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457

Benoît XVI
Homélie, 2 décembre 2006 (premières Vêpres de l'Avent)
Au début d'un nouveau cycle annuel, la liturgie invite l'Eglise à renouveler son annonce à toutes les nations et elle la résume en deux mots : "Dieu vient". Cette expression si synthétique contient une force de suggestion toujours nouvelle. Arrêtons-nous un instant pour réfléchir : on n'utilise pas le passé - Dieu est venu -, ni le futur - Dieu viendra -, mais le présent : "Dieu vient". Il s'agit, tout compte faite, d'un présent continu, c'est-à-dire d'une action toujours en cours : elle a eu lieu, elle a lieu et elle aura encore lieu. A chaque instant, "Dieu vient". Le verbe "venir" apparaît ici comme un verbe théologique, voire même "théologal", car il nous dit quelque chose qui concerne la nature même de Dieu. Annoncer que Dieu "vient" équivaut, donc, à annoncer simplement Dieu lui-même, à travers l'une de ses caractéristiques essentielles et qualifiante : être le Dieu-qui-vient.
L'Avent rappelle les croyants à prendre conscience de cette vérité et à agir en conséquence. Il retentit comme un appel salutaire dans la succession des jours, des semaines, des mois : Réveille-toi ! Rappelle-toi que Dieu vient ! Pas hier, pas demain, mais aujourd'hui, maintenant ! L'unique vrai Dieu, "le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob", n'est pas un Dieu qui reste dans le ciel, ne s'intéressant pas à nous ni à notre histoire, mais il est le Dieu-qui-vient. C'est un Père qui ne cesse jamais de penser à nous et, avec un extrême respect pour notre liberté, qui désire nous rencontrer et nous visiter ; il veut venir, demeurer parmi nous, rester avec nous. Sa "venue" est poussée par la volonté de nous libérer du mal et de la mort, de tout ce qui empêche notre véritable bonheur. Dieu vient nous sauver.

442

Bible - Nouveau Testament
Matthieu 18, 1-5.10 (évangile pour la mémoire des saints Anges Gardiens)
En ce moment-là, les disciples s'approchèrent de Jésus et dirent : " Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ? "
Alors ayant fait venir un enfant, il le plaça au milieu d'eux et dit : " Je vous le dis, en vérité, si vous ne changez et ne devenez comme les enfants, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux. Celui donc qui se fera humble comme ce petit enfant est le plus grand dans le royaume des cieux. Et celui qui reçoit en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est moi qu'il reçoit. "
Prenez garde de mépriser aucun de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient sans cesse la face de mon Père qui est dans les cieux.

441

Ste Thérèse de l'Enfant Jésus
Histoire d'une âme, manuscrit C, chap. X

Vous le savez, ma Mère, j'ai toujours désiré d'être une sainte, mais hélas ! j'ai toujours constaté, lorsque je me suis comparée aux saints qu'il y a entre eux et moi la même différence qui existe entre une montagne dont le sommet se perd dans les cieux et le grain de sable obscur foulé sous les pieds des passants : au lieu de me décourager, je me suis dit : le Bon Dieu ne saurait inspirer des désirs irréalisables. Je puis donc malgré ma petitesse aspirer à la sainteté ; me grandir, c'est impossible, je dois me supporter telle que je suis avec toutes mes imperfections, mais je veux chercher le moyen d'aller au Ciel par une petite voie bien droite, bien courte, une petite voie toute nouvelle. Nous sommes dans un siècle d'inventions, maintenant ce n'est plus la peine de gravir les marches d'un escalier, chez les riches un ascenseur le remplace avantageusement. Moi je voudrais aussi trouver un ascenseur pour m'élever jusqu'à Jésus, car je suis trop petite pour monter le rude escalier de la perfection. Alors j'ai recherché dans les livres saints l'indication de l'ascenseur objet de mon désir et j'ai lu ces mots sortis de la bouche de La Sagesse Éternelle : Si quelqu'un est tout petit, qu'il vienne à moi. Alors je suis venue devinant que j'avais trouvé ce que je cherchais et voulant savoir, ô mon Dieu ! ce que vous feriez au tout petit qui répondrait à votre appel j'ai continué mes recherches et voici ce que j'ai trouvé : Comme une mère caresse son enfant, ainsi je vous consolerai, je vous porterai sur mon sein et je vous balancerai sur mes genoux ! Ah ! jamais paroles plus tendres, plus mélodieuses, ne sont venues réjouir mon âme, l'ascenseur qui doit m'élever jusqu'au Ciel, ce sont vos bras, ô Jésus ! Pour cela je n'ai pas besoin de grandir, au contraire il faut que je reste petite, que je le devienne de plus en plus.

