toi, mon cœur tout entier se soumet Parce qu'à Te contempler, tout entier il s'abandonne.
La vue, le goût, le toucher, en Toi font ici défaut, Mais T'écouter seulement fonde la certitude de Foi. Je crois tout ce qu'a dit le Fils de Dieu, Il n'est rien de plus vrai que cette Parole de Vérité.
Sur la Croix se cachait Ta seule Divinité, Mais ici, en même temps, se cache aussi Ton Humanité. Toutes les deux, cependant, je les crois et les confesse, Je demande ce qu'a demandé le larron pénitent.
Tes plaies, tel Thomas, moi je ne les vois pas, Mon Dieu, cependant, Tu l'es, je le confesse, Fais que, toujours davantage, en Toi je croie, Je place mon Espérance, je T'aime.
Ô Mémorial de la mort du Seigneur, Pain vivant qui procure la Vie à l'homme, Procure à mon esprit de vivre de Toi Et de toujours savourer Ta douceur.
Pieux pélican, Jésus mon Seigneur, Moi qui suis impur, purifie-moi par Ton Sang Dont une seule goutte aurait suffi à sauver Le monde entier de toute faute.

Jésus, que sous un voile, à présent, je regarde, Je T'en prie, que se réalise ce dont j'ai tant soif, Te contempler, la face dévoilée, Que je sois bienheureux, à la vue de Ta Gloire

1180

Saint Jean Eudes 
à partir d’un texte de saint Jean Eudes : O.C. II, p.172-177

VIENS, ESPRIT DE JÉSUS « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? » (1 Co 3, 16)

Esprit de Jésus, don du Père, tu es l’esprit de notre esprit le cœur de notre cœur. 
Tu es toujours avec nous et au-dedans de nous. 
Sois béni éternellement pour tant de merveilles ! 
Esprit de Jésus, don du Père, 
tu formes Jésus en nous depuis notre Baptême, 
tu fais de nous les membres de son corps, l’Eglise. 
Sois béni éternellement pour tant de merveilles !
Esprit de Jésus, don du Père, Donne-nous ton souffle, 
conduis-nous, que toutes nos pensées, nos paroles et nos actes prennent leur source en toi. 
Aide-nous à combattre le mal qui nous détourne de toi 
et à choisir la vie nouvelle en Jésus. 
Fais grandir en nous le bonheur d’être enfants de Dieu, frères et sœurs de Jésus-Christ. 
Sois béni éternellement pour tant de merveilles ! 
Esprit de Jésus, je me donne tout à toi, 
Possède-moi et entraîne-moi à la suite de Jésus. 

1178

Saint Jean Eudes 
O.C. I, p. 271-276

JÉSUS VIENS VIVRE EN NOUS 
Former Jésus en nous, voilà le mystère des mystères. 
C’est la plus belle œuvre du Père, du Fils et de l’Esprit Saint. 
C’est l’œuvre de Marie qui a dit « oui ». 
C’est l’œuvre confiée à l’Eglise : 
rendre Jésus présent dans l’Eucharistie et le former dans le cœur de ses enfants. 

Ô Jésus, viens maintenant te former dans mon cœur et dans mon âme, 
donne-moi de vivre de ta vie, 
d’être habité par tes pensées, 
de te rejoindre en toutes mes actions même les plus ordinaires. 
Allume en moi le désir ardent d’aimer le Père du même amour que toi. 
Libère mon cœur de la préoccupation de moi-même, 
de mon orgueil et de ma vanité, 
de tout ce qui me détourne de toi, 
pour que tu vives et règnes en moi 
et que tu sois tout pour moi. 
Tout seul je ne peux rien. 
me donne et m’abandonne entièrement à la puissance de ton Amour. 
Ô Jésus, viens vivre et Aimer en nous. 