437

St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 16, 5
Si la loi ancienne cesse de sauver les hommes, ce n’est pas qu’elle soit mauvaise, mais c’est que maintenant le temps est venu d’une vertu plus parfaite. (...)
Car on ne nous promet plus une terre coulante de lait et de miel, ni une longue vieillesse, ni un grand nombre d’enfants, ni beaucoup de blé ou de vin, ou de grands troupeaux de brebis et de boeufs ; mais le ciel même, et les biens dont on y jouit ; l’honneur d’être les enfants adoptifs de Dieu, les frères du Fils unique du Père, les héritiers de sa gloire, de son royaume ; et d’une infinité d’autres biens.

401

saint Jean-Paul II
Homélie, Dimanche 24 juin 2001, n° 2 (Solennité de la Nativité de saint Jean-Baptiste, à l'aéroport de Chayka, Ukraine)
"Jean est son nom" (Lc 1, 63). Zacharie confirme aux parents émerveillés le nom de leur fils, en l'écrivant sur une tablette. Dieu lui-même, par l'intermédiaire de son ange, avait indiqué ce nom, qui en hébreux signifie "Dieu est favorable". Dieu est favorable à l'homme : il veut qu'il vive, il veut son salut. Dieu est favorable à son peuple : il veut en faire une bénédiction pour toutes les nations de la terre. Dieu est favorable à l'humanité : il en guide le chemin vers la terre où règnent la paix et la justice. Tout cela est inscrit dans ce nom : Jean !

383

St Jean Chrysostome
Homélies sur l'évangile de St Matthieu, 47, 4
L'âme du pauvre, du volontairement pauvre, resplendit comme l'or, brille comme une perle, fleurit comme une rose. Voulez-vous contempler la beauté de cette âme ? Voulez-vous connaître la richesse de la pauvreté ? (...) Le pauvre n'a aucun trésor, mais il a le ciel. (...) Il se moque de la royauté de l'or et de toutes les autres choses de ce genre, comme si c'étaient des jouets de petits enfants. (...) Quel besoin en a celui qui possède le Christ ?

367

Bible - Nouveau Testament
1 Corinthiens 2, 9-11
Mais ce sont, comme il est écrit, "des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont pas montées au cœur de l'homme, ― des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment."
C'est à nous que Dieu les a révélées par son Esprit ; car l'Esprit pénètre tout, même les profondeurs de Dieu.
Car qui d'entre les hommes connaît ce qui se passe dans l'homme, si ce n'est l'esprit de l'homme qui est en lui ? De même personne ne connaît ce qui est en Dieu, si ce n'est l'Esprit de Dieu.

355

St Léon le Grand
Sermon 73, 4
L'Ascension du Christ est un gain pour nous, tout le corps est appelé à l'espérance, car précisément la Tête nous a précédés dans la Gloire. Aujourd'hui, nous avons non seulement été confirmés en tant que possesseurs du Paradis, mais nous avons pénétré dans le Ciel en la personne du Christ.

353

Benoît XVI
Regina Cæli, 8 mai 2005 (VII Dimanche de Pâques)
Aujourd'hui dans de nombreux pays, dont l'Italie, est célébrée la solennité de l'Ascension du Seigneur au Ciel. Lors de cette fête, la Communauté chrétienne est invitée à tourner son regard vers Celui qui, quarante jours après sa résurrection, à l'émerveillement des Apôtres "sous leurs regards, [...] s'éleva, et une nuée le déroba à leurs yeux" (Ac 1, 9). Nous sommes donc appelés à renouveler notre foi en Jésus, l'unique véritable ancre de salut pour tous les hommes. En montant au Ciel, il a rouvert la voie vers notre patrie définitive, qu'est le paradis. A présent, par la puissance de son Esprit, il nous soutient dans notre pèlerinage quotidien sur la terre.

352

Saint Jean-Paul II
Homélie, 24 mai 2001, n° 5 (Messe de clôture du Consistoire)
Oui, chers frères et sœurs ! Nous ne serons pas seuls à parcourir le chemin qui nous attend. (...) Nous ne serons pas seuls, en particulier parce que la Très Sainte Trinité sera avec nous. Les engagements que j'ai confiés comme consigne à toute l'Église dans Novo millennio ineunte, les problèmes sur lesquels le Consistoire a réfléchi, ne seront pas affrontés uniquement avec des forces humaines, mais avec la puissance qui vient d'"en-haut" . Telle est la certitude qui trouve sans cesse sa confirmation dans la contemplation du Christ monté au ciel. (...)
C'est donc avec une confiance renouvelée que "nous prenons le large" en son nom !

350

Saint Jean-Paul II
Homélie, 13 mai 2000, n° 3-4 (béatification des pastoureux de Fatima, François et Jacinthe Marto)

C'est la douleur d'une mère qui l'oblige à parler ; le destin de ses enfants est en jeu. C'est pourquoi Elle demande aux pastoureux : "Priez, priez beaucoup et faites des sacrifices pour les pécheurs ; tant d'âmes finissent en enfer parce que personne ne prie et ne se sacrifie pour elles".
La petite Jacinthe a partagé et vécu cette douleur de la Madone, en s'offrant héroïquement comme victime pour les pécheurs. Un jour, lorsqu'elle et François avaient désormais contracté la maladie qui les obligeait à rester au lit, la Vierge Marie vint leur rendre visite à la maison, comme le raconte Jacinthe : "La Madone est venue nous voir et elle a dit que bientôt elle viendra prendre François pour l'emmener au Ciel. A moi, elle a demandé si je voulais encore convertir davantage de pécheurs. Je lui ai dit que oui". Et lorsque le moment du départ de François s'approche, la petite lui recommande : "De ma part porte de nombreux saluts à Notre Seigneur et à la Madone et dit leur que je suis disposée à supporter tout ce qu'ils voudront pour convertir les pécheurs". Jacinthe était restée tellement frappée par la vision de l'enfer, qui avait eu lieu lors de l'apparition de juillet, que toutes les mortifications et pénitences lui semblaient peu de choses pour sauver les pécheurs.

340

St Grégoire le Grand
Homélies sur les évangiles, II, 17, 1
Quelle langue est capable de dire, quelle intelligence de comprendre la grandeur des joies du Ciel : être parmi les anges, siéger avec les saints, dans la gloire du Créateur, voir la face de Dieu, sa lumière infinie ? (...). Rien qu'en entendant cela, le désir s'enflamme et l'on aspire à parvenir là où l'on espère se réjouir sans fin.

334

Bible - Nouveau Testament
Matthieu 25, 20-21
S'avançant, celui qui avait reçu les cinq talents en présenta cinq autres, en disant : " Seigneur, tu m'as confié cinq talents ; voici cinq autres talents que j'ai gagnés. "
Son maître lui répondit : " Bien, serviteur bon et fidèle ; tu as été fidèle pour peu de choses, je t'en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. "

330

Bible - Nouveau Testament
Colossiens 3, 1-4
Si donc vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les choses d'en haut, où le Christ demeure assis à la droite de Dieu ; affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles de la terre : car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. Quand le Christ, votre vie, apparaîtra, alors vous apparaîtrez, vous aussi, avec lui dans la gloire.

329

St Louis-Marie Grignion de Montfort
L'amour de la Sagesse éternelle, 8
Peut-on aimer ce qu'on ne connaît pas ? Peut-on aimer ardemment ce qu'on ne connaît qu'imparfaitement ? Pourquoi est-ce qu'on aime si peu la Sagesse éternelle et incarnée, l'adorable Jésus, sinon parce qu'on ne la connaît pas, ou très peu ?
Il n'y a presque personne qui étudie comme il faut, avec l'Apôtre, cette science suréminente de Jésus, qui est cependant la plus noble, la plus douce, la plus utile et la plus nécessaire de toutes les sciences et connaissances du ciel et de la terre.

320

St Josémaria Escriva
Quand le Christ passe, n. 76
En ce dimanche des Rameaux, Notre Seigneur entame une semaine décisive pour notre salut. Laissons donc de côte les considérations superficielles, et allons à l'essentiel, à ce qui est réellement important. Veillez-y bien : le but de nos efforts doit être d'aller au ciel. Autrement, nous perdons notre peine. Pour aller au ciel il est indispensable d'être fidèle à la doctrine du Christ. Pour être fidèle il est indispensable de poursuivre, avec confiance et ténacité, notre lutte contre les obstacles qui se dressent devant notre bonheur éternel.

315

Tertullien
Apologétique, 1, 2
La vérité ne demande pas grâce pour elle, parce qu'aussi bien elle ne s'étonne pas de sa condition. Elle sait qu'elle vit dans ce monde en étrangère ; que, parmi des étrangers, elle trouve facilement des ennemis, que d'ailleurs c'est dans les cieux qu'elle a sa famille, sa demeure, son espérance, son crédit et sa gloire. En attendant, elle n'a qu'un désir, c'est de ne pas être condamnée sans être connue.