1177

Saint Jean Eudes 
O.C. VIII , p.52-59

Jésus Sauveur, ton nom est Miséricorde. 
Ta compassion pour nous est plus grande que tout. 
Tu es venu pour nous sauver. Ton Père est le Père des miséricordes, 
et tu es au milieu de nous le visage de la miséricorde. 
Tu nous portes dans ton cœur, 
tu nous cherches jusqu’à ce que tu nous aies trouvés. 
Tu nous tends une main douce et sûre quand nous tournons le dos au bonheur que tu nous offres. 
Ta miséricorde est sans limite. 
Tu remets tous les péchés même les plus grands. 
C’est Toi qui nous aimes le premier, tu nous invites, 
Tu cours vers nous, 
Tu es le Bon Pasteur qui part à notre recherche pour nous ouvrir un passage vers le Père. 
Dans la joie de la résurrection, 
donne-nous un cœur nouveau qui se détourne du péché et s’ouvre pour accueillir ta miséricorde. 
Fais-nous vivre en paix avec toi et demeurer en toi, 
sans plus te faire obstacle. 

à partir d’un texte de saint Jean Eudes : O.C. VIII , p.52-59

1173

Saint Jean Eudes 
QUE TON CŒUR BRÛLE EN MON CŒUR
à partir du texte : OC VIII, p. 350-352
« Comme une paille au feu devient du feu, comme l’or dans la fournaise est purifié… »
Ton cœur, Ô Jésus, mon Sauveur, est comme un feu.
Il me purifie,
m’illumine,
me sanctifie.
Il me transforme et me divinise.
Ton amour me fait participer à la vie de Dieu, à sa miséricorde, sa patience, sa bonté et sa charité.
Que ton cœur brûle en mon cœur !
Même si nous faisions le rêve de recueillir tout l’amour, toutes les affections, toutes les tendresses du monde entier et de tous les temps, ce ne serait qu’une étincelle de l’amour dont tu nous aimes.
Ton amour se répand dans tout l’univers, il n’exclut personne. A tous tu donnes l’être et la vie.
Embrase-moi de cet amour extraordinaire que tu as pour tous les hommes, tant pour les bons et tes amis que pour les méchants et tes ennemis. Même si je ne suis qu’une petite paille, humblement, je me donne à Toi, et je te donne tous mes frères et sœurs, et tous les habitants de la terre.
Viens fondre sur nos cœurs et change-les pour qu’ils brûlent d’amour comme TOI."

1171

saint Cyprien (Traité sur la prière du Seigneur) 

"Les préceptes de l'Évangile, frères bien-aimés, ne sont pas autre chose que les enseignements du Maître divin. Ce sont les fondements sur lesquels bâtir l'espérance, les appuis pour consolider la foi, les aliments pour réconforter le cœur, les orientations pour diriger le voyage, les sauvegardes pour obtenir le salut. "

1147

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus
« Je crois tout simplement que c’est Jésus Lui-même caché au fond de mon pauvre cœur, qui me fait la grâce d’agir en moi, et me fait penser tout ce qu’Il veut que je fasse au moment présent. »

1140

sainte Bernadette Soubirous (1844-1879- 35 ans)

« Faites, ô Tendre Mère, que Votre enfant Vous imite en tout et pour tout, en un mot que je sois une enfant selon votre Coeur et Celui de votre cher Fils ». 

1137

sainte Bernadette Soubirous (1844-1879- 35 ans)

« Il faut que vous portiez la Croix cachée dans votre coeur, à l'exemple de Marie ». 

1092

Fr. Olivier Catel, dominicain - Méditation du 12/03/2015
caremedanslaville.org

(...) Le Royaume de Dieu n’est pas un territoire dans lequel nous devons entrer, légalement ou non, une terre à conquérir pour qu’elle devienne la nôtre. Le Royaume de Dieu vient à nous, se donne. On ne s’en empare pas. Le Royaume de Dieu vient à nous dans la beauté du Sacrement et dans la simplicité du visage d’un frère, dans la force de la prière de l’Église et dans l’intimité de ma prière secrète. 
Ce Royaume a sa charte dans les béatitudes et sa réalité dans le cœur des hommes qui sont les « temples de l’Esprit ». Le Royaume des cieux institué par le Christ est la venue du Roi «doux et humble de cœur». Il vient nous visiter dans nos souffrances pour nous relever. Il se laisse découvrir non dans la force humaine des rois et des puissants mais dans la puissance de la miséricorde, ce cœur de Dieu qui se penche sur la misère des hommes. 
Sommes-nous prêts à abandonner notre vision terrestre d’un Royaume des cieux ? 
Sommes-nous prêts à accueillir en nous le Roi des rois dans la souffrance de sa Passion et la gloire de sa Résurrection ? 
Où sont amour et charité, Dieu est présent.
Jésus-Christ, Toi qui es le vrai Royaume, apprends-nous à baisser les armes de nos désirs pour te laisser venir à nous, dans la joie de l’attente.