307

Ste Thérèse d'Avila
Vie, chap. 6
Je pris pour avocat et pour protecteur le glorieux saint Joseph et je me recommandai très instamment à lui. Son secours éclata d'une manière visible. Ce père et protecteur de mon âme me tira de l'état où languissait mon corps, comme il m'a arrachée à des périls plus grands d'un autre genre, qui menaçaient mon honneur et mon salut éternel. Je ne me souviens pas de lui avoir jamais rien demandé, jusqu'à ce jour, qu'il ne me l'ait accordé. C'est chose admirable que les grâces insignes dont Dieu m'a comblée, et les dangers, tant de l'âme que du corps, dont il m'a délivrée par la médiation de ce bienheureux saint !
Le Très-Haut donne grâce, semble-t-il, aux autres saints pour nous secourir dans tel ou tel besoin ; mais le glorieux saint Joseph, je le sais par expérience, étend son pouvoir à tous. Notre Seigneur veut nous faire entendre par là que, de même qu'il lui fut soumis sur cette terre, reconnaissant en lui l'autorité d'un père et d'un gouverneur, de même il se plaît encore à faire sa volonté dans le ciel, en exauçant toutes ses demandes. C'est ce qu'ont vu comme moi, par expérience, d'autres personnes auxquelles j'avais conseillé de se recommander à ce protecteur ; aussi le nombre des âmes qui l'honorent commence-t-il à être grand, et les heureux effets de sa médiation confirment de jour en jour la vérité de mes paroles. Je déployais pour sa fête tout le zèle dont j'étais capable, plus par vanité que par esprit intérieur. Je voulais qu'elle se célébrât avec la pompe la plus solennelle et avec la plus élégante recherche. En cela mon intention était droite, il est vrai, mais voici le côté fâcheux : au moindre petit bien accompli avec le secours de la grâce divine, je mêlais des imperfections et des fautes sans nombre, tandis que pour le mal, la recherche et la vanité, je trouvais en moi une adresse et une activité admirables. Plaise au Seigneur de me le pardonner !

332

St François d'Assise
Cantique de frère soleil ou des créatures

Très haut, tout puissant et bon Seigneur,
à toi louange, gloire, honneur,
et toute bénédiction ;
à toi seul ils conviennent, ô Très-Haut,
et nul homme n'est digne de te nommer.
Loué sois-tu, mon Seigneur, avec toutes tes créatures,
spécialement messire frère Soleil.
par qui tu nous donnes le jour, la lumière :
il est beau, rayonnant d'une grande splendeur,
et de toi, le Très-Haut, il nous offre le symbole.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Lune et les étoiles :
dans le ciel tu les as formées,
claires, précieuses et belles.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour frère Vent,
et pour l'air et pour les nuages,
pour l'azur calme et tous les temps :
grâce à eux tu maintiens en vie toutes les créatures.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur Eau,
qui est très utile et très humble,
précieuse et chaste.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la Terre,
qui nous porte et nous nourrit,
qui produit la diversité des fruits,
avec les fleurs diaprées et les herbes.
Loué sois-tu, mon Seigneur, pour ceux
qui pardonnent par amour pour toi ;
qui supportent épreuves et maladies :
heureux s'ils conservent la paix
car par toi, le Très-Haut, ils seront couronnés.
Loué sois-tu, mon Seigneur,
pour notre sœur la Mort corporelle
à qui nul homme vivant ne peut échapper.
Malheur à ceux qui meurent en péché mortel ;
heureux ceux qu'elle surprendra faisant ta volonté,
car la seconde mort ne pourra leur nuire.
Louez et bénissez mon Seigneur,
rendez-lui grâce et servez-le
en toute humilité !

285

Bible - Ancien Testament
Deutéronome 30, 15-20

Moïse disait au peuple d'Israël : Je te propose aujourd'hui de choisir ou bien la vie et le bonheur, ou bien la mort et le malheur.
Écoute les commandements que je te donne aujourd'hui : aimer le Seigneur ton Dieu, marcher dans ses chemins, garder ses ordres, ses commandements et ses décrets. Alors, tu vivras et te multiplieras ; le Seigneur ton Dieu te bénira dans le pays dont tu vas prendre possession.
Mais si tu détournes ton cœur, si tu n'obéis pas, si tu te laisses entraîner à te prosterner devant d'autres dieux et à les servir, je te le déclare aujourd'hui : certainement vous périrez, vous ne vivrez pas de longs jours sur la terre dont vous allez prendre possession quand vous aurez traversé le Jourdain.
Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre : je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui ; c'est là que se trouve la vie, une longue vie sur la terre que le Seigneur a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob.


Jésus disait à ses disciples : "Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai Aimés." (Jn 15, 12)