1076

Jean Lafrance  (1931-1991) 
En prière avec Marie, Mère de Jésus (ch. IV, 6), Abbaye Ste-Scholastique, Dourgne, 1985.

« Le jour où nous verrons Dieu face à face, nous serons vraiment humbles. En attendant, plus on s'approche de Dieu dans la prière, plus on est en contact avec lui, plus il grandit en nous, et plus nous diminuons. C'est pourquoi Jésus est le modèle parfait de l'humilité, en tant qu'homme ; en effet, il voyait sans cesse la Face du Père, car il était toujours avec lui. On comprend que le Christ ait dit : "Je suis doux et humble de coeur" (Mt 11,29). L'humilité de la Vierge, dit le Père Molinié, est encore peu de chose à côté de l'anéantissement du Christ devant Dieu". C'est pourquoi les saints affirment que la véritable humilité est celle de Jésus en nous. Lorsqu'un homme a vu l'humilité du Christ, dit Silouane de l'Athos, il éprouve une joie indescriptible, il oublie la terre et tend toujours plus ardemment vers Dieu : "Si le monde comprenait la puissance des paroles du Christ : Apprenez de moi la douceur et l'humilité, il mettrait de côté toute autre science pour acquérir cette connaissance céleste" (saint Silouane de l'Athos (1866 - 1938) Spiritualité orientale, Bellefontaine, n.5) .»

1019

saint Basile de Césarée
(Une pensée par jour - les pères spirituels d'Orient)
"Ce qu'il y a de plus heureux, c'est d'être pur en pensée, car la racine des actes posés par notre corps est la délibération du coeur."

1017

Søren Kierkegaard (1813-1855)

« La prière n’est pas fondée en vérité quand Dieu entend ce dont on le prie. Elle l’est quand celui qui prie continue de prier jusqu’à ce qu’il soit lui-même celui qui entend ce que Dieu veut. Celui qui prie vraiment ne fait qu’écouter. » 
Cité dans "la prière du coeur" du père Jean Lafrance - chapitre 1 - page 11

1011

Jean Lafrance  (1931-1991)
la prière du coeur - 1 - S’éveiller à la mémoire de Dieu.

" Il y a chez l’homme de prière une qualité d’attention et d’écoute, pour surprendre son cœur en flagrant délit de prière. C'est une attitude qui mobilise toutes les forces, les énergies et les disponibilités du cœur, pour ne pas manquer le rendez-vous. Chez les vierges sages, c'est cette attention qui semble même régler le partage – pour qu'il ne soit pas n’importe quel partage – tant les jeunes filles sont tendues vers Celui qui doit venir et qui est tout pour elles. Mélange de solitude et de communion, déterminé par l’ardeur de l’attente et la préparation de la rencontre. Toutes les valeurs que nous trouvons dans le chapitre VII de la Règle de saint Benoît, lorsqu’il dit que le moine doit fuir absolument l’oubli, la légèreté d’esprit, la distraction un peu folle, acceptée comme état d’âme habituel. Pourquoi donc cette vigile attentive? Mais tout simplement parce que quelqu'un est toujours attendu, et déjà entendu. La Parole de Dieu s’adresse à nous chaque jour, c'est pourquoi il faut entendre Sa voix et ne pas endurcir son cœur. Alors une chose devient l’unique nécessaire : la Rencontre, la Communion, la prière du coeur avec le Christ qui vient. Rien ne doit être préféré à cette Rencontre avec Jésus, l’Époux de l’Église."

Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)